La locution adverbiale par contre marque une opposition entre deux énoncés. Exemples : Tu as généralement raison; par contre, cette fois, tu as tort. Ce service, gratuit jusqu'à récemment, est maintenant payant.
Employer la locution « par contre » ne constitue pas une faute, puisqu'elle est admise dans le registre courant. Pour clore le débat, nous nous rangeons à l'avis de Larousse. Il est recommandé d'employer « en revanche » dans l'expression soignée – on dit aussi « la langue surveillée » – en particulier à l'écrit.
L'orientation argumentative de ces locutions n'est pas la même : « par contre » « introduit un avantage ou un inconvénient, alors que « en compensation » et « en revanche » n'introduisent qu'un avantage.
En revanche signifie « en compensation », « en contrepartie », et annonce donc une information positive, un atout, un avantage, par rapport à l'information qui la précède.
En revanche,
en retour, en compensation, en contrepartie.
En revanche. Adverbe employé pour marquer une opposition entre d'un côté une chose et de l'autre une autre. Synonyme de locutions telles que au contraire, à l'inverse, à l'opposé ou encore en compensation.
Quand dire néanmoins ? Le mot "néanmoins" est un adverbe qui a pour fonction de marquer l'opposition ou bien encore la concession. A l'image de son synonyme "cependant", un autre adverbe dont il se rapproche fortement par le sens, il sert à nuancer un propos ou une idée.
TOUTEFOIS, adv. Adverbe coordonnant ,,introduit un rectificatif destiné à empêcher qu'on ne généralise trop la portée de l'assertion précédente ou à la limiter en énonçant un fait qui en est exclu: toutefois pose deux faits qui s'opposent sans que le deuxième ait le pouvoir de détruire la valeur du premier`` (M. -A.
Par conséquent est une locution que l'on peut utiliser pour remplacer le mot "donc" et qui signifie en conséquence. Exemple : J'ai donné satisfaction à mes clients toute l'année et par conséquent mon patron a décidé de m'accorder une augmentation.
Une redondance aussi dans « Aujourd'hui »
Autre raison pour laquelle on ne doit pas dire cette expression : le mot « aujourd'hui » est lui-même un pléonasme. Le « hui » à la fin du mot signifie en ancien français « en ce jour ». À ce jour, on a gardé cette construction.
La langue soutenue et l'Académie française refusent l'emploi de la locution « des fois », courant dans le français de tous les jours. Il faudrait lui préférer des synonymes, comme « parfois », « quelquefois« , « de temps en temps », « de temps à autre », ou les plus littéraires « maintes fois », « bien des fois », etc.
Pour cette raison, à cause de cela, etc.
D'un autre côté, d'autre part, pour un autre motif, autrement, de surcroît, pour le reste.
Sans avoir égard à ; en dépit de, malgré.
"parcontre" n'existe pas. On écrit "par contre". "Par contre" est une vieille locution. D'après projet-voltaire.fr, utiliser "par contre" n'est pas une faute car c'est admis dans le registre courant, mais il est recommandé d'utiliser "en revanche" dans l'expression soignée.
Origine : L'expression est un synonyme de l'adverbe "ensuite". On parle ici de ce qui arrive ultérieurement, après un événement donné. Un événement a lieu, et on prévoit la suite.
L'Académie emploie sans réserve aucune C'est pourquoi dans le sens de C'est la raison pour laquelle. Toutefois, Joëlle considère que C'est pourquoi est incorrect, argument à l'appui.
C'est en effet une différence entre ces deux locutions adverbiales, "en conséquence" peut être employée comme un adverbe de manière. Mais dans le deuxième exemple, elle peut aussi se substituer à "par conséquent" : Il a grillé le feu rouge, en conséquence il s'est fait verbaliser.
Étymologiquement, cependant est « pendant cela » ; pourtant est « pour une si grande chose » ; néanmoins est « nullement moins » ; et toutefois est « parmi toutes les fois ». Il a bon visage, cependant il est malade ; pourtant il est malade ; néanmoins il est malade ; toutefois il est malade.
Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
"Mais" peut être utilisé très souvent, "cependant" seulement quand la 2eme partie de la phrase contredit la 1ere.
Néanmoins, cependant, pourtant.
Si le remplacement par « bien que » est possible, il faut écrire « quoique », en un seul mot. Dans le cas contraire, il s'agit de la locution « quoi que ». Quoiqu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite. = Bien qu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite.