L'embole peut ensuite bloquer une artère qui irrigue le cerveau, comme une des artères cérébrales. Les accidents vasculaires cérébraux peuvent détruire le parenchyme cérébral par un défaut d'apport sanguin à des régions du cerveau. Une zone du parenchyme cérébral qui est détruite est appelée infarctus.
Le cerveau ne reçoit plus l'oxygène dont il a besoin pour fonctionner. Le visage devient pâle, le pouls s'accélère. La victime étourdie perd alors connaissance, rarement pendant plus de quelques secondes.
Alors que le cerveau n'est plus irrigué, condamnant les cellules cérébrales à la mort, certaines d'entre elles sont capables de survivre. L'infarctus est une course contre la montre. Soudainement, le cerveau n'est plus alimenté en sang, et donc en oxygène.
Au-delà d'une alimentation saine et équilibrée, introduisez des aliments riches en flavonoïdes, protecteurs de la circulation sanguine. Ils sont présents dans le chocolat, le thé, la pomme, le raisin ou le sarrasin. Le vin rouge en contient également, mais il sera consommé avec modération.
Lorsque les cellules nerveuses sont endommagées, le cerveau ne peut plus recevoir les bons signaux et l'on peut ressentir de la douleur, un engourdissement, des picotements et même des crampes.
On assiste depuis quelques années à un nouveau phénomène : prendre des médicaments — Ritalin, Adderall, Alertec — pour augmenter ses capacités cognitives. Appelés « smart drugs », ces médicaments ont été conçus à l'origine pour soigner des troubles tels que l'hyperactivité ou la narcolepsie.
1. Le stress. Le stress peut être utile ou nuisible pour le cerveau, cela dépend de son intensité et de sa durée.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Quoi qu'il en soit, l'accident vasculaire cérébral étant pour le cerveau ce que l'angine de poitrine est pour le cœur, ses facteurs de risque sont bien connus, les principaux étant le tabac, l'hypertension, l'excès de cholestérol, l'obésité et le diabète de type 2.
Les causes de cette fatigue intellectuelle sont diverses : intolérances alimentaires, carence en nutriments, troubles du sommeil, stress, etc.
Pour savoir si le patient est en état de mort cérébrale, plusieurs tests sont effectués : absence d'activité musculaire spontanée, pas de réflexe, pas de réaction à la douleur, absence de respiration, électroencéphalogrammes montrant l'absence d'activité électrique du cerveau et angiographie (absence de circulation ...
L'hypoxémie est un manque d'oxygène dans le sang. Elle conduit à un défaut d'oxygénation des cellules de l'organisme. Elle résulte le plus souvent d'une pathologie pulmonaire, cardiaque ou d'une anémie. Lorsqu'elle engage le pronostic vital du patient, un apport en oxygène est une urgence absolue.
Problèmes de mémoire ou confusion
Les problèmes d'élocution, les troubles importants de la mémoire, les changements de personnalité et la confusion sont autant de symptômes qui peuvent être causés par des anomalies ou des problèmes au niveau du cerveau, de la colonne vertébrale et des nerfs.
En 2019, une personne sur huit dans le monde – soit 970 millions de personnes – présentait un trouble mental, les troubles anxieux et les troubles dépressifs étant les plus courants (1). En 2020, le nombre de personnes atteintes de tels troubles a augmenté considérablement du fait de la pandémie de COVID-19.
Électromyographie : l'examen incontournable des maladies neurologiques. Maladie de Parkinson, épilepsie, sciatique avec hernie discale lombaire, nevralgie cervico-brachiale par hernie discale cervicale ou encore méningiome, névralgie du nerf trijumeau...
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.
Au-delà de l'éthique sportive, c'est bien les séquelles sur la santé qui inquiètent le plus. « Il n'y a pas de sport plus dangereux pour le cerveau, assure le neurologue Jean-François Chermann.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau. Le corps humain ne produisant pas d'antioxydants, il est impératif de les lui apporter par l'alimentation.
On pense notamment aux aliments frits, aux boissons sucrées, aux sucres raffinés et aux viandes transformées.
Le thé vert serait bon pour le cerveau et la mémoire
Le thé vert améliorerait également le fonctionnement du cerveau.
Les apports nutritionnels bénéfiques au cerveau peuvent aussi être apportés par des compléments alimentaires enrichis en DHA, en vitamine du groupe B, en magnésium et en extraits de plantes connues pour leurs bienfaits sur les fonctions cognitives (guarana, sauge).