Rabaisser les autres est un moyen qu'il utilise pour tenter de rééquilibrer son regard sur lui-même et s'auto-convaincre qu'il a de la valeur. Mais malheureusement, son habitude est totalement contre productive. Il s'enferme dans une spirale de comparaison, et ne réussit pas à combler son vide intérieur.
Ce que vous pouvez répondre, c'est un “Je suis peut-être susceptible, mais je n'accepte pas ce genre de remarque condescendante”. Vous avez le droit de fixer vos limites et de ne pas accepter qu'on vous rabaisse. Le plus important, c'est toujours que votre réponse soit en accord avec votre langage non verbal.
Réussir dans la vie, oui, mais ne pas croire en ses capacités. Voici comment l'on pourrait résumer le syndrome de l'imposteur. Découvert aux Etats-Unis à la fin des années 1980, il touche certaines personnes qui ne s'attribuent pas le mérite de leur succès.
Essayez de savoir si ces personnes ont quelque chose d'intéressant à vous apprendre, si elles peuvent vous apporter du positif ou du constructif. Si ce n'est pas le cas, gardez alors en tête que vous ne perdez rien à les ignorer totalement lorsqu'elles vous rabaissent. Faites comme si vous n'aviez rien entendu.
Se dit d'une personne hautaine, arrogante.
"Cela peut être par manque de confiance en soi ou par dépendance affective" suggère Chantal Pironi, psychologue. Dans ce dernier cas, le conjoint rabaissé laisse décider l'autre pour lui. A noter : "Une personne qui rabaisse son conjoint manque aussi de confiance en elle", précise notre interlocutrice.
Autrement dit, lorsque nous critiquons les autres, nous projetons nos peurs, nos insécurités, nos défauts et nos failles. Les personnes jalouses et envieuses sont généralement celles qui émettent le plus de critiques. En agissant ainsi, elles détournent leur regard d'elles-mêmes par peur de ce qu'elles pourraient voir.
Il n'est pas en sécurité et a une faible estime de soi : une personne qui n'est pas en sécurité ou qui se sent inférieure critique souvent l'autre comme un moyen d'améliorer sa perception de lui-même. Il projette ses peurs, ses faiblesses et ses échecs sur les autres.
Dans ce cas, la critique est utilisée en tant qu'instrument d'humiliation et de vengeance. d'autre part Comment appelle t '- on une personne qui rabaisse les autres ? À un moment ou à un autre dans nos vies, nous sommes destinés à rencontrer ce qu'on appelle des détracteurs.
Le critiqueur
Ses commentaires vous blessent et minent peu à peu votre confiance.
Quand quelqu'un vous provoque verbalement et essaie de vous pousser à bout, choisissez tout naturellement de l'ignorer et de ne pas lui répondre, voire même de quitter la pièce sans mot dire. Cette méthode va embarrasser la personne qui essaie de vous toucher, et celle-ci se retrouvera penaud face à votre silence d'or.
Vous pouvez aussi répondre avec humour (selon l'interlocuteur que vous avez en face de vous, bien sûr) : “Qu'es-tu allée faire à Paris hier ?” “Écoute, si l'on te pose la question, tu pourras toujours dire que tu ne sais pas !” ? L'humour est souvent une bonne façon de détourner l'attention sans blesser personne, vous ...
« Merci, cela me touche beaucoup », « Merci, j'apprécie», «Je vous remercie, c'est important pour moi », « Cela me fait plaisir, même si je suis un peu embarrassé (ou désarçonné) par le chaleur de votre compliment.
Anne-Laure Buffet utilise le mot d'emprisonneur pour désigner les bourreaux, auteurs de violence psychologique (ces emprisonneurs peuvent être des hommes ou des femmes, de tout âge et de toute classe sociale).
Paranoïaques et inhibés sont les plus touchés
« Il y a trois grandes familles de personnes très susceptibles à la critique, explique la psychologue clinicienne Marie Haddou. D'un côté, les paranoïaques qui sont très vigilants. Ils remarquent des choses que nous ne voyons pas et ont un sentiment de persécution.
Un reproche exprime ce que la personne qui l'émet ne sait pas voir d'elle-même. C'est un besoin qu'elle ne sait pas identifier et combler seule. Aussi elle renvoie la responsabilité de son insatisfaction à l'autre.
Différents facteurs peuvent en être la cause, mais un dénominateur est souvent commun : notre réaction face à cela. Peut-être avons-nous tendance à prendre tout ce qui arrive trop à cœur, comme des attaques sur notre propre personne, sans mettre de la distance et analyser le problème.
Assumez. Si la situation le permet, ne vous cachez pas. Affirmez-vous et montrez aux personnes qui vous entourent, mais surtout à vous-même, que cette mauvaise passe ne vous définit pas et ne va pas vous détruire. Ne vous laissez pas dominer par la honte et l'humiliation.
Des recherches récentes montrent que la perception de mauvaises alternatives à la relation augmente la probabilité de rester avec un partenaire indésirable, et que les femmes ayant une faible estime de soi perçoivent moins d'alternatives souhaitables à leurs relations actuelles.
La cause de son comportement se cache peut-être dans une difficulté à assumer ses sentiments amoureux. Vous lui plaisez mais, pour une raison ou pour une autre, il sait que vous ne pourrez jamais être ensemble. Et vouloir quelque chose qu'on ne peut pas avoir est très frustrant.
Restez loin de la personne.
Si vous vous sentez à l'aise, vous pourriez dire calmement : « Arrête de faire ça » ou « Tu es en train de dépasser les bornes avec ce que tu fais. Je m'en vais. » Si vous ne pouvez pas vous retirer, faites-lui comprendre par vos actions que vous ne voulez pas interagir.