La métonymie est une figure de substitution, car elle crée un rapport d'équivalence entre deux éléments. En remplaçant un terme par un autre qui lui est lié, elle permet de faire ressortir une caractéristique de la réalité qu'elle représente pour en dégager un sens, parfois mélioratif ou péjoratif.
Métaphore repose sur un rapport de ressemblance entre deux réalités, or la métonymie se fonde sur un rapport de voisinage et sur un rapport de relation logique entre ces deux réalités. Par exemple, une « bouteille » ne ressemble pas à du « vin », « Paris » ne ressemble pas à ses « habitants », etc.
didactique Figure par laquelle on exprime un concept au moyen d'un terme désignant un autre concept qui lui est uni par une relation nécessaire (cause et effet, inclusion, ressemblance, etc.). « Boire un verre » (boire le contenu) est une métonymie.
1. Phénomène par lequel un concept est désigné par un terme désignant un autre concept qui lui est relié par une relation nécessaire.
La métonymie est une figure de style de substitution. On remplace un terme par un autre. Quant à la synecdoque, c'est une forme de métonymie qui donne, à un mot ou une expression, un sens plus large ou plus restreint que sa propre signification.
Synecdoque. Une synecdoque est une figure de substitution qui consiste à remplacer le tout par la partie ou l'objet par la matière avec laquelle il est fait. Le but est de donner à un mot un sens plus large ou plus restreint que son sens habituel.
La périphrase : Figure qui consiste à remplacer un mot par une expression de même sens. La métonymie : Figure qui consiste à remplacer un mot par un autre pour désigner le tout par une partie, le contenu par le contenant.
La métonymie est une figure de substitution, car elle crée un rapport d'équivalence entre deux éléments. En remplaçant un terme par un autre qui lui est lié, elle permet de faire ressortir une caractéristique de la réalité qu'elle représente pour en dégager un sens, parfois mélioratif ou péjoratif.
“Mon bras”, c'est encore une métonymie* car en fait cela désigne autre chose qui est lié : sa vaillance, sa force physique.
L'action de trinquer est le fait d'entrechoquer son verre avec celui d'une personne avec laquelle on s'apprête à boire. Le verbe « trinquer » vient de l'allemand trinken, qui signifie « boire ». Lorsque ce moment s'accompagne d'un discours, on utilise alors les expressions porter un toast ou lever son verre.
La prosopopée est souvent incluse dans une allégorie comme dans l'exemple précédent. Elle permet en définitive d'animer davantage l'allégorie, de la rendre vivante en la faisant parler comme un être doué de paroles.
Très employée dans le langage publicitaire, la métaphore filée permet de capter l'attention des récepteurs, afin de le conduire vers une impression d'ensemble et donc à l'adhésion.
L'antiphrase (substantif féminin), du grec antiphrasis, de anti- préfixe (« contre ») et phrasis (« action d'exprimer par la parole »), est une figure de style qui consiste à employer, par ironie ou par euphémisme, un mot, une locution ou une phrase, dans un sens contraire à sa véritable signification.
Est métaphorique ce qui a recours à la métaphore, procédé linguistique fondé sur une relation d'analogie ou de similarité entre deux choses. Exemple : Ce poème est métaphorique, il utilise des images pour exprimer des émotions.
La métonymie consiste à désigner un concept par l'intermédiaire d'un autre avec lequel il entretient un lien logique. Ainsi l'on dit « croiser le fer » quand le fer désigne en réalité les épées avec lesquelles l'on se battait.
L'euphémisme fait donc, comme beaucoup d'autres figures de style, partie de notre quotidien. L'autre sujet qui nous fait utiliser beaucoup d'euphémismes est la mort : on le dit rarement de façon directe (on utilise plutôt : « il est parti » ou « il nous a quittés »).
L'antiphrase
Exemple : « Ah, quel beau temps ! », alors qu'il pleut, pour signifier « Ah ! Quel temps exécrable ! ».
La répétition peut être considérée comme une faute de style, mais elle peut aussi véhiculer et mettre en valeur une idée. Elle crée un rythme, et renforce l'idée, la sensation, l'émotion. Jean Giono traduit ainsi la monotonie qui se dégage du paysage : La terre était grise, le blé était gris, le ciel était gris..
Le chiasme est une figure d'opposition qui crée un effet de contraste entre des énoncés rapprochés. D'ailleurs, parfois, le fait que les éléments soient placés dans l'ordre inverse change leur signification.
Le mot « euphémisme » vient du grec phêmi (« je parle »), et du préfixe eu ( « bien »), et désigne une figure de style dont le but est d'atténuer le caractère désagréable ou brutal d'une idée.
La périphrase est une figure de style qui consiste à exprimer en plusieurs mots ce qu'on aurait pu dire en un seul terme. L'utilisation de cette figure permet.
L'oxymore et l'antithèse sont des figures de style d'opposition. Dans l'antithèse, deux mots ou deux expressions s'opposent. L'oxymore fonctionne comme l'antithèse, mais à l'intérieur d'un même groupe de mots.
Il existe de nombreuses figures de style, chacune avec ses propres caractéristiques et effets, mais quelques exemples courants incluent la métaphore, la comparaison, l'anaphore, l'antithèse, l'hyperbole, la litote, la personnification, l'allitération, l'assonance et la répétition.