La psychosomatique ou les troubles psychosomatiques concernent à la fois le corps et l'esprit. C'est lorsqu'un élément d'ordre psychologique est impliqué dans l'apparition de symptômes physiques. En d'autres termes, le corps exprime une émotion ou un trouble psychologique.
La douleur psychosomatique est bien réelle, c'est une véritable douleur qui est ressentie même s'il n'existe pas de causes physiques. Elle nécessite comme toute autre douleur une prise en charge spécifique. Les personnes qui sont submergées psychologiquement expriment leurs émotions à travers le corps.
La somatisation est l'expression par des symptômes physiques de phénomènes mentaux. Elle est généralement associée à une détresse et à un handicap significatif qui altère souvent la vie quotidienne des personnes atteintes.
Attribuées à des causes émotionnelles ou psychiques, les douleurs émotionnelles se manifestent par des symptômes, divers comme des maux de dents ou des difficultés respiratoires. Ce type de douleur nécessite un traitement médico-psychologique personnalisé.
Du soutien psychologique à l'hypnose, en passant par la kinésithérapie, la relaxation, ou encore la méditation de pleine conscience, les soins non médicamenteux – en complément des médicaments antalgiques et des traitements du cancer – permettent d'apporter un bien-être physique mais aussi moral.
L'approche la plus efficace pour traiter les douleurs de somatisation est donc multidisciplinaire : médicale, psychologique, mais aussi en ayant recours à des traitements complémentaires comme l'ostéopathie. Prenez le temps d'explorer pour trouver les solutions et traitements qui vous soulagent le plus !
Exprimer sa souffrance pour la libérer.
Il s'agit d'abord d'observer afin d'identifier la souffrance. Puis, au rythme possible pour chacun d'entre nous, il faudra pouvoir la reconnaitre, la ressentir pleinement, la laisser nous traverser, l'accueillir.
La douleur chronique survient parfois lorsque les nerfs deviennent plus sensibles à la douleur. Par exemple, la cause initiale de la douleur peut stimuler de façon répétée les fibres et cellules nerveuses qui détectent, envoient et reçoivent les signaux de douleur.
L'hypocondrie se manifeste sous forme de "crises" ou de façon constante. Douleurs, palpitations, crampes, fourmillements, boutons suspects, retards de règles... Les moindres signes physiques sont interprétés par l'hypocondriaque comme les symptômes d'une maladie grave, potentiellement mortelle.
Parmi l'ensemble des maladies mentales reconnues par la psychiatrie, la mélancolie est sans doute celle où la souffrance est la plus grande ; en tout cas, elle nous apparaît comme de la souffrance à l'état pur.
La connexion entre l'esprit et le corps est très forte, car très souvent, à travers le corps, nous exprimons nos émotions et nos névroses. Lorsque ces somatisations deviennent très douloureuses, d'une intensité très élevée et fréquente et durables dans le temps, on parle alors d'un réel et véritable trouble.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
La psychosomatique se rapporte à l'influence du psychisme sur l'organisme, autrement dit, de notre mental sur notre santé. On parle alors de symptômes, de troubles et de maladies psychosomatiques, qui sont l'expression corporelle ou physique d'un problème psychologique.
Cette souffrance est liée aux émotions. Elle peut s'appeler dépression, angoisse, anxiété, sentiment de solitude, tristesse, mélancolie, désespoir, sentiment de vide, d'abandon, de rejet,… Elle est quelquefois tellement envahissante qu'elle empêche de vivre, de travailler, d'avoir des relations harmonieuses.
L'expression « douleur psychogène », ou « psychalgie » désigne une douleur qui serait uniquement ou principalement causée par des facteurs psychologiques, émotionnels et comportementaux.
C'est une douleur ressentie dans le corps s'expliquant par une affection ou une maladie connue. Son ressenti peut aussi être disproportionné par rapport à ce qui est habituellement exprimé par les personnes en général.
Les symptômes neurologiques (symptômes provoqués par une affection qui touche tout ou partie du système nerveux) peuvent fortement varier, car le système nerveux contrôle toutes les fonctions de l'organisme.
Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.
La douleur neuropathique résulte d'une lésion ou d'un dysfonctionnement du système nerveux central ou périphérique, plus que d'une stimulation des récepteurs de la douleur. Le diagnostic est établi devant une douleur disproportionnée en regard de l'atteinte tissulaire, une dysesthésie (p.
Quand on a mal, une quinzaine de zones du cerveau s'activent. Suite au stimulus, l'information remonte jusqu'à la moelle épinière, puis jusqu'au cerveau qui l'interprète. La réponse du corps pour se prémunir de la douleur (augmentation de la pression artérielle, transpiration...)
Elles peuvent être brutales, fulgurantes, épisodiques ou bien continues. Elles peuvent survenir en l'absence de toute stimulation ou, plus souvent, lors de stimulations habituellement non douloureuses : effleurement, courant d'air, contact avec un tissu, etc. Elles sont aggravées par le froid ou les émotions.
Qu'est-ce qu'une blessure émotionnelle ? Une souffrance émotionnelle est une conséquence d'une mauvaise expérience que vous avez vécue dans votre passé. Généralement, cette douleur se construit lorsque vous êtes enfant et vous prenez conscience de son existence dans votre vie d'adulte.
Quelques conseils pour briser le silence
Si vous êtes la personne qui subit ce silence, la tâche de briser cette indifférence agressive est tout aussi difficile. Pratiquez la tolérance avec l'autre ; Donnez un temps raisonnable à l'autre personne pour se calmer après une dispute.
passer à l'attaque, ce qui est la meilleure défense à un moment donné lorsqu'on n'arrive pas ou plus à bien se défendre, repérer le meneur qui entretient ce statut et l'affronter et le déstabiliser car dans le cas d'être devenu un souffre-douleur il y a un effet de groupe, et toujours une seule personne à l'origine, ...