Faux. Il faut écrire : La banquette qu'elle s'est fait livrer ne tient pas dans son salon. « Faite », participe passé du verbe « faire », est suivi immédiatement d'un infinitif, « livrer ». Il ne s'accorde donc pas, et on n'écrit pas « qu'elle s'est faite livrer », mais « qu'elle s'est fait livrer ».
Accord du participe passé “fait” avec l'auxiliaire “avoir”
Quand il est conjugué avec l'auxiliaire avoir, le participe passé de “faire” s'accorde seulement si le COD est placé avant. Les dessins que (COD) ma fille a faits sont magnifiques! Elle est délicieuse cette tarte! Oui, c'est mon mari qui l' (COD) a faite!
La bonne orthographe est donc « Des erreurs, j'en ai fait ». Le participe passé du verbe ne s'accorde pas et reste invariable.
Celle-ci tient en une phrase: À chaque fois que le participe passé du verbe «faire» se retrouve suivi d'un infinitif, il sera toujours invariable. Ainsi on n'écrira jamais «elle s'est faite faire un nouveau sac», comme l'écrit Numerama, mais: «elle s'est fait faire un nouveau sac».
le participe passé "fait", employé avec le verbe AVOIR, s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici:" qu'", mis pour proposition, est le COD du verbe faire. il faut donc écrire ce participe passé au féminin singulier,(comme proposition, F,S), soit FAITE.
Quelle est la règle qui s'applique ? Dans elle a été faite , le participe passé fait est utilisé avec l'auxiliaire être ( a été correspond effectivement à une conjugaison du verbe être !).
On dira donc : je me suis faite belle (et non je me suis « fait » belle). Cependant, cette règle est mal respectée, par beaucoup d'écrivains et désormais, par l'usage, ainsi même Grevisse renonce à l'imposer.
Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu. On écrit « je fais », à la 1e personne du singulier du présent de l'indicatif.
On entend la lettre « t » lorsque un mot se terminant par la consonne «d» ou «t» (« quand », « prend ») est suivi d'un autre commençant par une voyelle : Quand il pleut, on ne sort pas. On remarque alors que la lettre « d » se prononce en fait « t » (on dit que le « d » s'assourdit).
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Bonjour Electra, le participe passé fait suivi d'un infinitif est invariable, il ne s'accorde donc jamais et reste toujours au masculin singulier : elle s'est fait remarquer, la robe que je me suis fait faire, donc ici tu nous as fait baptiser.
je ne sais pas ce que Wiktionnaire dit, mais "Fais attention" à l'impératif est la seule expression grammaticalement correcte. Comme tu l'as dit, l'impératif de "faire" à la deuxième personne est "fais", pas "fait".
En réalité, effectivement.
On dit « en fait » pour ne rien dire, simplement pour gagner du temps, comme on produit un raclement de gorge ou comme on fait « euh... » « En fait », lorsqu'il a un sens, correspond à une correction, une rectification, une mise au point.
Parce que « faits » correspond au participe passé du verbe faire conjugué à la troisième personne du pluriel de l'indicatif présent à la voix passive. Le participe passé s'accorde conjugué avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le sujet : il est fait, ils sont faits.
La règle est la suivante: le trait d'union permet de former les mots composés. Exemples: «sous-titre», «presse-citron», «rouge-gorge». Sans lui, le sens peut radicalement différer: un «beau frère» n'est pas un «beau-frère» ; une «comédie française» se distingue de la «Comédie-Française»!
C'est pour cela que « appeler » n'en prend qu'un: le dernier son entendu est « é » et pas « L ». Pareil pour « je jette » et « jeter ». Dans le premier, le dernier son entendu est « t » donc on met deux « T », dans le second, le dernier son entendu n'est pas « t », c'est « é » donc on ne met qu'un « t ».
En un mot ou en deux ? Faut-il écrire le s à part ? Oui, le verbe s'écrit ici en deux parties : il s'agit , avec une apostrophe. Quelques exemples : il s'agit d'une erreur , il s'agit d'un oubli , il s'agit de Monsieur Ravenel , il s'agit bien de cela .
« Faite », participe passé du verbe « faire », est suivi immédiatement d'un infinitif, « livrer ». Il ne s'accorde donc pas, et on n'écrit pas « qu'elle s'est faite livrer », mais « qu'elle s'est fait livrer ».
On écrit toujours « j'ai fait ».
Il s'agit de conjuguer le verbe « faire » au passé composé, à la première personne du singulier. On utilise donc l'auxiliaire « avoir » et le participe passé du verbe « faire », qui est « fait » avec un « t ». Qui a dit que la langue française n'est pas difficile à écrire ?
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait » « C'est moi qui fais » ou « c'est moi qui fait » ? On écrit « c'est moi qui fais » avec un « s » à la fin du verbe et non pas « t » puisque celui-ci s'accorde avec l'antécédent du pronom relatif « qui ».
Donc « faire » s'accorde avec « moi ». Cela donne « moi qui fais », car « moi » est l'équivalent de « je ». Or, au présent de l'indicatif, on écrit « je fais ». Astuce : il suffit de prendre un verbe dont la sonorité des 1re et 3e personnes varie.
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai dis » ? Parce que la terminaison du participe passé du verbe dire, conjugué au passé composé avec l'auxiliaire avoir, est dit, que le sujet soit masculin ou féminin, singulier ou pluriel.
Quand on conjugue le verbe faire au présent de l'indicatif ! Et ce, à la 1re ou à la 2e personne du singulier : je fais, tu fais. On retient : « j'ai fait », au passé ; « je fais », au présent.