Cette confiance en soi mêlée au travail de pleine conscience et au développement personnel, permet de libérer l'esprit, de gagner en indépendance, de se libérer de ses angoisses, de devenir autonome affectivement et même d'être plus responsable.
Les vrais solitaires sont des personnes qui embrassent le temps passé seul. Ceux qui deviennent violents sont généralement des personnes seules contre leur volonté : ils veulent s'intégrer , ils veulent être aimés et être l'objet de désir. Mais ils ont au contraire été exclus et rejetés.
La solitude permet aussi de se reconnecter à soi et à ses émotions. Un moment indispensable qui nous donne l'occasion de faire le point, d'apprendre à mieux comprendre ce qui nous rend heureuse ou au contraire ce qui nous fait souffrir.
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
L'isolement social et la solitude peuvent augmenter les risques de maladie du cœur, d'AVC et de décès précoce. Une étude a révélé que le fait d'être isolé socialement était associé à une augmentation de 60 à 70 % du risque de décès sur une période de sept ans.
Les avantages de rester seul.
Être seul sans distraction vous donne la possibilité de vider votre esprit, de vous concentrer et de penser plus clairement. C'est l'occasion de revitaliser votre esprit et votre corps en même temps. " Avouons-le, les gens peuvent être assez distrayants.
La solitude encourage aussi la connaissance et la compréhension de soi. À ces bienfaits s'ajoute un autre avantage : la création de liens affectifs avec les autres. À première vue, cela peut sembler paradoxal, mais apprivoiser la solitude et le calme améliore nos relations avec les autres et avec nous-mêmes.
Il est probable que l'âge et les parcours individuels vous aient éloignés les uns des autres : quand l'un se marie et l'autre fait des enfants, les quotidiens ne sont plus les mêmes et la famille prend souvent le dessus sur l'amitié.
Phobie sociale : pourquoi je n'aime pas les gens ? Repli sur soi, sentiment d'être en décalage constant avec la société, impression de ne pas être compris, peur d'être jugé, dénigré… Les craintes qui entourent les rapports aux autres sont aussi intenses que diverses.
Même si la solitude est un moyen de se connaitre soi-même, les autres peuvent être un moyen de prendre du plaisir et de se sentir aimer et aimer en retour. In fine, la solitude a de la valeur, car elle apporte de la paix intérieure dans notre vie.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Les personnes solitaires ont fait le choix de vivre ainsi parce qu'elles se sentent mieux de cette manière. Ce n'est pas un problème en soi que vous êtes amené(e) à résoudre. C'est un choix assumé. Être une personne solitaire fait partie de votre personnalité.
Dans un premier temps, le meilleur est sans doute d'aimer sa propre solitude, car c'est là que l'on apprend à s'aimer de façon inconditionnelle. Ce n'est qu'à ce moment-là que nous serons prêts à rencontrer quelqu'un de spécial, quelqu'un dont nous n'avons pas désespérément besoin.
En effet, vivre seul(e) booste la confiance en soi. Car lorsqu'on est avec quelqu'un et qu'un problème (qui nous semble insurmontable) se dresse face à nous, on a tendance à se reposer sur l'autre personne, sans chercher de solution par soi-même. Lorsque l'on vit en solo, nous n'avons pas vraiment le choix.
Si l'on considère ses répercussions sur la santé physique et morale, la solitude subie s'impose comme l'une des grandes maladies du XXIe siècle.
La solitude serait une réponse normale à certaines situations, et non pas un indice de faiblesse psychologique, selon le psychologue américain Robert S. Weiss, qui s'est spécialisé sur la question dans les années 1970. Selon Weiss, la solitude peut être soit un isolement émotionnel, soit un isolement social.
Ne plus être célibataire à 40 ans passe également par le fait de se mettre à une activité dans laquelle vous vous sentez à l'aise. Le sport par exemple vous permettra de faire d'une pierre deux coups en entretenant votre santé, tout en sculptant votre physique.
Ce sentiment est parfois lié à un manque de confiance en soi. On a du mal à s'accepter, à s'estimer, on ne comprend pas comment les autres pourraient nous aimer alors qu'on est comme « ça ». Il arrive également qu'on ait l'impression que si l'autre nous aime, on pourra s'aimer en retour.