Dans pour que je puisse , on écrit puisse avec la terminaison -e . Ce verbe est conjugué au subjonctif présent, avec le sujet je . On écrit donc par exemple : pour que je puisse m'organiser , pour que je puisse vous les transmettre , pour que je puisse commencer .
exemple : je serai tellement désolée qu'elle ne puisse pas assister à cette soirée. exemple : je doute qu'elle puisse se déplacer.
Forme interrogative de "je peux" qui induit que le sujet questionne sur sa possibilité de faire quelque chose. Exemple : Puis-je vous parler en privé madame, ce que j'ai à vous dire ne peut être entendu par vos hôtes.
Rappel : Je peux est la forme habituelle de conjugaison du verbe pouvoir au présent de l'indicatif pouvoir, présent. Je peux reprendre du dessert ? Je peux se transforme en puis-je dans les questions avec inversion du sujet et du verbe. (On ne peut pas dire peux-je).
"Je puis" est plus distingué que "je peux". Cependant, on ne dit pas "peux-je" mais "puis-je", cette forme est obligatoire. On notera également le -x des deux premières personnes du singulier du présent de l'indicatif : je peux, tu peux.
− Être capable de faire quelque chose.
C'est comme si on avait : Ils voulaient quelque chose […] qui puisse perdurer et affronter toutes les éventualités climatiques. La question qui se pose alors est celle de l'emploi de l'indicatif (y compris du conditionnel) ou du subjonctif dans une proposition relative (introduite ici par le pronom relatif qui).
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute, est incertaine ou rejetée. L'indicatif exprime la réalité, la certitude. - Moi, que j'aille travailler ! Il est exclu que je le fasse.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
2) Puisque
Marque la cause, connue ou évidente pour tous. Le plus souvent en début de phrase !
Pronom indéfini
Qui que ce puisse être qui ait fait cela, c'est un habile homme.
"Qui plus est" est une locution signifiant "de plus" ou "en outre". On l'utilise pour surenchérir. La proposition qui suit "qui plus est" est toujours en relation avec celle qui la précède et l'accentue.
"je ne puis décrire" est au présent de l'indicatif : verbe pouvoir.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
Trouvé à l'intérieur – Page 421( espérer ) Subjonctif et indicatif : je regrette que , je me plains de ce que , etc. On emploie le subjonctif après des verbes qui expriment une émotion ... Et comme il s'agit d'un fait, sans qu'il y ait de regret ou de volonté d'une autre situation, il faut utiliser un indicatif.
Pouvez est Indicatif Présent. "Pourriez" est un peu plus poli que "pouvez". On utilise le conditionnel comme une marque de politesse.
Hors-la-loi : Définition simple et facile du dictionnaire.
Troisième personne du pluriel du présent du subjonctif de verbe pourvoir, synonyme du verbe être capable de quelque chose.
Présomptueux : Définition simple et facile du dictionnaire.
On écrit « puis-je » : la conjugaison du verbe pouvoir à la forme interrogative, au présent de l'indicatif, s'écrit « puis-je ».
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).