La logorrhée peut être un symptôme d'une affection psychiatrique : bouffée délirante aiguë, état maniaque d'un trouble bipolaire, schizophrénie, trouble anxieux, ou hyperactivité par exemple. Dans ce cas elle est souvent associée à une tachypsychie, c'est-à-dire une accélération du cours de la pensée.
Toujours avec bienveillance, en posant une main sur l'épaule, par exemple, dites : "Je t'interromps car je voudrais te répondre." Les bavards les plus coriaces ne se laisseront pas intimider par ces diverses techniques d'échappatoire.
En principe, il vous suffit de prendre la parole sans attendre qu'on vous l'offre, mais je vous suggère de faire aussi un petit geste, pour capter le regard du verbomoteur. Levez la main légèrement pour signaler « stop ». Faites-le avec respect. Si la personne ne vous remarque pas, levez la main un peu plus haut.
La logorrhée est un terme médical qui désigne une surproduction verbale. Une personne logorrhéique ressent un besoin intarissable de parler. Son flux de paroles est précipité, diffus et continu. La logorrhée est souvent associée à une tachyphémie, c'est-à-dire à une accélération progressive du débit d'élocution.
Contrairement aux idées reçues, parler tout seul n'a rien d'anormal. Cette habitude peut certes paraître étrange vue de l'extérieur, mais elle est bien loin de cacher un quelconque trouble psychologique.
Essayez de dire ce que vous avez à dire en 20 secondes et donnez l'occasion à la personne qui vous écoute de partager aussi des informations. En général, essayez de ne pas parler plus de 40 secondes d'affilée. Si vous parliez plus longtemps, l'individu qui vous écoute pourrait se sentir irrité ou s'ennuyer.
10- Lever sa main devant le visage de la personne qui commence à parler pour donner la parole à un autre. 11- Vous lever et aller vous installer derrière l'individu prolixe, poser votre main sur son épaule pour lui imposer le silence et poser une question en regardant les autres.
Loquace signifie qui parle beaucoup. Quelqu'un de loquace a tendance au bavardage, il apprécie parler. Ce terme est aussi souvent utilisé à la négative pour désigner quelqu'un qui parle peu : "qui n'est pas loquace".
Le professeur de sociologie américain Charles Derber a donné un nom à cette légère tendance égocentrique à attirer les conversations à soi : le narcissisme conversationnel. Dans ses travaux, il décortique sans ménagement notre société de plus en plus individualiste.
Après avoir interrompu votre interlocuteur, rebondissez sur l'un de ses propos, de manière brève et concise, pour lui montrer que vous avez écouté et compris et que la parole est désormais dans votre camp. Ne vous laissez pas interrompre et n'hésitez pas à répéter « c'est à mon tour de parler maintenant ».
Dans un dialogue équilibré, les deux parties interviennent également, mais les narcissiques conversationnels ont tendance à ne parler que d'eux-mêmes, affirme Kate Campbell, thérapeute conjugale et familiale.
Mais qu'est-ce qui pousse les gens à trop parler? C'est le plus souvent une question de personnalité, mais aussi de circonstances. «Certaines personnes peuvent avoir énormément confiance en elles au travail, par exemple, mais perdre tous leurs moyens face à un individu qu'elles admirent, déclare Camillo Zacchia.
Le profil narcissique, des personnes qui n'écoutent pas parce qu'elles n'écoutent qu'elles-mêmes. La personnalité narcissique est à l'origine de bon nombre de nos frustrations en matière de communication. Ce sont des profils qui n'écoutent jamais le point de vue des autres.
Une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer peut oublier des mots faciles ou les substituer par des mots qui rendront ses phrases difficiles à comprendre. Il lui arrive aussi de ne pas terminer ses phrases.
Parler trop fort peut être un signe de perte d'audition. Les autres signes de perte auditive neurosensorielle comprennent la difficulté à entendre lorsqu'il y a beaucoup de bruits de fond et l'incapacité à comprendre clairement ce que les autres disent.
Selon la psychologue Mélanie Fouré, ce genre de comportement s'explique : "Si l'on exclut les problèmes ORL, le fait de parler plus fort que les autres dénote paradoxalement un besoin de sur-compenser un sentiment d'insécurité, et bien souvent la peur de ne pas avoir la capacité d'attirer l'attention de son ...
Dabney, psychothérapeute exerçant à Virginia Beach (Virginie), fait savoir qu'il est “tout à fait normal de se parler à soi-même”. Il ne s'agit pas nécessairement d'une habitude vouée à disparaître en grandissant ou d'un signe de maladie mentale mais d'une pratique bien plus courante qu'on ne pourrait le penser.
La meilleure façon de se calmer est parfois d'aller faire un tour. Si quelqu'un vous agace en particulier et que vous êtes sur le point de vous effondrer, écartez-vous, allez faire un tour, prenez une pause ou bien allez aux toilettes.
La plus grande des sagesses est de savoir se taire quand on n'a rien à dire.
1. « Je suis désolée d'entendre cela. Est-ce que quelque chose de bon est sorti de cette situation? » Ce genre de phrase prouve que vous avez écouté votre collègue (donc que vous êtes quelqu'un de patient) et la force, elle, à chercher le bon côté des choses.
Apprendre à se taire quand on est en colère
En effet, argumenter alors que l'on est fâché est le meilleur moyen d'envenimer une situation. Pour éviter de dire une bêtise, il est important de canaliser sa colère. Plus calme, on peut parler plus posément, parler sans monter le ton.
Penser à voix haute permet de mettre de l'ordre dans ses pensées et serait utile au bon déroulement de la suite de la journée. Certains feront des listes écrites pour cloisonner leurs tâches à venir, d'autres les exprimeront à voix haute.