Les réponses des bibliothécaires sont presque unanimes à le souligner : on lit pour se distraire, beaucoup plus qu'avec le souci de s'instruire.
Lire stimule le cerveau et améliore la mémoire
La lecture est un excellent moyen pour le faire travailler puisqu'elle participe à une bonne stimulation cognitive. Cela permet aussi à notre cerveau d'augmenter ses capacités de mémorisation, de réflexion, d'analyse ou encore d'imagination.
La lecture nous fait voyager et même si l'histoire qu'on lit ne se passe pas à l'autre bout du monde, elle aide notre esprit à oublier les tracas du quotidien !
La littérature ouvre à la sensibilité, à la façon de voir, à la condition des autres : aussi s'avère-t-elle de plus en plus indispensable à toute démocratie, à toute vie politique responsable, spécialement dans le contexte de la mondialisation, comme l'a rappelé récemment Martha Nussbaum.
La lecture favorise l'apprentissage, elle permet le développement mental et l'expression orale. Elle développe les fonctions cognitives (fonctions intellectuelles). Les livres permettent de forger l'esprit critique par la confrontation entre les idées ou les idéologies.
L'objectif de la lecture est la compréhension d'un texte, objectif qui se trouve donc en dehors de l'activité elle-même. Pour ce faire, le lecteur passe par un double traitement de l'information : le traitement des mots écrits et la compréhension du contenu.
Premier enseignement : la lecture reste une activité « importante » chez les jeunes, qu'elle soit prescrite dans le cadre scolaire (89%) ou librement choisie dans celui des loisirs (78%). En moyenne, les jeunes lisent six livres par an, dont deux dans le cadre scolaire et quatre dans celui des loisirs.
Dès que commence l'adolescence, l'enfant n'a plus envie de lire. Jusqu'au lycée, les professeurs de français imposent la lecture, souvent des ouvrages qui ne traitent pas de leurs différents centres d'intérêts, ce qui décourage l'ado à ouvrir un livre.
La lecture permet de partager les émotions investies dans les livres. D'après Pierre Sève « la lecture reste une activité intime, réellement subjective » mais elle est en même temps une pratique sociale.
Lire un roman, une histoire fictive, est une expérience extraordinaire : c'est la découverte d'un imaginaire différent du sien, de nouvelles pensées, des sensations inattendues… Et bien sûr, cela fait vivre une aventure inédite.
Il a un intérêt documentaire Il fait rire ou il fait peur Il permet de s'évader Il m'a fait comprendre une époque Il procure des émotions Il fait réfléchir Il rappelle des choses vécues L'auteur cherche à émouvoir, effrayer, témoigner, démontrer, critiquer…
Vous aimez les livres et vous possédez une bibliothèque que vous aimez exposer à la vue de tous ? Vous êtes ce qu'on appelle un bibliophile.
1. Action de lire, de déchiffrer toute espèce de notation, de prendre connaissance d'un texte : La lecture d'un plan, d'un message en morse, d'un livre. 2. Le fait de savoir lire, déchiffrer et comprendre ce qui est écrit : Enseigner la lecture.
La lecture joue un rôle très important dans le développement de l'enfant car elle permet d'éveiller ses sens, de développer son imagination et stimuler son cerveau. Qu'une histoire soit écoutée ou lue, c'est une expérience incroyable qui nous embarque dans un voyage extraordinaire.
C'est vous dire combien la lecture est un puissant moyen de développement de l'esprit humain. En la pratiquant, elle vous procure non seulement du bonheur sur le plan psychique mais aussi sur le plan social. Dans le premier cas on assiste à la détente du cerveau et à son ouverture intellectuelle.
La lecture a bien plus d'effet que l'idée de liberté, ou encore le fait de prôner l'asservissement humain, elle peut juste servir pour passer le temps, se distraire ou encore se cultiver. La lecture peut cultiver l'être humain. Elle offre aux lecteurs la possibilité de s'enrichir intellectuellement et d'étudier.
Conclure (utilisé surtout pour la conclusion d'une production écrite) : au total, tout compte fait, tout bien considéré, en somme, en conclusion, finalement, somme toute, en peu de mots, à tout prendre, en définitive, après tout, en dernière analyse, en dernier lieu, à la fin, au terme de l'analyse, au fond, pour ...
Les filles et les lycéens lui accordent largement leur préférence, puisqu'il arrive en tête parmi tous les autres genres. Le plus souvent, les jeunes choisissent un livre d'après les conseils de leur famille, ou bien après avoir vu un film ou une série, qui aiguisent leur appétit d'en savoir plus sur l'histoire.
Les filles restent toujours les plus nombreuses à s'adonner à la lecture plaisir, 87% contre 70% pour les garçons, mais les garçons qui lisent pour le plaisir, lisent plus de livres. Plus le niveau dans les études augmente moins le nombre de livre est lu, c'est-à-dire qu'à l'entrée au collège, on passe de 6 livres à 2.
Moralité, les jeunes ne maîtrisent plus la conjugaison et les règles grammaticales. Les raisons profondes de cette « crise de la lecture» sont à chercher dans les environnements scolaire et même universitaire, le faible niveau des élèves, les programmes dépassés et inadaptés…
Les séniors et les femmes comptent parmi les plus gros lecteurs. Le livre reste un objet de plaisir pour nombre de Français, qui en offrent volontiers à leurs proches.
Alors, dans les pays qui lisent le plus, on retrouve en première place l'Inde, avec plus de 10 heures de lecture par semaine, suivie de près par la Thaïlande et la Chine.
Et les chiffres de 2018 marquent même une accentuation de ce recul du livre papier dans la population avec un niveau jamais atteint (38 %). L'évidence du geste de la lecture s'amenuise. En 2018, près de ¾ des Français disent lire moins de 10 livres par an.