La difficulté à inspirer et à expirer de manière naturelle pendant une prise de parole se traduit automatiquement par du stress supplémentaire, difficile à gérer. Heureusement, il est possible de travailler sa respiration pourn un discours.
Maîtriser sa respiration
Pour bien parler, il est important de bien respirer. Vous pourrez plus facilement projeter votre voix, éviter qu'elle ne tremble et parler plus longtemps sans finir essoufflé. Il faut pour cela effectuer des respirations abdominales: inspirez calmement avec le ventre et expirez avec la bouche.
La sensation de souffle coupé est souvent provoquée par une angoisse et la personne a l'impression de manquer d'air ou d'oublier de respirer. Le souffle coupé peut aussi venir d'un reflux gastro-œsophagien, d'une hernie hiatale mais aussi d'un problème cardiovasculaire qui se nomme extrasystoles.
Il faut donc apprendre à respirer par le ventre. Par le bas des poumons, en gonflant votre ventre. La respiration est alors plus libre et elle détend. Faites un exercice 3 fois par jour : il s'agit de respirer par le ventre en inspirant pendant 5 secondes, puis en soufflant pendant 5 secondes (à chronométrer).
Ses causes sont nombreuses : respiratoires : asthme, BPCO, emphysème pulmonaire, bronchiolites, infections respiratoires, cancers bronchiques, embolie pulmonaire, tabagisme, obstruction par un corps étranger. cardiaques : toutes les causes d'insuffisance cardiaque, angine de poitrine, infarctus, valvulopathie…
Les poumons peuvent être touchés. Il peut s'agir alors d'une maladie bénigne et ponctuelle comme une bronchite (inflammation des bronches) ou d'une réaction allergique à une substance inhalée. Une maladie respiratoire chronique comme l'asthme est aussi envisageable.
essoufflement, respiration sifflante, voix rauque et toux qui s'aggrave ou persiste) douleur thoracique, en particulier lors de profondes inspirations et de quintes de toux. présence de sang dans les expectorations (ou hémoptysie)
Les principales maladies obstructives à l'origine de dyspnée sont la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) et l'asthme. La dyspnée est aussi le motif de consultation le plus fréquent chez le cardiologue. Les pathologies cardiovasculaires sont une des causes fréquentes de dyspnée.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
En cas de fonctionnement anormal du cœur ou des poumons, même un petit effort peut entraîner une augmentation importante de la fréquence respiratoire et provoquer une dyspnée. La dyspnée est si désagréable que les personnes évitent l'effort.
La respiration est physiologique et vitale. Mais quand vous souffrez de stress, votre respiration est comme « bloquée ». Vous respirez de manière anarchique et vous ne répondez plus aux besoins de votre organisme. Votre souffle devient plus court, mais aussi plus rapide, vous avez l'impression d'étouffer…
Le souffle court est une sensation de respiration difficile qui peut apparaître dans certaines situations psychologiques difficiles, toujours en lien avec une forte angoisse. Il trouve son origine dans les symptômes physiques du stress.
Face à une situation stressante, ce qu'on appelle un stresseur, le cœur s'emballe, le souffle devient court et nous avons des difficultés à respirer. Un rythme respiratoire très accéléré rend la respiration superficielle, et en fait, l'air pulmonaire n'est pas renouvelé efficacement.
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Faire de l'exercice
Marche, vélo, jardinage... l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
Si votre voix déraille quand vous prenez la parole en public, cela serait dû à des activations cérébrales causées par le stress, révèle une nouvelle étude américaine. La glossophobie ou peur de parler en public est un phénomène qui touche de très nombreuses personnes.
La dyspnée est la perception consciente d'une gêne respiratoire, une sensation de manque d'air accompagnée d'un essoufflement. Le patient se plaint « d'avoir du mal à respirer » ou encore de « manquer d'air ».
Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie. En effet, ce n'est pas si facile de supporter le regard des autres braqué sur vous alors que vous devez exprimer avec aisance vos idées ou un projet.
Sortez légèrement la poitrine pour diminuer la pression exercée sur le diaphragme et lui permettre de se relâcher davantage. Placez les deux pieds sur le sol. Penchez légèrement la poitrine vers l'avant. Posez les coudes sur les genoux.
Prendre le temps de respirer…
Penser à faire des pauses lors de votre élocution est essentiel. Elles vous laisseront le temps de respirer et donneront plus de poids à votre argumentaire. En bref, se donner le temps de respirer rendra votre prise de parole plus fluide, plus intelligible.
Le cancer du poumon peut aussi se manifester par des symptômes généraux : fatigue, amaigrissement, perte d'appétit, fièvre prolongée, maux de tête, phlébites, troubles nerveux avec confusion, gonflement progressif de l'extrémité des doigts en « baguettes de tambour ».