Le délai de règlement des factures entre professionnels est fixé par la loi au 30ème jour suivant la réception des marchandises ou l'exécution de la prestation de services. Les parties peuvent convenir d'un délai plus long mais sans dépasser 60 jours à compter de la date de facturation (ou 45 jours fin de mois).
Le délai de paiement est fixé, par principe, au 30e jour suivant la réception des marchandises ou l'exécution de la prestation. Mais ce délai peut aller au-delà des 30 jours, sans dépasser 60 jours à partir de la facturation (ou 45 jours fin de mois) s'il est précisé au contrat.
Le délai de paiement légal entre entreprises est de 30 jours mais il peut arriver que vos clients vous imposent des délais de paiement plus longs : 45, 60, 90 jours, voire plus, et fin de mois plutôt qu'à date de facture.
Le terme conditions de paiement comprend le délai de paiement et le mode de paiement négocié avec votre client. Le mode de paiement a également une forte incidence sur le risque de retards de paiement.
Selon la loi et sans disposition contraire sur la facture, le délai de paiement est de 30 jours à compter de la date de réception des produits ou de l'exécution de la prestation. Cependant, l'entreprise est également en droit de demander un paiement 'comptant'.
En effet, le délai de paiement doit obligatoirement être mentionné dans la facture et dans les Conditions Générales de Vente. Quand il existe un accord, le Code du commerce vient encadrer les délais possibles.
Il est fixé à 30 jours maximum suivant la livraison du bien, c'est-à-dire de la remise du bien au client, ou de l'achèvement de la réalisation de la prestation de service.
Selon l'article L. 441-3 du code de commerce, toute vente ou prestation de service doit faire l'objet d'une facturation. La facture doit être émise au moment où se réalise la vente.
Date à laquelle est exigible l'exécution d'une obligation, le paiement d'une dette. 2. Somme à payer à cette date.
Une injonction à payer peut être mise en place. Il s'agit d'un courrier du juge sans convocation au tribunal, indiquant que le client récalcitrant dispose d'un mois pour payer ou faire appel. Cette démarche vous coûtera environ 40 € de frais de justice.
Pour laisser une dernière chance à votre client, vous pouvez lui adresser un courrier de mise en demeure (idéalement par recommandé avec accusé de réception) spécifiant votre volonté de saisir le tribunal en cas de non-paiement de la facture et des pénalités de retard sous le délai que vous aurez choisi.
Restez professionnel et soyez bref mais précis : Rappelez le numéro de la facture que l'on doit vous payer. Soyez très clair sur la date à laquelle vous attendez le paiement. Demandez comment vous allez être payé
Lorsque vous autorisez un paiement à “30 jours fin de mois”, la facture doit être réglée au plus tard à la fin du mois qui correspond à la date de facturation + 30 jours (exemple: pour une facture émise le 15 juillet, elle doit être payée avant le 31 août)
La date de délivrance de la facture correspond à la date de la commande. Si vous réalisez des prestations de services, la facture doit être remise lorsque la prestation est terminée.
Le cas échéant,
à l'occasion ; si le cas se présente.
La date d'effet représente la date à laquelle le contrat et les garanties entrent en vigueur. Dans le cadre de l'assurance-vie, le contrat prend effet à la date de signature du bulletin de souscription, sous réserve de l'encaissement du versement initial par l'assureur.
La « coutume » de la décade en matière de délai de paiement
La décade signifie 10 jours. C'est-à-dire que si le délai de paiement est de 30 jours après la décade, et que la facture est émise le 8 du mois, alors le délai de 30 jours démarre au 10 du mois. Si la facture est émise le 12, le délai court à compter du 20.
Un contrat ne peut exister que grâce à la réciprocité des engagements, donc si vous n'avez pas honoré votre part du marché, le client est en droit de ne pas engager de paiement [1]. En revanche, dans le cas contraire, celui-ci est tenu par l'obligation simple de régler la facture.
Établir et transmettre une facture à son client est obligatoire lorsque la transaction concerne des prestations de services ou des ventes de marchandises réalisées entre professionnels. Le fait que le client soit implanté en France, dans l'Union Européenne ou dans un pays tiers n'a aucune incidence sur l'obligation.
L'avance est une somme versée avant que la vente d'un bien ou que la prestation de services soit réalisée. Une avance est considérée juridiquement comme des arrhes. Le professionnel ou le consommateur peut revenir sur son engagement.
Le solde de tout compte doit être réglé après la réception des travaux. Les professionnels peuvent tolérer un délais de paiement, par accord mutuel. Plus aucun paiement, en France, ne doit dépasser 60 jours (au cas où les conditions de paiement n' aient pas été définies au préalable).
En cas de facture périodique au sens du 3 du I de l'article 289 du code général des impôts, le délai convenu entre les parties ne peut dépasser quarante-cinq jours après la date d'émission de la facture.
nom et adresse des parties. date de la vente ou de la prestation de services. quantité et dénomination précise des produits ou services. prix unitaire hors taxe et réductions éventuellement consenties.