"Les complications d'une hémorragie peuvent être très graves ", explique le médecin urgentiste. Elles peuvent aboutir à la mort quand elles sont massives ou touchent des organes vitaux comme le cerveau ou le cœur, qui ont besoin de recevoir de l'oxygène présent dans le sang pour pouvoir fonctionner.
Une hémorragie grave provoque une baisse de la tension artérielle, ce qui rend les personnes faibles et leur donne des étourdissements. Les personnes peuvent s'évanouir en position debout ou même assise et, si la tension artérielle est très faible, elles peuvent perdre connaissance.
Les saignements les plus importants, les plus rapides et les plus difficiles à stopper se produisent souvent en cas d'hémorragie artérielle. Le sang est alors de couleur rouge clair.
Le fonctionnement continu du cœur durant l'exsanguination augmente la pression sanguine, ce qui permet à la cible de se vider plus rapidement de son sang et provoque une mort rapide.
La pression comprime le cerveau, et les capillaires sont écrasés. De ce fait, certaines parties du cerveau ne sont plus irriguées correctement, et les cellules nerveuses peuvent mourir du manque d'oxygène.
Ensuite, "le pouls s'accélère, puis la tension baisse et si le saignement est important et ne s'arrête pas, cela peut provoquer un choc hémorragique qui peut lui-même entraîner la mort dans le cas où le patient n'est pas pris en charge rapidement", indique-t-il.
Une hémorragie est un saignement important qui ne s'arrête pas spontanément. On parle d'hémorragie interne quand l'écoulement du sang ne se voit pas, il a lieu à l'intérieur du corps. Elle est liée à la rupture d'un vaisseau, suite à un accident ou une maladie.
« Au cours de ces quelques heures, le corps ne peut saigner vraiment ; il peut suinter, à la rigueur », explique-t-elle. Par ailleurs, le sang coagule et s'épaissit après la mort.
Même si les victimes réclament de l'eau, il est interdit de leur en donner, car cela peut provoquer des étouffements et si une opération est nécessaire, elles devront être à jeun.
Quand la perte de sang est rapide, en quelques heures ou moins, le risque est très élevé ; la perte d'un tiers du volume sanguin total peut même être mortelle.
allonger la victime, surélever légèrement, si possible, la zone blessée, comprimer manuellement l'hémorragie, à l'aide de compresses ou de linge sec et non souillé : drap, torchon propre, serviette de toilette. Il faut exercer une compression suffisante pour arrêter le saignement.
Une perte de plus d'un litre de sang peut avoir une issue fatale. Lors d'une hémorragie, l'organisme remplace tout d'abord le sang perdu par de l'eau tirée des tissus. Ensuite, il active la production des globules sanguins.
Causes des lésions hépatiques
Le foie étant irrigué par de nombreux vaisseaux sanguins, le problème principal causé par une lésion hépatique est l'hémorragie grave. Presque tous les saignements provoqués par une lésion hépatique surviennent dans la cavité abdominale.
Leur couleur allant du bordeaux foncé au noir en passant par le marron s'explique par l'oxydation du sang. En clair, lorsque le sang entre en contact avec l'air, il s'oxyde et s'assombrit. Ce phénomène se produit lorsque le sang des règles provenant de l'utérus stagne dans le vagin avant de s'écouler.
Le choc hémorragique est la conséquence d'un déséquilibre entre demande et apport d'oxygène. Le choc hémorragique est secondaire à une perte massive et brutale de sang. Les saignements d'origine digestive sont la première cause de choc hémorragique.
Le cœur, qui est pour sa part autonome, continue de battre un moment, jusqu'à ce que le manque d'oxygène ait raison de lui et que l'arrêt cardiaque survienne. «Pour les médecins, la mort est la cessation irréversible de toutes les activités du cerveau, précise Éric Racine.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
L'histoire, d'abord racontée par la chaîne Tamil News, a depuis fait le buzz en Inde. Ce n'est pas la première fois qu'une personne est déclarée morte avant de se réveiller dans des conditions étonnantes. En août, une Américaine s'était réveillée dans un funérarium après avoir été déclarée décédée par un médecin.
Donc, pour savoir si une hémorragie est artérielle, il suffit de voir sortir le sang d'une plaie par petits jets, à chaque battement du cœur. Si le sang s'écoule par nappe, vous pourrez considérer que celle-ci est veineuse.
Saignement. Initialement, un cancer peut saigner légèrement car ses vaisseaux sont fragiles. Ensuite, quand le cancer augmente de volume et envahit les tissus environnants, il peut proliférer dans un vaisseau adjacent et entraîner une hémorragie.
Un saignement dans le tube digestif peut se manifester soit par des vomissements de sang, soit par l'émission de selles noires comme du goudron, soit encore par l'émission de sang rouge par l'anus. En dehors du cas des hémorroïdes connues, toutes ces manifestations imposent d'appeler un médecin d'urgence.