La tendance au « passage à l'acte » naît la plupart du temps d'une accumulation de tensions internes, de frustrations, qui a pour origine une incapacité à exprimer ses émotions. Une personne impulsive a du mal à trouver les mots pour décrire ce qu'elle ressent.
Beaucoup de cas d'impulsivité excessive sont inhérents au caractère des personnes qui ont du mal à gérer leurs émotions. Mais il y a souvent des mécanismes sous-jacents : hypersensibilité, troubles de l'humeur, troubles anxieux, addictions, intolérance à la frustration, troubles de la personnalité...
Au quotidien, de nombreux comportements sont qualifiés d'impulsifs. Par exemple, sentir l'odeur d'un pain au chocolat et, sans réfléchir, aller s'acheter une viennoiserie ; ou crier « chocolatine » sur quelqu'un qui dit « pain au chocolat » sont des comportements impulsifs.
L'impulsivité peut être considérée comme une classe diagnostique en soi (ex. trouble du contrôle des impulsions) ou faisant partie des critères diagnostiques de certains troubles psychiatriques comorbides.
Parlez : Lorsque vous sentez que vous allez agir, essayez de prêter attention à ce que vous ressentez et verbalisez-le. Le but est d'essayer d'extérioriser vos émotions au lieu de passer par l'acte ; Relaxez-vous : La relaxation est l'un des meilleurs moyens pour lutter contre l'impulsivité.
Qui agit comme sous la poussée d'une force irrésistible, en l'absence de toute volonté réfléchie : Un impulsif qui ne sait pas se retenir de parler.
L'adjectif "impulsif" est synonyme des mots suivants : "spontané", "fougueux", "emporté", "sanguin", "irréfléchi". Lorsque cette impulsivité devient inadaptée, voire dangereuse, elle peut être qualifiée par les adjectifs suivants : "borderline", "instable", "violent", "bouillant".
Selon les résultats de l'étude, autour de l'âge de 2 ans, les facteurs génétiques seraient responsables de seulement 38 % des variations d'impulsivité observées d'un enfant à l'autre. Cette proportion serait d'à peine 6 % lorsque les enfants atteignent 3 ans.
Les personnes atteintes de trouble de la personnalité borderline ont des difficultés à contrôler leur colère, elles s'irritent souvent de façon injustifiée et excessive. Elles peuvent exprimer leur colère par des sarcasmes cinglants, de l'amertume ou des diatribes virulentes.
Le TDAH est un trouble neurodéveloppemental fréquent (environ 5-8% des enfants et 4 % des adultes) qui se caractérise par une difficulté persistante à moduler l'attention qui se traduit par des erreurs d'inattention, une difficulté à maintenir l'attention de façon soutenue, à résister aux stimuli distracteurs, à ...
L'impulsivité est ainsi associée à divers comportements problématiques tels que les conduites agressives, le tabagisme, l'abus d'alcool et de drogue, le jeu excessif, les achats compulsifs ou encore les troubles du sommeil.
Avoir une mauvaise maîtrise de soi est la principale cause qui nous amène à agir ainsi. Une faible tolérance à la frustration peut également être à l'origine de ces crises de colère. Être impulsif et capricieux favorise également une situation de ce type.
Quelle thérapie pour gérer ses émotions, utilisez la PNL
La PNL use de la communication et se concentre surtout sur les réactions des patients. Elle vous permet alors de dresser des modèles pour votre réussite. Cette technique aide à rétablir la faible estime de soi et favorise la confiance envers les autres personnes.
Une supplémentation en zinc, fer et magnésium pourrait aider à diminuer certains symptômes de l'hyperactivité. Plusieurs études indiquent que les enfants atteints de TDAH souffrent de carences en ces minéraux et qu'une supplémentation durant trois mois peut permettre de réduire des troubles liés à l'hyperactivité.
Les traitements des troubles du comportement
Certains médicaments peuvent être utiles. Dans tous les cas, un suivi psychologique voire psychiatrique se révèle nécessaire. D'autres techniques comme l'hypnose, les thérapies cognitivo-comportementales (TCC), la naturopathie, la méditation peuvent apporter un soulagement.
Traitement. Le traitement qui requiert la psychothérapie cognitivo-comportementale et les prises de psychotropes, parmi des alternatives, ont montré un succès temporaire. Des thérapies peuvent être faites pour aider le patient à reconnaitre et contrôler ses impulsivités.
la dépression; les troubles bipolaires; la dysthymie : impression de vivre une dépression atténuée, caractérisée par une tristesse moins intense et des symptômes moins forts que ceux de la dépression.
La colère (Nu) est associée au Foie. La joie (Xi) est associée au Coeur. La tristesse (You) est associée au Poumon. Les soucis (Si) sont associés à la Rate/Pancréas.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
L'autisme, les troubles de l'attention, la dépression, la schizophrénie et le trouble bipolaire partageraient un lien génétique commun.
Rien de mieux que d'utiliser l'énergie négative pour faire de l'exercice physique. Les tensions s'expriment par l'activité physique et en plus c'est bon à la santé et ça fait du bien au moral ! Les sports recommandés sont les sports plutôt « cardio », ils libèrent de la dopamine, qui aide l'ado à se sentir apaisé.
La première chose à faire est effectivement de lui apprendre à exprimer ses frustrations et son mécontentement par des mots et non par des actes, comme il le fait habituellement. Il aura certainement du mal au début aussi, invitez-le à verbaliser son ressenti avec ses propres mots.
Être égocentrique signifie donc “tout centrer sur soi”. Ce comportement peut devenir gênant pour les autres lorsqu'il est exagéré et systématique. Savoir identifier les personnes égocentriques pathologiques et en connaître la cause aide à mieux réagir quand on est face à elles.
Comment réagir face à une personne caractérielle ? Vivre avec une personne caractérielle est très compliqué sur la durée. "Ne plus accepter, savoir dire "je n'en peux plus" et inciter la personne à consulter un thérapeute semble le seul moyen de s'en sortir. ", souligne le psychologue.
Les troubles de la personnalité correspondent à des modes de comportement inadapté aux normes et aux attentes sociétales. Ils désignent des schémas dysfonctionnels de pensées, de perceptions, de réactions et de relations qui correspondent peu ou pas aux attentes de l'environnement socioculturel.