Entre les 4 et 12 février, des températures de -10 °C à -14 °C ont été observées quotidiennement sur plusieurs régions. Localement, le froid fut parfois plus marqué encore avec des valeurs inférieures à -16 °C, voire -18 °C jusqu'à basse altitude. À l'échelle de la France, cet épisode est tout à fait exceptionnel.
Selon ces chiffres, l'hiver 2022 est l'un des plus doux de ces 150 dernières années. Cependant, il n'y a pas de quoi créer la surprise car cette année s'inscrit dans une longue liste d'hivers plus chauds que la normale. C'est ainsi que la période hivernale se démarque par sa douceur pour la 9e année consécutive.
En janvier, on aura moins froid mais attention aux précipitations qui, elles, seront plus présentes. Le site web-agri de préciser : « À noter un risque non négligeable de tempêtes au cours de ce premier mois de l'année 2023. »
En 5 jours, nous passerons donc d'un temps de mai à un temps de février. L'épisode à venir n'est pas sans rappeler le coup de froid observé l'année dernière, en début avril 2021, qui faisait suite lui-même à une vague de chaleur précoce fin mars.
L'hiver 2022/2023 devrait donc se montrer globalement plus doux que la normale sur la France dans la continuité des hivers précédents, notamment sur le Nord du pays où les prévisions s'accordent sur des anomalies de températures positives plus récurrentes mais également un temps sensiblement moins perturbé qu'au Sud.
L'été 2022 est le deuxième le plus chaud jamais observé, "avec une température moyenne de 22,7 °C sur le trimestre juin-juillet-août, soit une anomalie de +2,3 °C par rapport à la normale", explique Météo France, lors de son bilan estival ce mardi 30 août.
Une évolution non linéaire. En effet, l'été 2022, deuxième été le plus chaud en France après celui de 2003, pourrait même être à l'avenir considéré en termes de chaleur comme la "borne inférieure", propos tenus sur franceinfo cette semaine par Jean-Marc Jancovici, président du groupe de réflexion "The Shift project".
Un léger apport en air océanique fera reculer les températures durant la journées du samedi 23 juillet 2022 mais une nouvelle pulsion chaude devrait intervenir dès le lendemain.
Plus précisément, cette vague de froid provient d'Arctique, et va traverser la France du nord au sud. Le phénomène est d'autant plus spectaculaire du point de vue des températures qu'il fait suite à un puissant anticyclone qui stagnait en haut de la France, indéboulonnable depuis la mi-mars.
Plus le climat va se réchauffer, plus on aura des épisodes de grand froid en France. Cela peut paraître contre-intuitif mais c'est scientifiquement prouvé. La cause : le vortex polaire.
La première grosse tempête de neige de l'hiver 2023, toujours selon l'Almanach des fermiers, devrait avoir lieu au cours de la deuxième portion du mois de janvier. C'est également au cours de ces semaines où l'on pourra ressentir une poussée d'air arctique.
Avec une température moyenne de 22,7°C et un excédent de +2,3°C à la normale 1991-2020, cet été 2022 se classe au 2ème rang des étés les plus chauds jamais enregistrés depuis 1900, derrière 2003 (+2,7°C) et devant les étés 2018 et 2019 qui avaient été également très chauds.
L'été 2022 fait parti des été les plus chauds qu'a connu la France. Retour sur les épisodes caniculaires de juin, juillet et août 2022.
Météo France prévoit un "printemps chaud et sec" sur l'Hexagone pour les périodes de mars à mai 2022. C'est une nouvelle qui pourrait remonter le moral en cette période angoissante et difficile. Météo France a dévoilé ses prévisions pour le printemps 2022 en France, le 1er mars dernier.
La fin de l'automne météorologique 2022 verrait les premières offensives hivernales (gelées) bien que la tendance majoritaire reste à d'assez fortes accumulations d'eau au Nord de la Loire (+5%). Dans ces conditions, l'anomalie thermique se ferait autour de la normale (0,0°C) et le soleil assez aléatoire.
Les satellites du programme d'observation de la terre de l'Union européenne, Copernicus annoncent ce vendredi 20 mai 2022 des vents chargés de poussières du Sahara, qui toucheront l'ouest du pays.
Sortez les écharpes et les doudounes, le froid de l'hiver arrive ! Les températures vont chuter à partir de dimanche 21 novembre 2021 et la semaine prochaine, d'après plusieurs modèles météorologiques.
C'est l'hiver 1962-63 qui détient toujours de loin le record, avec une température moyenne de 0,7 °C de décembre à février, soit 4,7 degrés sous la moyenne de référence 1981-2010 (5,4 °C). À l'opposé, l'hiver 2015-16 reste le plus chaud mesuré, avec 8,0 °C, soit 2,6 degrés au-dessus de la normale.
A l'instar du mois de mars, le mois d'avril est marqué par de fortes amplitudes thermiques et il n'est pas rare de voir des flocons en début du mois comme de dépasser les 25°C sur toute la France après Pâques. Ces premiers coups de chaud de l'été qui se profilent sont la caractéristique notable des mois d'avril.
Semaine du 25 au 31 juillet : c'est la fin de la canicule, les températures redeviennent agréables avant une nouvelle hausse des températures le dimanche 31 juillet.
Si les fortes chaleurs vont perdurer jusqu'à la fin de la semaine en France, l'ampleur de la baisse des températures attendue dès le lundi 15 août 2022 reste encore assez incertaine et semble beaucoup moins importante que prévu jusqu'à hier.
PIC DE CHALEUR 2022. Un nouveau pic de chaleur est attendu sur la France la semaine prochaine, du 22 au 28 août. Mais pour l'instant pas de canicule selon les experts. [Mis à jour le 19 août 2022 à 16h14] La France a connu trois épisodes caniculaires au cours de l'été 2022.
En France :
Août 2022 devrait renouer avec des conditions météo estivales au retour des hautes pressions sur la France. La chaleur serait bien installée sur le pays, parfois forte. Un risque de canicule est envisagé.
Septembre 2022 devrait conserver une certaine chaleur estivale, surtout vers le sud et l'est de la France dans une atmosphère souvent lourde. Les températures seraient davantage de saison au nord de la Loire où un chouia au-dessus.
Ce mois d'août a poursuivi une série de mois particulièrement chauds. Au final, l'indicateur thermique national (basé sur les relevés de températures minimales et maximales de 30 stations métropolitaines) s'est élevé à 23.68°C soit une anomalie thermique portée à +2.6°C sur ce mois d'août 2022.