On utilise le terme chaîne anaphorique lorsque l'on retrouve plusieurs énoncés ayant le même référent. Une anaphore ne peut pas être reliée de façon arbitraire à n'importe quel syntagme nominal dans une phrase.
Une anaphore est la répétition d'un mot, d'un nom ou de plusieurs mots en début de phrase. Elle permet de mettre l'emphase sur une idée, un objet, une personne… Elle rythme un énoncé, souligne un mot, une idée, une obsession...
Reprise du même mot au début de phrases successives. (Exemple : Mon bras qu'avec respect toute l'Espagne admire, / Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire [Corneille].) 2. Processus par lequel un segment du discours (dit anaphorique) renvoie à un autre segment (dit antécédent) apparu dans le même contexte.
L'anaphore attire l'attention sur un élément crucial de votre discours. Le groupe de mots répété est l'objet principal de votre présentation, c'est le message que votre auditoire doit retenir. Si on regarde l'exemple de Carglass, répéter le nom de la marque permet de l'ancrer dans le cerveau des spectateurs.
Une anaphore est un mot ou un groupe de mots utilisé pour remplacer un mot ou un groupe de mots qu'on appelle référent. Par exemple, dans la phrase Maman m'a dit qu'elle prendrait des photos, le mot elle est une anaphore et son référent est maman.
On est loin de la définition de l'anaphore comme « figure de style qui consiste à attaquer chaque phrase par le même mot ou le même syntagme ». La répétition apparaît comme un phénomène qui se déploie bien au-delà du syntagme, bien au-delà de l'anaphore.
– Une reprise anaphorique est un mot ou un groupe de mots qui reprend un élément qui est déjà apparu dans le texte. Exemple : Ma sœur s'appelle Inès, elle est très gentille. è Ici le groupe nominal « ma sœur » est repris par le pronom personnel « elle ».
On tend aujourd'hui à donner à anaphore un sens plus strict en l'opposant à cataphore : on parle de relation d'anaphore quand le terme qui reprend suit le terme repris, et de cataphore si le terme qui reprend précède le terme repris.
Une épiphore (substantif féminin), du grec epi (« en plus ») et pherein (« porter, répéter, ajouter ») est une figure de style consistant en la répétition, à la fin de deux ou de plusieurs groupes de phrases ou de vers qui se succèdent, d'un même mot ou d'un même groupe de mots.
L'anaphore est la répétition ou la reprise d'un même mot ou d'un même syntagme (plusieurs mots) en début de phrases, de propositions, de paragraphes, de groupes de mots, de strophes ou de vers qui se suivent.
Fort logiquement l'épanadiplose, du grec epi (sur), ana (de nouveau) et diploos (double), est la figure inverse de l'anadiplose. Elle reprend à la fin d'une proposition, le même mot que celui situé au début d'une proposition précédente.
Ca s'écrit comme une amphore, une métaphore ou un sémaphore : c'est une anaphore. En grammaire, une anaphore est un mot ou un syntagme qui, dans un énoncé, assure une reprise sémantique d'un précédent segment, appelé antécédent. Exemple : « Simone n'a pas beaucoup de vocabulaire ; elle utilise le mien ».
Portée par l'anaphore de « J'accuse », la construction de la conclusion en paragraphes courts dégage une impression de dynamisme destiné à suggérer au lecteur l'importance du crime (mise en valeur du terme « accuser »), l'urgence de sa dénonciation et la détermination de l'auteur.
Exemples d'anaphores en poésie
L'anaphore est une figure de style de la répétition, qui permet d'amener de la musicalité et de la symétrie dans un texte. Cela ne vous surprendra donc pas trop si je vous dis qu'elle est beaucoup utilisée en poésie.
Les figures d'analogie : la comparaison, la métaphore, l'allégorie, la personnification, la périphrase, la métonymie. Les figures d'atténuation ou d'exagération : l'hyperbole, la litote, l'anaphore, l'euphémisme, l'énumération, la gradation. Les figures de contraste : l'oxymore, l'antiphrase, l'antithèse, le chiasme.
Définition de pléonasme nom masculin
➙ redondance. Pléonasme fautif (ex. monter en haut ; panacée universelle ; prévoir d'avance).
L'anaphore
On répète le même mot ou la même expression en tête de vers, de phrase ou de paragraphe. Cela met l'accent sur une idée, pour convaincre ou rythmer l'énoncer. L'anaphore est une figure de style que l'on retrouve fréquemment dans les discours, notamment dans les discours politiques.
L'épiphore, définition
Cette figure de style est souvent présentée comme l'opposée (ou la petite soeur) de l'anaphore, car elle consiste à répéter un mot ou un groupe de mots (aussi appelé syntagme) à la fin de plusieurs phrases, ou vers, ou groupes de phrases.
La syllepse est un procédé, aussi appelé double sens et syllepse oratoire ou de sens, qui permet notamment de mettre l'accent sur l'imaginaire ou l'humour et de créer un lien de complicité avec le lecteur ou la lectrice.
Un ostinato ("obstiné") est une formule mélodique, harmonique et/ou ryhtmique qui est répétée tout au long d'un morceau.
Le substitut cataphorique. La cataphore est une figure de style qui consiste à employer un mot pour un autre qui n'est pas encore cité explicitement.
L'anaphore
Cette figure de style consiste à utiliser le même mot ou le même groupe de mots au début de phrases successives.
C'est identifier ce qu'un mot ou un groupe de mots remplace. On appelle mots de substitution les mots utilisés pour en remplacer un autre qu'on appelle référent. Le lien entre le mot de substitution et le mot qu'il remplace s'appelle une référence.
L'oxymore, aussi appelé oxymoron, est une figure de style d'opposition qui consiste à rapprocher deux mots, expressions ou groupes de mots qui ont des sens opposés. Ces éléments se retrouvent généralement dans un même groupe de mots.