Donc calme-toi et le meilleur moyen de se calmer, c'est de respirer. C'est le meilleur moyen. En faisant ça, tu indiques clairement à ton esprit, à ton cerveau qu'il faut se calmer, que la situation est OK. Donc premièrement, si on se moque de toi, calme-toi, relaxe-toi.
Restez calme. Quand ils se moquent de vous, soyez calme. Bien sûr, cela est plus facile à dire qu'à faire, surtout avec toute cette vague de gêne et de souffrance qui vous envahit. Cependant, garder votre sang-froid sur le moment est essentiel pour leur enlever le pouvoir qu'ils ont entre les mains.
La moquerie est amplifiée par l'effet groupe. Elle a encore plus de poids et d'impact. Se moquer est une façon d'expérimenter son agressivité, sa cruauté. C'est aussi tourner en ridicule une qualité de l'autre que l'on convoite ou un élément qui nous inquiète.
Attitude n°3 : Se tenir droit dans ses bottes
La fermeté est une autre arme puissante pour déstabiliser les moqueurs car le but ultime de ces derniers est de vous faire douter de vous, de vos capacités… En ayant une attitude ferme vous aurez le dessus sur tout ce que votre interlocuteur aura à vous dire.
Par exemple, une réponse standard aux taquineries serait : “Je sais que tu veux me mettre en colère, mais ce que tu dis ne me touche pas du tout, donc ça ne marchera pas.”
Quand quelqu'un vous provoque verbalement et essaie de vous pousser à bout, choisissez tout naturellement de l'ignorer et de ne pas lui répondre, voire même de quitter la pièce sans mot dire. Cette méthode va embarrasser la personne qui essaie de vous toucher, et celle-ci se retrouvera penaud face à votre silence d'or.
Se moquer des autres peut produire un rejet chez l'agresseur, une diminution de l'apprentissage scolaire et une faible estime de soi. Cela augmente aussi l'agression et l'insécurité personnelle. C'est, en effet, la preuve que les règles régissant le comportement social sont ignorées.
− Se moquer de (qqn/qqc.) 1. Tourner en dérision, en ridicule, prendre comme objet de plaisanterie (quelqu'un ou quelque chose).
moqueur (adj.) 1. qui aime à se moquer, qui est enclin à la raillerie. Blagueur, railleur, goguenard.
Autodérision : Définition simple et facile du dictionnaire.
Selon ce dernier, les moqueries sont souvent source de détente pour certains, qui ne pensent souvent pas aux conséquences de leurs propos. « Une personne peut aussi se moquer des autres afin de camoufler son propre sentiment d'insécurité.
C'est ce qu'avance la neuropsychologue Sylvie Chokron. Et ça nous fait du bien : rire libère des endorphines, nous aide à décompenser lors de moments difficiles…
Action ou habitude de se moquer : Être en butte à la moquerie de ses camarades. 2. Action, parole par lesquelles on raille ; raillerie : Exciter les moqueries de son entourage.
Parce qu'elles étouffent nos désirs, freinent nos élans, nos prises de décisions et la réalisation de nos projets, la peur de l'opinion de ceux qui nous entourent et la crainte du rejet qui l'accompagne nous entravent.
Il y a une envie réciproque de passer du temps ensemble. Il y a généralement une tendance à s'intéresser vraiment à l'autre et à le·la soutenir dans les moments difficiles.
Pour ignorer quelqu'un en changeant vos habitudes, la façon la plus simple est d'emprunter de nouveaux itinéraires afin de ne plus croiser cette personne. Si vous croisez toujours cette personne entre deux cours, prenez un chemin plus long pour vous rendre en classe afin de ne pas voir cette personne.
Il dénote d'un manque d'intelligence émotionnelle, et il peut aussi entraîner de graves conséquences sur l'autre personne. Cela revient à des tentatives de contrôle et d'humiliation de l'autre. Dans tous les cas, cela n'a rien de positif dans une relation. Ignorer quelqu'un, c'est le mépriser et même l'annuler.
Anne-Laure Buffet utilise le mot d'emprisonneur pour désigner les bourreaux, auteurs de violence psychologique (ces emprisonneurs peuvent être des hommes ou des femmes, de tout âge et de toute classe sociale).
Rabaisser les autres est un moyen qu'il utilise pour tenter de rééquilibrer son regard sur lui-même et s'auto-convaincre qu'il a de la valeur. Mais malheureusement, son habitude est totalement contre productive. Il s'enferme dans une spirale de comparaison, et ne réussit pas à combler son vide intérieur.