La forme "aie" correspond à : la première personne du singulier (je) du subjonctif présent (que j'aie). Exemple : "Il faut que j'aie mon examen, cette fois-ci !" ; la deuxième personne du singulier (tu) de l'impératif présent : "N'aie pas peur, aie confiance en toi."
La règle étant qu'un participe passé employé avec « avoir » ne s'accorde jamais avec son sujet (« elle a mangé »), on oublie qu'il peut s'accorder avec autre chose… et on écrit « les verbes que j'ai conjugué, j'ai oublié de les accorder » au lieu de « les verbes que j'ai conjugués, j'ai oublié de les accorder ».
Il est possible que + subjonctif : Il est possible qu'il vienne demain.
On écrit « aie » ou « aies » quand il s'agit des formes conjuguées du verbe avoir au subjonctif présent, selon que le sujet est la première personne du singulier : que j'aie ou la deuxième personne du singulier : que tu aies.
La règle est la suivante : quand un participe passé est employé avec l'auxiliaire avoir, il ne s'accorde pas. On écrit, par exemple : « J'ai fait des gâteaux. » On reconnaît l'auxiliaire avoir sous la forme « ai », « fait » reste bien invariable.
On écrit "que j'aie" lorsque le verbe est conjugué au subjonctif présent. Pour savoir si tu dois écrire "aie" ou "ai", tu peux essayer de remplacer le verbe conjugué à la première personne du singulier par le même verbe, mais à la première personne du pluriel.
Vous devez utiliser « j'ai été » suivi d'un adjectif ou d'un participe passé. Quand « j'ai été » est suivi d'un adjectif, « être » indique un état passé passager. J'ai été triste d'apprendre que tu divorçais. J'ai été surprise de te voir.
Rappel : après l'auxiliaire avoir, le participe passé ne s'accorde pas. Elle a envoyé une lettre. Si un COD COD est placé avant avoir, le participe passé s'accorde avec le COD.
Les terminaisons du subjonctif présent
Au présent du subjonctif, tous les verbes (sauf avoir et être) ont les mêmes terminaisons : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent.
Il faut écrire : Après que chacun a gagné sa place, le cours commence. Si la locution « avant que » est suivie du subjonctif, « après que » entraîne nécessairement l'indicatif, ici au passé composé.
Ces deux modes sont un peu différents même si parfois ils sont utilisés dans la même phrase. Il existe quatre temps du subjonctif : présent, passé, imparfait et plus-que-parfait.
J'ai correspond au verbe avoir conjugué au présent, et que j'aie au verbe avoir conjugué au subjonctif.
Par contre, vous avez probablement remarqué que le Participe passé s'accorde toujours en genre (féminin ou masculin) et en nombre (singulier ou pluriel) avec le Complément d'objet direct SI celui-ci est placé avant le verbe : B- La pomme que j'ai mangée était pourrie. C- Les pommes que j'ai mangées étaient pourries.
On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit.
Elle est extrêmement fréquente en français. C'est elle qu'on trouverait dans des phrases comme je vous ai compris , je vous ai fait un virement , je vous ai transmis tous les documents , je vous ai mis en copie , je vous ai déjà dit tout ça , je vous ai contacté en septembre , etc.
Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait. Par exemple, le verbe aller au futur : J'ir-ai. Le verbe aller au conditionnel : J'ir-ais.
Voici des constructions dans lesquelles on fait cet accord : je vous les ai envoyés ou envoyées (accord avec les , qui peut être masculin ou féminin), la demande que je vous ai envoyée (accord avec demande ), les photos que je vous ai envoyées (accord avec photos ), les fichiers que je vous ai envoyés (accord avec ...
le mode indicatif exprime des actions réalisées ou dont on est certain qu'elles se réaliseront ; le mode subjonctif exprime des actions éventuelles ou dont on n'est pas certain qu'elles se réaliseront.
J'ai été au souk veut dire : "Je suis allé au souk". Passé composé, action passée maintenant achevée. J'étais au souk. Je me trouvais dans ce lieu, je n'étais pas ailleurs.
S'il y a une notion de mouvement, dites plutôt « je suis allé » que « j'ai été ». L'emploi de « être » pour « aller » lorsqu'on le fait suivre d'un verbe à l'infinitif ou d'un complément de lieu relève du langage familier.