XVIe-XVIIIe siècle : l'intrusion des drogues exotiques dans les sociétés occidentales. Quand André Thevet, moine cordelier d'Angoulême (France), réalise son grand voyage sur les terres nouvellement découvertes, il voit et rapporte les pratiques indiennes en matière de consommation de produits psychotropes Thevet, 1983) ...
Les stupéfiants se diffusent ensuite sur le marché clandestin. En dépit des frontières sociales entre usagers, la drogue se répand donc en banlieue dès les années 1970, par porosité.
On trouve des traces de consommation de drogue dès la nuit des temps. L'opium semble être la première substance de cet ordre à avoir été découverte par l'homme, il y a 8 000 ans, un peu partout dans le monde.
Cette forte rentabilité explique l'entrée de la cocaïne dans les trafics se trouvant dans des cités en France axées de base sur le cannabis. La cocaïne est principalement produite en Amérique du Sud et transite par la France d'outre-mer, notamment la Guyane avec le phénomène des « mules ».
Le trafic de drogue a été inventé par un État : le Royaume-Uni. Au XIXe siècle, la Couronne britannique inonde la Chine d'opium pour renflouer ses caisses. Dès l'origine, l'opium, l'héroïne et la cocaïne deviennent des instruments politiques entre les mains des États.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend.
Le trafic de drogue a été inventé par un État : le Royaume-Uni. Au XIXe siècle, la Couronne britannique inonde la Chine d'opium pour renflouer ses caisses. Dès l'origine, l'opium, l'héroïne et la cocaïne deviennent des instruments politiques entre les mains des États.
En France, le cannabis est de loin la substance illicite la plus consommée avec près de 5 millions de personnes (11-64 ans) en ayant consommé dans l'année, suivi de la cocaïne (600 000) et la MDMA/Ecstasy (400 000).
Pour autant, et malgré quatre décennies de lutte contre le trafic de drogue, la Colombie reste le premier producteur mondial de cocaïne. Et les États-Unis en sont le premier consommateur.
La drogue naturelle est issue de produits naturels ayant subi peu ou pas de transformations comme les champignons hallucinogènes ou le cannabis ; alors que la drogue de synthèse désigne principalement des substances comme l'ecstasy, le LSD ou les drogues sur mesure qui nécessitent une synthèse en laboratoire.
Plus connue quand elle se trouve sous la forme d'ecstasy, cette drogue ne détrône pas le cannabis en termes de consommation en Europe, mais elle talonne la cocaïne.
Elles se divisent en 3 catégories : les perturbateurs/hallucinogènes; les dépresseurs; les stimulants.
Grand Est Le baron de la drogue français Sofiane Hambli, qui s'était évadé de la prison de Metz, condamné à 20 ans de prison.
Le crack trouve son origine dans les Caraïbes, plus précisément en Jamaïque, produit de la rencontre entre le trafic émergent de cocaïne des régions andines vers les Etats-Unis et le mouvement rastafari.
Le trafic de stupéfiants est un commerce international illicite comprenant la culture, la fabrication, la distribution et la vente de substances interdites par la loi. L'ONUDC contrôle et recherche en permanence les marchés illicites de stupéfiants internationaux afin de mieux appréhender leurs dynamiques.
Teneur et prix
Le prix courant est passé de 70 euros le gramme à 66 euros (données OFAST). L'accessibilité de la cocaïne est facilitée par des ventes fractionnées (au demi-gramme à 30 ou 40 € ou pour des petites sommes : « pochons » vendus pour 15 ou 20 €).
Quant à la cocaïne, elle demeure un produit de luxe pour qui veut se défoncer : 68 euros en moyenne le gramme.
Le kilo de cocaïne vaut 1500 euros en Colombie, 3500 euros au Suriname et 4500 euros en Guyane. La même quantité est revendue 35 000 euros en métropole. Pour une valeur finale de 60 000 euros au détail.
La dépendance est due à un déséquilibre du fonctionnement neurobiologique à la suite d'une consommation régulière d'une substance psychoactive. Ce déséquilibre entraîne l'envie de consommer à nouveau la substance psychoactive, pour ne pas subir les effets désagréables consécutifs à l'arrêt de sa prise.
Le tabac est une plante (Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica) qui contient de la nicotine, une drogue qui entraîne une dépendance et a des effets à la fois stimulants et dépresseurs.
Le toxicomane occidental de l'époque utilise souvent une gamme de produits précis (notamment héroïne, LSD, cocaïne, champignons hallucinogènes ou haschich, à la recherche d'effets précis, stimulants, psychédéliques ou calmants).
La consommation de MDMA est souvent associée un effort physique prolongé comme la danse dans les milieux festifs. C'est pourquoi il est très important de bien penser à s'hydrater régulièrement en buvant de l'eau et en gardant une bouteille avec soi, même si la sensation de soif n'est pas présente.
Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
Bien que le MDMA reste le produit principalement recherché dans un comprimé, aujourd'hui, on désigne par ecstasy (ou taz, tata, XTC, plomb, cachetons, bonbons…) tout cachet contenant des produits stimulants et plus rarement des hallucinogènes.