La respiration sifflante provient d'une gêne au niveau des voies respiratoires. Un bruit aigu peut alors être entendu lors de l'expiration et, de manière plus occasionnelle, lors de l'inspiration. Ce sifflement provient en général d'un rétrécissement des voies respiratoires.
Lorsque nous étirons l'articulation, la membrane se trouve en tension, la pression du liquide [synovial] baisse progressivement jusqu'à atteindre une pression critique, éloignant ainsi de quelques millimètres les surfaces articulaires auparavant en contact.
Vous entendez un sifflement dans vos poumons à l'inspiration ou à l'expiration ? "C'est le signe d'un rétrécissement du calibre des voies aériennes supérieures", indique le Dr Mascret. Ce bruit inhabituel doit faire suspecter une infection pulmonaire, de l'asthme ou une bronchiolite chez un nourrisson.
Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
Les crépitants ou râles crépitants sont les bruits issus de l'appareil respiratoire au temps inspiratoire et qui font penser aux bruits du sel dans le feu ou aux bruits de pas dans la neige, ils sont le signe de la présence de liquide dans les alvéoles pulmonaires.
La personne atteinte présente une dyspnée, généralement accompagnée d'une respiration accélérée et superficielle, la peau peut paraître marbrée ou bleutée (cyanose), et d'autres organes, comme le cœur et le cerveau, peuvent présenter une défaillance.
Crépitants fins Sons doux, de haute tonalité, très brefs. Audibles surtout en fin d'inspiration. Crépitants rudes Sons forts, de basse tonalité, plus longs. Audibles surtout lors de l'inspiration et en début d'expiration.
essoufflement. respiration sifflante. douleur thoracique. infections pulmonaires fréquentes, comme la bronchite et la pneumonie.
Confusion et troubles de la concentration : Un manque d'oxygène peut également affecter notre capacité à penser clairement et à nous concentrer. Cela peut se traduire par des troubles de la mémoire, de l'attention et de la concentration. Cyanose : La cyanose est un signe visible d'un manque d'oxygène.
Les principaux symptômes sont une toux avec des crachats sales, de la fièvre avec éventuellement des frissons, et de l'essoufflement. Il peut y avoir aussi des douleurs dans la poitrine, particulièrement lorsque le foyer infectieux est en contact avec la plèvre (on parle alors de pleuro-pneumopathie).
Le traitement repose sur la prise de médicaments bronchodilatateurs (Ventoline, Salbutamol) et de médicaments anti-inflammatoires qui réduisent l'inflammation des bronches, les corticoïdes. La maladie est comme son nom l'indique, chronique et évolutive, et peut mener à une oxygénothérapie.
Les douleurs de la poitrine sont la plupart du temps liées au stress et à l'anxiété. En période de stress, les muscles se contractent. Le thorax n'y échappe pas. C'est cette contraction prolongée qui vient provoquer des douleurs vives, des sensations de brûlures au niveau de la poitrine.
Les fractures du sternum sont associées à un traumatisme, qu'il soit direct ou indirect. Un impact direct peut être dû à : un accident de voiture, en raison de la ceinture de sécurité qui appuie sur la poitrine ou d'un choc du volant ; une pratique sportive.
Le craquement, bruit le plus souvent rencontré, résulte de la formation et de l'expansion rapide d'une cavité de gaz au sein de l'articulation, rendue possible grâce à des variations de pression.
La détresse respiratoire provoque l'impression de manquer d'air. Il s'agit d'une sensation très angoissante qui s'accompagne souvent de panique. Cette affection est généralement liée à une affection pulmonaire ou cardiaque.
Les poissons gras
Riches en acides gras essentiels, ils font diminuer le taux de triglycérides dans le sang et diminuent la pression artérielle. Alors inspirez-vous d'eux et consommez plusieurs fois par semaine des poissons gras des eaux froides : saumon, truite, hareng, anchois, sardines ou maquereau.
L'exercice physique contribue à la bonne santé du cerveau ; le mouvement agit en effet à deux niveaux : il accroît d'une part le débit cardiaque et donc le flux sanguin et d'autre part la fréquence respiratoire, et donc les niveaux d'oxygène dans le sang.
Prenez un bain au romarin
Cette plante est couramment utilisée en phytothérapie pour assainir les bronches. Faites simplement infuser 10 branches de romarin 10 minutes dans 2 litres d'eau bouillante. Ôtez les branches puis versez l'infusion dans votre bain : patientez un peu avant d'entrer dans la baignoire.
Une respiration qui siffle, accompagnée d'une toux et d'une fièvre qui dure plus de 48 h sont les principaux signes d'une pneumonie. Cette infection respiratoire n'attaque plus seulement les bronches, mais affaiblit également les tissus pulmonaires, d'où la nécessité d'une prise en charge médicale rapide.
Traitement de la respiration sifflante
Le principal objectif du traitement est de traiter la maladie sous-jacente. Les bronchodilatateurs (qui permettent de dilater les voies respiratoires), par exemple l'albutérol, peuvent soulager les sifflements.
La pneumonie est une infection respiratoire aiguë du tissu pulmonaire, due à une bactérie. Elle atteint, le plus souvent, un des deux poumons. Elle peut être due à plusieurs types de bactéries. Le plus souvent, c'est une bactérie appelée Streptococcus pneumoniae ou pneumocoque qui en est la cause.
Si une personne ne respire pas profondément et ne tousse pas, les micro-organismes ont plus de chance de rester dans les poumons et de causer une infection.