La réponse simple. On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit. Exemple : J'ai dit bonjour à tout le monde.
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
L'erreur à éviter
Il reste à ne pas confondre ces différents mots qui se prononcent de la même façon. Quand dit est employé avec l'auxiliaire avoir , il faut lui mettre un t et éviter d'écrire tu as dis .
On écrit toujours « j'ai mis » avec un « s » sans hésitation. On n'écrit jamais « j'ai mit » avec un « t », même si le radical du verbe « mettre » se termine par un « t » au présent ( je mets ).
« Je me suis dit » est la forme correcte de la conjugaison du verbe pronominal « se dire » à la 1re personne du singulier au passé composé de l'indicatif.
Parce qu'il s'agit du verbe pronominal « se dire », conjugué à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « (se) dire » est « dit, dite ».
La conjugaison du verbe dire comporte une irrégularité au présent : je dis, tu dis, il dit, nous disons, vous dites, ils disent. Et non pas *vous disez, à proscrire.
La réponse simple
On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit.
J'ai demandé à Christian de venir, je lui ai demandé de venir. J'ai demandé la facture, je l'ai demandée.
Les verbes conjugués à la première personne du singulier se terminent par -ai au futur de l'indicatif et par -ais au conditionnel présent.
C'est moi (= 1ère personne du singulier) qui le dis. C'est lui (3ème personne du singulier) qui le dit. C'est nous (1ère personne du pluriel) qui le disons. C'est vous (2ème personne du pluriel) qui le dites.
On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu.
Il faut dire : « C'est moi qui l'ai fait. » C'est moi qui = je (1re personne du singulier). Vous accorderez donc le verbe avoir avec « je ». De même, vous écrirez, « c'est toi qui l'as fait » (= tu), « c'est nous qui l'avons fait », etc.
Bonjour, Le pronom « lui » a deux fonctions : - En forme disjointe, non réfléchie, il correspond à la troisième personne du singulier au masculin (et le féminin est « elle »). - En forme conjointe, il a la fonction d'objet indirect et correspond indifféremment au masculin et au féminin.
leur est au singulier : Je lui ai dit. Je leur ai ditt. Mais ils ont apporté leurs cartables. ai : le verbe dire est au passé composé avec avoir au présent : je leur ai dit.
> ce est un adjectif démonstratif qui détermine un nom masculin. Pour le distinguer : Si l'on remplace le nom masculin qu'il détermine par un nom féminin, ' ce' devient ' cette' . > ce ou c' placés devant le verbe être sont des pronoms démonstratifs.
Lui précédé d'une préposition. Si lui représente une personne, on peut l'employer après n'importe quelle préposition, sauf dans (que l'on remplace par en) : il a senti en lui l'appel de la mer (et non : *il a senti dans lui) ; j'ai dîné avec lui avant-hier ; tu es déjà allée chez lui ?
Il est alors correct d'écrire : les obstacles qu'on lui a donné à vaincre (on lui a donné à vaincre quoi ? qu' pour les obstacles). Ce participe passé peut toutefois s'accorder avec le COD qui le précède s'il le complète : voici les poèmes qu'on leur a donnés à apprendre. On peut aussi ne pas accorder.
"le" remplace un nom masculin singulier, complément d'objet DIRECT du verbe (COD). "la" remplace un nom féminin singulier, complément d'objet DIRECT du verbe (COD). "lui" remplace un nom masculin, ou féminin singulier, complément d'objet INDIRECT du verbe (COI).
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
« J'aurai » ou « j'aurais » : quelle différence ? Tous deux sont des conjugaisons du verbe (auxiliaire) avoir. « J'aurai » est conjugué au futur simple, et « j'aurais » au conditionnel (présent) .
Cette particularité provient de l'évolution de la langue au cours des siècles. Il a en effet existé une époque où l'on disait ''disez'' et ''faisez'', mais il se trouve que leur utilisation s'est vu petit à petit supplantée par les formes impératives des verbes ''dire'' et ''faire'', qui sont ''dites'' et ''faites''.
Interrogation à travers laquelle on sollicite l'avis de notre interlocuteur.