Les fonctions principales d'un train d'atterrissage consistent à permettre les évolutions au sol jusqu'au décollage (remorquage, taxi…), l'amortissement de l'impact d'atterrissage, et, grâce à un système de freinage associé, l'arrêt de l'avion sur une distance acceptable.
Le train d'atterrissage sert à assurer les évolutions d'un avion au sol jusqu'à son décollage, mais aussi l'amortissement lors de l'impact d'atterrissage. Il comporte un système de freinage permettant l'arrêt de l'avion sur une distance déterminée.
Le train d'atterrissage est généralement de type fixe ou rétractable. S'il ne se rétracte pas pendant les phases de vol, il est dit « fixe ». S'il est rétractable, il est escamoté à l'intérieur de l'aéronef pendant le vol pour diminuer sa résistance aérodynamique et ainsi diminuer la traînée qui affecte l'avion.
Les éclairages des avions sont abaissés lors des décollages et des atterrissages ainsi que la nuit. La raison en est toute simple, à savoir, le fait d'habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
Les chances de survivre à un vol aussi long caché dans un train d'atterrissage sont en effet très minces. Pour y parvenir, le jeune homme aura eu à supporter: Le froid. A plus de 30 000 pieds, la température descend à - 60 degrés.
Les compagnies aériennes ne prévoient pas de consigne particulière lors de la formation des équipages, mais de nos jours, peu d'hôtesses ou de stewards tolèrent les galipettes à bord. Ils interdisent à des adultes non-handicapés d'entrer à plusieurs dans les toilettes.
Pour un avion volant à 12 km de haut (39.000 pieds), on obtient -63°C. On peut alors se permettre de dire qu'en altitude de croisière, la température à l'extérieur d'un avion de ligne en vol se situe en moyenne entre -50°C et -65°.
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
Des mythes à déboulonner et des questions qui trouvent réponse dans l'univers du voyage et de l'aviation. Dans les appareils Boeing, les pilotes vont dormir dans un espace situé près du poste de pilotage, entre le plafond de la cabine et la carlingue de l'avion.
L'air passe sur ses ailes bombées et quand la vitesse est suffisante, l'accélération les fait monter comme si elles étaient aspirées vers le haut. En même temps, le dessous de chaque aile étant plat, l'air qui arrive par en-dessous “pousse” l'appareil.
En mode normal, la sortie est généralement assurée par un vérin ; si celui-ci ne fonctionne pas (en cas de panne hydraulique par exemple), le train peut encore être sorti en mode secours, généralement par gravité.
L'atterrissage d'un avion se fait face au vent pour atterrir sur une distance plus courte. L'utilisation des pleins volets (et si installés les becs) permet de réduire la vitesse d'approche. La distance d'atterrissage augmente avec l'altitude et la température.
Les turboréacteurs sont utilisés sur tous les avions civils moyen et gros porteurs, car ils sont les seuls à pouvoir atteindre des vitesses transsoniques (entre mach 0,8 et mach 1) de manière économique.
Les passagers ne les voient pas, mais les pneus d'avion sont une grosse affaire : chacun des 12 pneus du train principal d'un Boeing 777 (le plus gros appareil d'Air Canada) fait plus de 1,3 m de diamètre et pèse 120 kg.
Avec 117 mètres d'envergure, 230 tonnes à vide, six moteurs de Boeing 747 et 28 roues, le Stratolaunch est le plus grand avion jamais construit.
atterrissage n.m. Action d'atterrir, de se poser sur le sol, en parlant...
Le siège du pilote se trouve juste devant le moteur et entre deux radiateurs et ils portent un casque et plusieurs couches de vêtements résistant au feu, de sorte que le cockpit d'une voiture de F1 devient très chaud et les pilotes peuvent perdre plusieurs kilos de poids en transpiration pendant une course et finissent ...
En effet, au décollage ou à l'atterrissage, le personnel de bord a besoin que les stores des hublots soient ouverts afin de pouvoir s'apercevoir le plus rapidement possible s'il y a un problème à l'extérieur de l'avion. Ainsi, il n'y a aucun angle mort ou presque.
Les hôtesses de l'air qui sont affectées sur les longs courriers disposent de véritables petites cachettes à bord des appareils. Ces endroits sont parfaits pour faire une sieste ou un repos de quelques heures durant le vol.
Fort heureusement, l'avion est passé en pilotage automatique et n'a pas connu d'incident majeur. Une mésaventure qui renforce les craintes sur l'épuisement des pilotes. Y a-t-il des pilotes dans l'avion ? Oui, mais ils dorment.
Lorsqu'un avion rencontre des courants d'air ascendants et descendants, cela peut entrainer des variations d'altitude. L'avion perd subitement quelques dizaines de mètres d'altitude. Rien de très important mais la sensation de chute en cabine peut parfois impressionner les passagers. On parle parfois de « trou d'air ».
On se sent fatigué
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
«Le contenu des valises sera peut-être froid, mais pas gelé. Les liquides dans les valises ne risquent pas de devenir solides. La température ne descendra pas à - 50 degrés, comme à l'extérieur.»
Une étude réalisée par ASTM International et relayée par Metro UK explique que la climatisation permet d'empêcher les passagers d'être victime d'hypoxie et de tomber dans les pommes. Explications. L'hypoxie est un manque d'apport en oxygène au niveau des tissus de l'organisme, ce qui provoque un évanouissement.
Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol. Il y a des feux de navigation situés aux extrémités des ailes.