Avant de tout de suite attribuer les douleurs dans la poitrine à la nervosité, il vaut mieux consulter son médecin. On peut ressentir une douleur vive, comme une décharge électrique ou un picotement aigu au niveau de la poitrine, extrêmement désagréable, que certains appellent une “pointe au cœur”.
Le cœur étant un muscle, la tension musculaire provoquée par cette accélération du pouls pourra engendrer des palpitations, des spasmes et des douleurs thoraciques. Le manque d'oxygène et l'accélération du rythme cardiaque peuvent également provoquer d'autres symptômes, comme des vertiges et un essoufflement.
Quand la douleur thoracique dure plus longtemps (une semaine ou plus), les personnes doivent voir un médecin dès que possible, sauf si elles développent des signes précurseurs ou si la douleur s'aggrave progressivement ou se produit plus souvent, dans quel cas elles doivent se rendre immédiatement à l'hôpital.
Les personnes particulièrement anxieuses peuvent plus facilement déclencher une névralgie intercostale. Cela s'explique par le fait que le stress a tendance à contracter anormalement les muscles et donc, en conséquence, à comprimer les nerfs.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Il existe de nombreuses manières de calmer une douleur thoracique d'origine psychogène, comme la relaxation, la méditation de pleine conscience et la sophrologie. Il est recommandé d'avoir un suivi personnalisé comme avec le programme TheraSerena.
troubles physiques : troubles digestifs (colopathie fonctionnelle, nausées, hyperphagie boulimique ou perte d'appétit, incapacité à manger...), douleurs, douleurs musculaires, envie fréquente d'uriner, insomnies, somnolence dans la journée, fatigue, mal de tête, vertige...
Le mal à la poitrine peut être dû à un prolapsus, des troubles œsophagiens, un zona, une péricardite, une pneumonie. Les maladies responsables d'un mal à la poitrine et pouvant entraîner la mort du patient sont : la dissection aortique. l'angine de poitrine.
un infarctus du myocarde ou une angine de poitrine ; une embolie pulmonaire ; beaucoup plus rarement, une dissection de l'aorte (fissuration localisée de la paroi de l'aorte) ou une rupture d'un anévrysme de l'aorte ; une péricardite (inflammation de l'enveloppe du cœur)...
L'angor se manifeste par une douleur profonde située au milieu du thorax, avec une sensation de serrement intense, angoissante. Cette douleur en barre survient à l'effort (marche rapide, en montée, contre le vent) et impose l'arrêt.
L'anxiété peut se déclencher avec le stress, suite à un événement personnel difficile ou à une expérience négative. Elle se manifeste notamment par une inquiétude diffuse, des douleurs musculaires, des problèmes de sommeil et de concentration.
L'oppression thoracique entraîne une sensation de poids ou de serrement au niveau du thorax, l'impression que celui-ci est serré dans un étau, comme si une ceinture nous empêchait d'étendre la poitrine.
Les personnes souffrant de stress ou d'anxiété chronique sont plus à risque pour des problèmes cardiovasculaires à cause de leur rythme cardiaque constamment élevé, de leur hypertension artérielle et de leur surexposition au cortisol.
D'où vient ce désordre psychique favorisant l'anxiété ? Cela peut être héréditaire ou environnemental, mais on cite également l'anxiété post-traumatique (accident, attentat, décès d'un proche, choc psychologique).
La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
Les traitements de soutien
La régulation ventilatoire, pour apprendre à maîtriser le rythme et l'amplitude de sa respiration en cas de panique ; Les méthodes de relaxation pour gérer l'anxiété ; La gestion par soi-même, qui s'apprend pendant les séances de psychothérapie ; L'activité physique est toujours recommandée.
Le signe classique de l'infarctus du myocarde est une douleur thoracique, rétro sternale, irradiant dans le bras gauche et le poignet et les mâchoires.