Le petit âge glaciaire est une période climatique froide principalement localisée sur l'Atlantique nord ayant approximativement eu lieu entre le début du XIVᵉ et la fin du XIXᵉ siècle. Elle est caractérisée par une série d'hivers longs et froids.
Cette étude indique que la prochaine glaciation serait retardée de 100'000 ans en raison des émissions de CO2.
Le « Petit Âge Glaciaire. » (1350-1850 apr. J. -C.), en abrégé PAG, a été caractérisé par la plus importante récurrence glaciaire des temps post-glaciaires, avec quatre maxima : vers 1350, 1640, 1820 et 1850.
Miller et al., Geophysical Research Letters, janvier 2012), le petit âge glaciaire aurait commencé entre les années 1275 et 1300. Il aurait été causé par quatre éruptions volcaniques survenues en moins de cinquante ans.
La dernière période glaciaire est une période de refroidissement global ou glaciation qui caractérise la fin du Pléistocène. Elle commence il y a environ 110 000 ans et se termine il y a environ 10 000 ans quand commence l'Holocène.
Il y a environ 20.000 ans, la Terre sortait de la "dernière période glaciaire". Des chercheurs de l'université d'Arizona ont estimé que la température moyenne de la Terre à l'époque était de 7,8 degrés.
Le réchauffement climatique est en train de perturber la circulation des courants marins, et notamment le Gulf Stream, ce qui nous amènerait, dans une probabilité de 50 % vers une ère de refroidissement brutal impactant l'hémisphère nord d'ici quelques décennies.
Le petit âge glaciaire a été provoqué par un réchauffement.
La saison de croissance des céréales durait trois semaines de plus qu'auparavant : la chaleur débutait en juin et était stable jusqu'en août, période des récoltes (en été, la température moyenne était de 0,7 à 1oC supérieure à celle du XXe siècle). En outre, les gelées furent moins fréquentes entre 1100 et 1300.
Dans un contexte global de réchauffement, certaines régions, océaniques notamment, par exemple à la suite de modifications des courants marins, de la stratification des eaux froides ou salées (plus denses) et/ou du régime des vents, en lien avec la fonte des glaces polaires peuvent être exposées à un refroidissement.
Les chercheurs pensent que, d'ici 2030, la majeure partie de la zone glaciaire du Parc National de Glacier aura disparu à moins que les modèles courants du climat n'inversent leur cours.
La plupart des paléoclimatologues pense que la fin des âges glaciaires est systématiquement causée par la précession des équinoxes, ce lent changement de direction de l'axe terrestre qui décrit un cône (une révolution en 26 000 ans environ) comme une toupie en rotation et qui est dû à la rotation de la Terre sur elle- ...
Alors qu'une période glaciaire dure environ 80 000 ans, les périodes interglaciaires sont plus courtes (de quelques milliers d'années à 20 000 ans).
Surpopulation ou extinction : en 2030, nous serons 8,5 milliards sur Terre.
Depuis sa formation il y a 4,5 milliards d'années, la Terre ne cesse de dégager de la chaleur, et donc de se refroidir. Cette chaleur provient majoritairement de la désintégration radioactive des composants des différentes enveloppes terrestres.
Quatre périodes glaciaires se sont succédé durant ces 600.000 dernières années. Séparées par des périodes interglaciaires, elles portent les noms de Günz, Mindel, Riss et Würm. Celle-ci s'est achevée voici 11.600 ans. Les calculatrices en test - voir ici !
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
25 avril 1947 : on observe une véritable canicule dans tout le sud-ouest - il fait 32° à Mont-de-Marsan, 31°à Biarritz et Bordeaux - cette chaleur remonte jusqu'en Touraine avec 28°. l'été 1947 : l'un des plus chaud jamais enregistrés en France.
Le Maximum Thermique de la transition Paléocène-Éocène, il y a 55,9 millions d'années, représente l'une des plus importantes crises climatiques que la Terre ait connue.
Le cycle actuel de 100 000 ans est principalement lié aux variations de l'excentricité de l'orbite terrestre.
Ces calottes se sont formées par accumulation de neige sur de très longues périodes et s'apparentent en quelque sorte à des glaciers géants de glace non salée. Banquise : couche de glace (au maximum quelques mètres d'épaisseur) formée à la surface de la mer par congélation d'eau salée.
Le Gulf Stream, qui confère à l'Europe de l'Ouest son climat tempéré, a 15 % de chances de s'arrêter dans le prochain siècle, selon une nouvelle simulation. Les perturbations du Gulf Stream sont liées à la fonte du Groenland et la modification du régime de précipitations sur l'Atlantique.
Conséquences attendues lorsque le moteur du Gulf Stream cessera de tourner : un bouleversement des précipitations, dont dépendent les ressources en nourriture des populations en Inde, en Amérique du Sud ou en Afrique de l'Ouest, ou encore l'augmentation des tempêtes et une baisse des températures en Europe de l'Ouest.
Après 1 000 ans de stabilité, le Gulf Stream s'affaiblit
Des études antérieures de Stefan Rahmstorf du Potsdam Institute for Climate Impact Research et de ses collègues ont montré un ralentissement du Gulf Stream d'environ 15 % depuis le milieu du XXe siècle.