Les premières traces d'activités scientifiques datent des civilisations humaines du néolithique où se développent commerce et urbanisation. Ainsi, pour André Pichot, dans La Naissance de la science, la science naît en Mésopotamie, vers - 3500, principalement dans les villes de Sumer et d'Élam.
On citera, dans l'ordre chronologique : Thalès, Pythagore, Hippocrate, Aristote, Euclide, Archimède, Aristarque, Ératosthène, Hipparque et Ptolémée — qui doit être considéré comme grec, même s'il vivait à Alexandrie, donc en Égypte, et à l'époque romaine (voir article Liste de mathématiciens de la Grèce antique).
La civilisation mésopotamienne aboutit ainsi à la constitution des premières sciences telles : la métrologie (La métrologie est la science de la mesure au sens le plus large.), très adaptée à la pratique, l'algèbre.
Galilée (Galileo Galilei en italien) naît à Pise, en Italie, en 1564, au sein d'une famille de sept enfants.
Du moyen français, de l'ancien français science , escience , du latin scientia (« connaissance »), lui-même du verbe scire (« savoir »).
Elles sont habituellement divisées en trois ensembles : les sciences de la Terre et de l'Univers ; les sciences de la matière (physique et chimie) ; et les sciences de la vie et de l'environnement.
Le but de la science est de comprendre pour comprendre, sans chercher à valoriser ses découvertes et en ne prenant aucun brevet. Pour la science seule compte la connaissance désintéressée et sa transmission à chacun.
Les premières traces d'activités scientifiques datent des civilisations humaines du néolithique où se développent commerce et urbanisation. Ainsi, pour André Pichot, dans La Naissance de la science, la science naît en Mésopotamie, vers - 3500, principalement dans les villes de Sumer et d'Élam.
1. Ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d'objets ou de phénomènes obéissant à des lois et/ou vérifiés par les méthodes expérimentales. 2. Chacune des branches de la connaissance, du savoir (souvent pluriel) : Les sciences mathématiques.
On distingue traditionnellement les sciences humaines et sociales, histoire, sociologie, linguistique, géographie, sciences juridiques, etc. et les sciences dites exactes, physique, chimie, biologie, etc.
Dans la définition métaphysique traditionnelle, « l'homme est présenté d'emblée comme un certain être qui, à la différence des autres animaux, serait doué d'une faculté qui lui assure un certain rayonnement, la faculté de raisonner ».
C'est le cas d'Aristote, de Francis Bacon, de René Descartes, de Gaston Bachelard, du cercle de Vienne, puis de Popper, Quine, Lakatos enfin, parmi les plus importants.
Galilée. Ce scientifique et académicien italien a fait des observations cruciales qui ont grandement contribué à la naissance de l'astronomie et de la physique modernes.
1613 - Galilée : premières observations astronomiques à la lunette (satellites de Jupiter - cratères de la lune - taches solaires). 1687 - Isaac Newton : Philosophiae Naturalis Principia Mathematica.
Oui, la science, immédiatement ou à long terme, ouvre la porte vers de nombreuses applications intéressantes, dont nous imaginerions difficilement nous passer une fois qu'elles sont advenues et qui sont donc, en un sens, facteur de progrès. Ainsi, les conditions de travail, la santé et l'hygiène, l'alimentation, etc.
La santé et les découvertes médicales sont les plus citées, devant la technologie ou les loisirs. La première greffe d'organe réussie de l'histoire de la médecine, réalisée le 23 décembre 1954 par le chirurgien Joseph Murray à Boston, est ainsi l'événement le plus important d'après les répondants.
La science s'oppose ainsi à la religion (qui se réfère à une « vérité révélée », c'est-à-dire à un « dogme »), et à tout autre « savoir » incapable de se fonder en raison.
Quelles sont les limites de la science ? La science ne peut étudier que ce qui est observable. Ce qui est décrit parfois comme le monde naturel par opposition au surnaturel. La science ne prouve rien: elle ne fait que donner l'explication la plus solide à un moment donné.
Disciplines classiques des sciences naturelles, la physique, la chimie ou encore la biologie ont développé une approche interdisciplinaire. Au sein de ces disciplines, les étudiants ont aussi la possibilité de se spécialiser dans un domaine particulier: épidémiologie, biologie du développement, sciences du climat, etc.
L'histoire est science de l'esprit et ne relève pas des sciences de l'expérience. Elle opère sur des phénomènes singuliers, des actions humaines qu'elle doit comprendre et faire comprendre : « Nous expliquons la nature, nous comprenons la vie psychique » écrit ainsi Dilthey (1894), après J. G. Droysen (1808-1884).
(Depuis le XIXe) Ensemble des connaissances d'un domaine donné. (En Grèce Antique et par la suite) Connaissance la plus haute, savoir conscient de lui-même. Du latin, « scientia » : connaissance, lui-même du verbe « scire » (savoir).
La science a permis, aux niveaux technologique, physique, chimique, astronomique et biologique, d'enregistrer certains acquis, considérés jadis comme impossibles, qui ont permis à l'homme d'évoluer et d'avancer pour progresser et améliorer sa qualité de vie.
La science et la recherche à l'ouvre pour vous. L'expertise scientifique nous aide à prendre des décisions en matière de normes, de politiques, de règlements et de programmes ayant trait à la santé.
On ne peut pas effacer toutes les connaissances acquises, donc, essayer de vivre sans elles seraient comme de reculer alors qu'on peut avancer. La science apprend aux gens à gérer des dépenses, avec les mathématiques, à comprendre le monde qui nous entoure, avec les recherches, etc.