On en perd parfois son breton ! Reprenons : ti (anciennement orthographié ty), c'est la maison d'habitation, à laquelle on donne parfois un nom particulier. Ainsi, ti bihan mamm-gozh signifie « la petite maison de grand-mère ».
Da garout a ran signifie « je t'aime » en breton.
« Ker » signifie « petit bourg » en langue bretonne, et Cadélac est le nom d'un village situé au cœur des Côtes d'Armor.
Cet élément de toponyme remonte au vieux breton caer « endroit fortifié, citadelle, forteresse », semblable au gallois caer de même sens. Ils sont tous deux issus du brittonique *kagr- « endroit clos », sur la base d'un thème celtique commun *kagh « contenir, fermer ».
Hollgaret = Chéri(e)
Mais il est vrai que l'on ne remercie pas pour tout et rien, en témoigne la signification de la principale traduction français breton de « merci » en breton : Trugarez.
cʼhenoù — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Dire bonjour en breton
En allant souvent à l'essentiel : mont a ra ? / mat ar jeu ? / mat an traoù ? / mat ac'h a ? / penaos emañ ?…
Les lettres BZH, que l'on trouve souvent sur les voitures des bretons, sont en fait l'abréviation de 'Breizh' (qui signifie Bretagne, en breton).
En effet, tour à tour, Troyens, Romains, Gaulois et Celtes, Phéniciens, ont été désignés comme les lointains ancêtres des Bretons. Au xviiie siècle, nombre de lettrés et d'antiquaires, gagnés par une celtomanie mystificatrice, attribuèrent aux Gaulois/Celtes dolmens et menhirs et toutes les antiquités pré-romaines.
Plou- est un appellatif toponymique préfixé d'origine bretonne qui a pour sens « communauté » puis, par extension, « paroisse ». Il procède du moyen breton ploe, lui-même du vieux breton pluiu. Ce dernier terme est emprunté au latin plebs, plebis, « paroisse ».
penty. En Bretagne, petite maison située à l'écart d'un village, souvent au bord de la mer, caractérisée par son toit pentu recouvert d'ardoises.
Un petit mot doux ça fait toujours plaisir, essayez “tu es belle/beau” en breton, “brav out”.
En Breton, le mot pour dire « oui » est « ya ». C'est l'équivalent du « oui » en français.
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
J'ai soif ! : Sec'hed am eus !
Orthographié triskèle en français et triskel ou triskell en breton, il n'y a pas véritablement de mauvais choix, juste des variations. On l'appelle également triscèle, qui signifie « à trois jambes » en grec (triskélès).
Pour certains, la présence des 11 hermines sur le drapeau breton symbolise le clergé dans cette région où le catholicisme était très présent, pour d'autres, elles représentent les saints de la région bretonne.
Suite à la guerre 14-18 où la Bretagne a subi de plein fouet la guerre mondiale, le nationaliste a souhaité obtenir un drapeau représentant de la Bretagne. Il faudra attendre 1927 pour que le Gwenn-Ha-Du devienne le drapeau officiel de la Bretagne.
- nann ! (oui, c'est exact, en fran¡ais local : non !)
Kenavo : au revoir en breton.
Mamm, Mammig = Mère, Maman.
Reuz, voilà un mot que l'on glisse volontiers dans nos conversations, par malice ou connivence. Il y a eu du reuz : cela a fait beaucoup de bruit, de bordel, d'agitation. Si l'événement est anodin ce sera trouz (bruit).
MOCHE VIL : bras ha vil.
TETU TÊTU : -E PENNEG /& -K ad. m. (nf., & div. sens), (cf.