Les sous-vêtements ont aussi une date limite de péremption Les spécialistes en hygiène intime recommandent donc de jeter les sous-vêtements tous les six à douze mois. Cela semble tout de même un peu radical – d'autant plus que nous avons aussi un faible pour certaines de nos culottes.
Cela peut paraître évident mais le spécialiste insiste : « Il faut absolument changer de sous-vêtements tous les jours ! » Les culottes, les caleçons et les chaussettes sont en contact direct avec la peau. Pas question de les remettre une journée de plus sinon il y a un risque d'infection.
De nombreuses marques conseillent de ne pas garder un soutien-gorge que l'on met régulièrement plus d'un an pour éviter de porter une pièce qui ne vous maintient pas correctement. Ça, c'est la théorie. En pratique, renouveler sa lingerie tous les huit mois est un sacré budget !
Par éviter la prolifération des microbes, les experts recommandent de changer de culottes et soutien-gorge tous les jours. Il est également conseillé de les enlever la nuit.
Vous ne risquez pas de frottements ou d'irritations. Votre corps et vos parties respirent ce qui limite la prolifération des bactéries et limite les risques d'infections. Après une journée enfermé dans un slip, il n'y a rien de mieux que d'être libre.
Un problème plutôt "mécanique" C'est surtout le contact, l'obstruction due au vêtement qui est embêtante. La spécialiste précise qu'une culotte, notamment synthétique, fait augmenter la température de la vulve. Cela peut entraîner le développement de champignons, surtout si la femme est déjà sujette aux mycoses.
Pour éviter les irritations, les mycoses ou les infections, mieux vaut éviter de dormir avec ses sous-vêtements. Mais ce n'est pas la seule précaution à prendre. Il faut dormir en tenue d'Eve. Sans sous-vêtement la nuit, le risque de développer des irritations, mycoses, cystites et autres infections diminue.
Il s'agit en quelque sorte d'un système d'auto-nettoyage. Les pertes jouent en vrai rôle puisqu'elles équilibrent la flore vaginale. Elles la protègent des infections, on dit d'ailleurs qu'elles sont "physiologiques", c'est-à-dire tout à fait normales. Elles permettent également de lubrifier le vagin.
L'hygiène intime se fait à la main, sans gant de toilette (nid à bactérie). Chez la femme, elle doit se limiter à la vulve et la région anale, et se faire d'avant en arrière. Inutile de pratiquer les douches vaginales, au risque de détruire la flore microbienne et de provoquer infections et mycoses.
Le cycle idéal pour votre confort et celui de vos dessous serait de reporter (si vous le souhaitez) votre soutien-gorge non pas le lendemain mais le jour d'après et ainsi de suite. Ce qui amènerait la fréquence moyenne de lavage idéale à une fois tous les deux jours d'utilisation mais pas en continu.
Les consignes de recyclage sont simples : on peut mettre tous les textiles usagés dans les points d'apports dédiés. Généralement, il s'agit de bennes que l'on trouve sur la voie publique dans de nombreuses villes. Certaines associations caritatives les récupèrent également, comme Emmaüs ou la Croix-Rouge.
De nombreuses femmes ont arrêté de porter des culottes et l'assument pleinement : “Être sans culotte, c'est ça la vraie liberté !”. Pour celles qui ont passé le cap, elles confient qu'elles sont beaucoup moins sujettes aux mycoses vaginales et autres irritations.
Pertes blanches et taches dans la culotte, une question de pH. Si les pertes blanches peuvent laisser des traces dans nos sous-vêtements, c'est parce qu'elles sont acides. « Leur pH, soit leur degré d'acidité, varie pendant le cycle hormonal », explique le Dr. Eyssartier.
La raison principale qui entraîne la décoloration de tes sous-vêtements vient de la composition des sécrétions vaginales. Les sécrétions vaginales ont la même acidité que le vin ! En fait, leur pH (mais si rappelle-toi ce test que tu as fait au collège avec un bâtonnet qui change de couleur…) est bas, donc acide.
Pourquoi mes pertes vaginales décolorent-elles mes culottes ? La raison principale de cette décoloration ? La composition des sécrétions vaginales. Le vagin est un environnement naturellement acide et, au contact de vos sous-vêtements, l'acidité interagit avec le colorant présent dans vos sous-vêtements.
Envie de bébé : prendre une douche après un rapport
Il faut savoir que tout de suite après l'éjaculation, le sperme devient beaucoup plus liquide, ce qui permet aux spermatozoïdes d'être plus libre. Et une à deux minutes après le rapport, ils commencent déjà à remonter dans le col de l'utérus.
Pour ce faire, trempez vos dessous dans de l'eau tiède savonneuse durant 5 minutes environ (utilisez toujours de la lessive pour linge délicat ou du lavant type savon de Marseille). Il faut remuer régulièrement l'eau pour faire pénétrer le savon et détacher la saleté éventuelle.
Sachez qu'une fois encore, aucune recommandation médicale ne justifie la toilette intime directement après un rapport. La seule préconisation serait d'uriner après avoir fait l'amour, pour s'auto-nettoyer l'urètre et prévenir les risques de cystite.
Il est normal que les leucorrhées soient abondantes et qu'elles mouillent votre culotte, notamment à certains moment du cycle, elles peuvent même, du fait de leur pH acide, causer des taches de décoloration ou des taches jaunâtres sur le fond de vos sous-vêtements.
Avoir des pertes blanches pendant les rapports sexuels est sain et normal. Il s'agit de la réponse naturelle de votre corps à l'excitation. En effet, ces pertes participent à la lubrification. Ainsi, plus vous ressentirez de l'excitation, plus votre corps pourra produire de pertes blanches.
La glaire cervicale (aussi appelée mucus cervical) est l'un des principaux composants des pertes vaginales. Produite par les cellules du col de l'utérus, la glaire cervicale change tout au long du cycle, passant de sèche à humide, de crémeuse à gélatineuse, d'extensible à collante.
Mais pourquoi ? Les gynécologues sont unanimes là “dessous”, porter une culotte c'est empêcher de faire respirer une zone sensible de votre corps : le vagin. Ce dernier à pourtant bien besoin d'espace pour être en bonne santé.
Selon une enquête récente menée par The Derm Review, 21% des femmes ne changent pas de culotte tous les jours. L'étude, réalisée auprès de plus de 1000 femmes, révèle qu'une femme sur dix admet porter la même culotte pendant au moins trois jours consécutifs.
En revanche, dormir en culotte ou boxer pour les hommes n'est pas non plus recommandé. En effet, ces nids à bactéries doivent être évités la nuit. Le port d'un bas de pyjama ample ou d'un caleçon large serait ainsi une bonne alternative pour éviter les désagréments liés à nos flatulences nocturnes…