Une bronchite aigüe se manifeste par de la toux sèche (sans crachats) qui peut ensuite devenir grasse (avec crachats). Cette toux peut durer 2 à 3 semaines, voire plus. Elle peut s'accompagner de douleurs au niveau du thorax et/ou de sensations de brûlure derrière le sternum lors des épisodes de toux.
Toux et douleur thoracique sont ses principaux symptômes. Pneumonie, due à une infection des poumons. Pleurésie, qui est une inflammation ou une infection de la plèvre. Pneumothorax, qui provoque une douleur aiguë dans le thorax, et parfois dans le cou et l'épaule.
Une rhinopharyngite peut par exemple se transformer en une infection bronchique. A la toux sèche, la sensation de brûlure sternale et les maux de tête des premiers jours suivent une toux grasse productive. La maladie se poursuit sur une semaine ou un peu plus. La fièvre est inexistante, voire peu élevée (38,5°).
La bronchite peut provoquer des quintes de toux assez importantes et fréquentes. À force de tousser, vous pouvez vous irriter les poumons (irritation pleurale ou pleurésie). Cette pleurésie peut également se manifester lorsque vous prenez une respiration profonde et provoquer des douleurs assez prononcées et pénibles.
Au début de la bronchite, la toux est sèche et fait mal à la poitrine ; Souvent il y a également de la fièvre mais pas très élevée, autour de 38.5°C ; On peut avoir le nez pris ; La fatigue fait aussi partie des symptômes classiques de la bronchite aiguë.
Aucun antibiotique n'est recommandé dans le traitement de la bronchite aiguë, car il n'y a aucune preuve que la prise d'antibiotique ait un effet sur l'évolution de la maladie.
Douleur à la poitrine : et si c'était les poumons ? Si les poumons sont en cause dans vos douleurs thoraciques, il se peut qu'elles soient dues à : Une pleurite : inflammation de la membrane qui couvre les poumons. Une embolie pulmonaire : due à l'obstruction d'une artère vers les poumons par un caillot sanguin.
Si la toux est accompagnée de douleurs ou de fièvre, le médecin pourra vous prescrire un médicament anti-douleur comme le Paracétamol (Dafalgan, Panadol, etc.). ou un anti-inflammatoire comme l'ibuprofen (Irfen, Agifor, etc.).
La toux grasse est généralement le signe d'une infection au niveau des voies respiratoires (nez ou gorge) qui atteint ensuite les poumons. Elle peut aussi apparaître chez les fumeurs, sans qu'il y ait présence d'infection.
Les traitements contre la toux grasse
Lorsque la toux devient grasse (généralement dans les jours à semaines qui suivent l'apparition de la toux sèche), il est possible d'utiliser des fluidifiants bronchiques (Muxol®, Surbronc®, Broncathiol®, Bronchokod®, Carbocistéine Clarix®, Fluimucil®...).
La toux peut aussi entraîner des complications respiratoires tels qu'un pneumothorax, un pneumomédiastin (épanchement gazeux dans les cellules du médiastin, région anatomique située dans le thorax et qui sépare les deux poumons et qui contient le coeur, la trachée, l'oesophage, une partie des bronches), un traumatisme ...
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme. A l'arrêt du tabac, il est important d'éliminer ces résidus de fumée.
La toux sèche, dite non productive, s'accompagne de douleurs thoraciques (souvent derrière le sternum ) de type brûlures survenant lors de ces épisodes de toux et à l'inspiration profonde.
Trois ou quatre branches de thym à faire bouillir dans 20 ml d'eau. Laisser infuser jusqu'à ce que l'eau devienne jaune. Y ajouter 1 à 2 cuillères de miel. À boire toute la journée, chaud (dans un thermos) ou froid.
aérez votre logement fréquemment et évitez les irritants qui peuvent déclencher ou prolonger la toux (parfums, aérosols) ; buvez beaucoup pour vous hydrater surtout en cas de fièvre ; si vous toussez la nuit, surélevez votre tête avec des oreillers et prenez du miel avant le coucher pour son effet apaisant.
L'amoxicilline notamment, que tout le monde connaît, n'est donc pas un traitement antibiotique utile contre les bronchites.
Deux choses permettent de différencier la bronchite virale de la bronchite bactérienne : la durée des symptômes et la couleur des sécrétions que l'on crache. Généralement, si notre état empire de jour en jour et/ou que les symptômes durent depuis plus d'une semaine, c'est probablement bactérien.
Les tisanes, au thym, guimauve ou lavande ; Ajoutez-y un peu de miel pour adoucir le goût ; Les pastilles, au miel et au citron peuvent calmer votre toux.
Hydratez-vous bien, à moins de contre-indication. Boire beaucoup de liquide favorise l'expulsion des sécrétions bronchiques. Pour soulager la fièvre et la douleur, vous pouvez prendre de l'acétaminophène ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens (par exemple, l'ibuprofène).
En général, le traitement de premier choix d'une pneumonie à pneumocoque repose sur l'utilisation d'amoxicilline (associée à l'acide clavulanique chez les personnes âgées ou fragiles). En cas d'allergie ou de contre-indication aux antibiotiques précédents, de la spiramycine ou de la pristinamycine sont prescrites.
Les pneumonies sont potentiellement graves, notamment lorsqu'elles touchent des personnes souffrant de maladies chroniques. Dans la plupart des cas, un seul lobe pulmonaire est atteint (les poumons se composent de cinq lobes) ce qui permet à la personne malade de ne pas mourir asphyxiée.