Pour le corps humain, le sucre c'est comme l'essence dans une voiture, c'est l'énergie qui nous permet de vivre et fait marcher notre cerveau. Il est donc nécessaire de continuer à manger des aliments contenant du sucre quand on est diabétique.
Cela implique que le glucose dans le sang ne peut pas être synthétisé par les cellules - en raison d'un manque d'insuline ou d'une résistance à l'insuline. Le corps ne peut donc pas métaboliser la nourriture que l'on mange en énergie. Ce manque d'énergie entraîne alors une augmentation de la faim.
Les diabétiques peuvent consommer des aliments qui contiennent du sucre ajouté. Toutefois, il est important de ne manger que de petites quantités de ces aliments pour aider à contrôler votre glycémie. Si vous êtes atteint du diabète, jusqu'à 10 pour cent des calories que vous consommez peuvent provenir du sucre ajouté.
Dans le cas de Rola, ses desserts riches en glucose après le déjeuner peuvent également expliquer sa fatigue. "Quand on mange du sucre, le pancréas secrète de l'insuline trop rapidement, et quand ce taux baisse on se retrouve en hypoglycémie et donc fatigué", précise la médecin nutritionniste.
Une hyperglycémie est caractérisée par une glycémie supérieure à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), mesuré à jeun. Cette hyperglycémie peut être transitoire ou chronique. Lorsque la glycémie à jeun est supérieure à 7 mmol/l (1,26 g/l), le diagnostic de diabète est porté.
Les comas diabétiques sont des troubles de la conscience qui doivent conduire à une hospitalisation immédiate du patient diabétique. Mal soignés, ils peuvent être graves voire mener à la mort.
Le sucre contribue à l'inflammation chronique, ce qui réduit la capacité de notre système immunitaire à combattre le rhume et la grippe. En diminuant la consommation de sucre, vous renforcez les défenses de l'organisme et vous réduisez les symptômes d'allergie et d'asthme.
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
La banane, avec un apport de glucides sous forme de fructose et de glucose, peut donc parfaitement s'inscrire dans un régime alimentaire adapté au diabète. La banane se révèle un allié de taille pour notre bien-être et notre santé.
En effet, la sérotonine modère notre appétit, nos envies de sucre. La sérotonine est l'hormone de la sérénité, de la prise de recul. C'est une substance anti-stress. C'est une vision peut être un peu réductrice car de nombreux neuromédiateurs et autres facteurs interviennent pour nous procurer un équilibre.
L'envie de sucre d'origine diététique
Il se trouve que la sérotonine est aussi responsable de la sensation de satiété. Elle permet de modérer l'appétit. De fait, des envies de sucres répétées sont le signe d'un manque de sérotonine. L'organisme cherche un moyen rapide de retrouver la sensation de satiété.
Le diabète se caractérisant par un défaut d'insuline, le sucre provenant de l'alimentation s'accumule dans le sang et ne peut pas nourrir les cellules de l'organisme. Le corps ne peut donc pas stocker ou utiliser correctement l'énergie fournie par les aliments, d'où la sensation de faim permanente.
Le panais compte deux fois plus de sucres que la moyenne des légumes ! 58 calories pour 100 grammes !
On pouvait s'en douter, le citron est le fruit le moins sucré, avec seulement 2 g de sucre pour 100 g.
Avant que le corps ne s'acclimate totalement, les maux de tête, la fatigue physique et mentale, les étourdissements et les troubles du transit sont fréquents. Des palpitations, des crampes et des boutons peuvent également apparaître.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Est-ce que je peux vivre longtemps avec le diabète ? Oui, il est heureusement possible de vivre très longtemps avec le diabète. Tou- tefois, par rapport à une personne non-diabétique, le diabète est un facteur de risque supplémentaire de complications affectant les organes vitaux comme le cœur, le cerveau et les reins.
Une fatigue permanente
Le sucre ne peut plus assurer son rôle de source d'énergie chez le diabétique, il en résulte un état de fatigue intense même au repos. Cela résulte des hypoglycémies qui sont fréquentes. D'où l'importance de contrôler son taux de glycémie régulièrement lorsqu'on est diabétique.
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Avec un diagnostic à 80 ans, l'espérance de vie était la même que celle des contrôles, alors qu'un diagnostic avant 20 ans était associé à 10 années de vie en moins. Dans l'ensemble, les sur-risques étaient numériquement plus élevés chez les femmes atteintes de diabète de type 2.
On considère généralement que le diabète de type 2 est une maladie chronique irréversible, dont on ne peut espérer guérir, et que la seule option thérapeutique demeure de limiter les dégâts causés par l'hyperglycémie.