Nous travaillons pour produire, pour transformer la nature naturelle, qui satisfait mal ou pas du tout les besoins humains, en éléments artificiels qui satisfassent ces besoins.
Le travail est une nécessité parce que le corps a des besoins qui sont nécessaires. Il doit se protéger des intempéries, de la faim et de la soif. Mais entendu en ce sens le travail est une corvée, un labeur.
Pourquoi travaillons-nous ? Introduction : la travail dans son sens courant désigne l'activité ayant pour but de produire quelque chose d'utile, de transformer la nature poUr satisfaire les besoins de l' homme. La travail résulte d'un effort de la conscience et de la volonté humaine.
Le travail est une nécessité. En effet, l'Homme n'a pas le choix, il est obligé de travailler, car s'il ne travaille pas, il meurt. La nature, spontanément, ne lui fournit pas de quoi survivre. Donc plutôt que de parler d'obligation, on peut dire que le travail est une contrainte.
En philosophie, on estime que le travail est ce qui permet la transformation de la nature : l'homme produit des objets et transforme le monde autour de lui pour l'adapter à ses besoins. Il crée ainsi des villes. Il change son habitat naturel.
Travailler permet de se réaliser. C'est une obligation envers soi-même. Mais travailler est un devoir moral, non seulement envers autrui mais aussi envers soi-même. En effet, travailler n'est pas seulement répondre à ses besoins vitaux, c'est aussi réaliser ce qu'il y a de plus humain en l'homme.
Le travail est essentiel pour la survie de l'homme, mais il est aussi considéré comme un châtiment et une contrainte. Le travail permet aussi de s'accomplir en tant qu'être humain et d'être libre.
La réponse tient en quelques mots. On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux. Ceux qui choisissent délibérément de ne pas travailler subissent l'opprobre de leurs contemporains.
1Le travail occupe une place essentielle dans nos sociétés, même par son absence. C'est une des bases de l'économie. C'est la source principale des revenus qui autorise l'accès à la consommation. C'est aussi la voie principale de l'insertion sociale.
L'homme n'a pas seulement besoin d'un maître parce qu'il penche vers la liberté. L'homme a une nature, ou plutôt il y a d'abord de la nature en l'homme. L'être humain est animal ; il a des instincts, il est sensible.
Dans ce sens, le travail provient de la perfectibilité, qui est une faculté naturelle chez l'Homme puisqu'elle lui est propre. Ainsi, le travail est une obligation pour l'Homme puisque qu'il résulte de la perfectibilité et donc de la nature humaine.
Le travail peut cependant satisfaire d'autres besoins non nécessaires (les désirs): travail et utilité. a. Le désir d'être reconnu L'homme est caractérisé par la conscience et par conséquent par le désir de se connaître. Grâce à la conscience, il peut se voir.
Outre le fait que le travail fournit un revenu et permet de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, il donne la possibilité de s'accomplir, procure le sentiment d'être utile, contribue à la valorisation et favorise le développement de l'estime de soi.
La valeur travail est un concept économique ancien, que l'on retrouve chez Adam Smith, David Ricardo et Karl Marx. Ce concept part du principe que le prix de vente d'un bien ou d'un service est uniquement fonction de la quantité de travail qui a été nécessaire pour sa production ou sa réalisation.
Le sens du travail se rapporte aux tâches ou aux activités qui s'inscrivent dans un rôle, une fonction. Le sens au travail s'applique aux relations qu'une personne entretient dans son milieu de travail avec ses supérieurs, ses collaborateurs, ses collègues et la clientèle.
Le travail donne une structure à la vie pendant plus de 12 heures. Les gens ont besoin de structures de sécurité, de répétition de ce qu'ils ont appris, de louanges et de reproches. Grâce à la structure, les mois, les semaines, les jours ont un sens.
Le travail rend heureux aussi parce qu'il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre. Enfin, travailler impose de développer ses compétences et ses qualités, ce qui est valorisant et donne confiance en soi, et contribue à l'épanouissement personnel.
Le travail c'est la liberté, répète-t-on fréquemment. Le travail permet d'accomplir ses rêves, ses ambitions, son désir légitime de mieux-être, de mieux-vivre. Le travail est un facteur de progrès, il y a évolution par le travail. Le travail procure l'estime de soi, en ce sens le travail est valorisant.
Il est essentiel que le lecteur soit en mesure d'établir le lien entre la problématique et les résultats obtenus. La conclusion est à la fois un résumé des grandes lignes et des phases essentielles de la recherche et un bilan des principaux points traités (une synthèse des résultats obtenus).
Moins de sécurité – Vous devrez assumer la responsabilité de toujours trouver du travail à faire. Cela signifie que vous serez parfois sans travail et, par conséquent, sans revenu.
Le refus du travail a-t-il un sens ? Si le refus du travail a un sens, c'est que le travail en lui même est insensé ou absurde. Le problème soulevé par cette question est donc celui du sens du travail que l'on peut interpréter comme étant le problème de la valeur du travail.
Non, il ne faut pas renoncer à faire du travail une valeur
Le travail exige un effort et une tension de la volonté: par lui, l'homme exploite ses capacités individuelles et canalise l'énergie de ses passions (son ambition, son désir d'acquérir ou d'être reconnu par exemple), dans un but d'utilité commune.
Deux-tiers des actifs occupant un emploi jugent que le travail est important mais moins que leur vie familiale, personnelle ou sociale, tandis que plus d'un quart le trouvent plus ou autant important, une proportion qui croît avec l'âge, selon une étude du ministère du Travail publiée vendredi.