Le surbooking provient du “yield management », une stratégie de management apparue aux États-Unis en 1978, permettant à des compagnies aériennes nouvellement créées de proposer des tarifs défiant toute concurrence.
Le “surbooking” ou la “surréservation” en français est une pratique consistant à vendre plus de billets que de places disponibles dans l'avion. Cette pratique des compagnies aériennes vise à anticiper les désistements. Ainsi, les compagnies maximisent leurs chances de voyager à plein.
Cette pratique n'est pas interdite, mais la compagnie doit vous indemniser. si la compagnie demande des volontaires et que vous proposez vous-même de ne pas embarquer, vous ne serez pas indemnisé pour du surbooking. Il s'agit alors d'un accord avec la compagnie.
La plupart des transporteurs aériens s'adonnent à la survente, aussi appelée « surbooking » ou « overbooking ». Leur prétexte est qu'en vendant davantage de billets pour un même vol, ils pourront vendre leurs billets moins chers, ce qui sera profitable pour le voyageur.
Il arrive parfois qu'un passager aérien en règle se heurte à un refus d'embarquement. Au moment d'entrer dans l'avion, un employé l'empêche de monter en lui affirmant que le vol est complet ou qu'il n'y a pas assez de personnel à bord pour gérer la totalité des passagers. Il s'agit d'un vol surbooké.
Le surbooking, ou surréservation, est une pratique des compagnies aériennes qui consiste à vendre plus de billets que de places disponibles. Vous partez en vacances en avion ? Vous pourriez être concerné par cette pratique et vous voir refuser l'embarquement.
On évalue de même la probabilité que 105 passagers se présentent (106 x 0,9105 x 0,1), etc. En ajoutant les probabilités de présence de 101 à 106 personnes, on obtient un risque de devoir refuser un passager égal à 4 %. Dans ce cas, la compagnie aérienne doit dédommager le passager mais le jeu en vaut la chandelle !
Pour vérifier le statut de votre vol, vous pouvez utiliser des applications de suivi de vol ou vous rendre directement sur le site de l'aéroport/de la compagnie aérienne.
Imaginons un vol dont le coût du billet est de 200 € et qu'en cas de surbooking, la compagnie le dédommage à hauteur de 800 €. Si la compagnie vend 103 billets alors, elle aura empoché 20 600 €. Si seulement 100 personnes ou moins se présentent, c'est bien joué. Elle aura vendu 3 billets en plus, soit un gain de 600 €.
Lors d'un surbooking, ou d'une surréservation, les passagers peuvent prétendre à une compensation. En effet, la Réglementation européenne relative aux droits des passagers aériens prévoit, sous certaines conditions, une indemnité de la part de la compagnie aérienne pouvant aller de 250 € à 600 € par personne.
Les compagnies aériennes expliquent généralement qu'un certain nombre de passagers risquent de ne pas se présenter à l'enregistrement et que la surréservation leur permet d'anticiper ces désistements. C'est également le point de vue exprimé par les auteurs des très nombreux articles publiés sur le sujet.
Une fois à l'aéroport, mauvaise nouvelle, vous apprenez que votre vol est annulé, retardé ou surbooké ? Nous vous recommandons vivement de vous tourner immédiatement vers le personnel de la compagnie aérienne afin qu'il vous délivre une attestation prouvant cette annulation, ce retard ou ce surbooking.
Pour éviter que les avions décollent ainsi avec des places vides les compagnies aériennes ont décidé de vendre plus de billet qu'il n'y a de place dans leurs avions : c'est ce qu'on appelle la surréservation et ont eu l'idée d'utiliser la loi binomiale pour quantifier le risque pris d'avoir des passagers sans siège qu' ...
Si vous voulez ressentir le moins possible les mouvements et les turbulences de l'avion, la meilleure place sera au milieu de l'appareil au niveau des ailes. Cependant, cette place est la plus exposée en cas d'accident puisqu'elle se trouve au niveau des réservoirs.
Les soubresauts y sont plus atténués qu'ailleurs. Si votre phobie est très avancée et qu'au moindre trou d'air vous redoutez la catastrophe aérienne, alors les sièges du fond de l'avion sont les plus sûrs. Statistiquement, en cas de crash, vous aurez plus de chance de survivre en queue d'avion qu'au milieu ou en tête.
La reprise du trafic devrait atteindre cet été jusqu'à 95% de son niveau de 2019, selon Eurocontrol, l'organisation européenne pour la sécurité de la navigation aérienne. Mais depuis plusieurs semaines, de nombreux vols sont annulés à cause d'un manque d'effectifs.
Caractère de ce qui se produit en dehors de toute norme ou règle prévisible objective ou subjective.
On considère aujourd'hui qu'en moyenne pour qu'un avion soit rentable, il doit voler au minimum 300 heures par an. Or, les chiffres montrent qu'aujourd'hui les avions privés en France ne volent en moyenne que 50 heures chaque année : 6 fois moins que nécessaire !
Si Air France vous propose un autre vol et que vous êtes contraint à attendre à l'aéroport, la compagnie doit vous prendre en charge. En cas de surbooking, vous pouvez réclamer une indemnisation allant jusqu'à 600 € par personne.
Le surbooking est une pratique commerciale courante dans le secteur du transport aérien. Il s'agit de la vente d'un nombre de places supérieur au nombre de sièges disponibles dans l'avion. Cette pratique est possible grâce à la réglementation qui permet aux compagnies aériennes de surcharger les avions de 10 %.
Sur son site Internet, Air France tient régulièrement un «flash infos», dans lequel la compagnie fait état des prévisions de trafic pour la journée. Il est possible de savoir en temps réel si un avion va décoller ou pas en entrant son numéro de vol dans la rubrique «Actualité des vols».
Les mathématiques permettent de rendre cette expérience de lancers de dés en partie prévisible en dévoilant qu'un dé donne deux fois plus de chances de gagner qu'un autre. Ce qui permet de choisir « raisonnablement » son dé plutôt que de se fier au simple hasard.
La destination, la date et l'horaire du vol, les aéroports de départ et d'arrivée ou la compagnie aérienne avec laquelle les passagers voyagent sont autant d'éléments permettant de fixer le prix d'un billet d'avion. Le tarif d'un vol est susceptible de changer de façon considérable et ce, pour différentes raisons.