La question divise la communauté scientifique. Selon l'astrobiologiste Jack o'Malley-James, de l'Université de Saint Andrews (Écosse), la vie sur Terre déclinera d'ici 2,8 milliards d'années à mesure que les températures augmenteront, comme le précise cet article de National Geographic.
Leur pouvoir n'est pourtant pas sans limites. Reste à savoir combien de temps ils pourront résister. Selon les études les plus optimistes, l'espèce humaine pourrait survivre encore un milliard d'années sur la planète bleue.
Guerre nucléaire, changement climatique, impact d'un astéroïde géant, pandémie qui tuerait des centaines de millions de personnes. Ce sont les menaces les plus vraisemblables qui pourraient mettre à mal la civilisation humaine explique le très sérieux The Atlantic.
Pollutions, réductions ou privations de territoires, exploitations aveugles des ressources naturelles ajoutées à mille petites agressions, ont mis l'univers du vivant au seuil d'une nouvelle grande extinction des espècesextinction des espèces, la première d'origine anthropique.
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
La sixième extinction de masse s'accélère et met en péril la survie de la population humaine : c'est ce qu'affirme une étude, publiée le 1 er juin dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
Raison pour laquelle Erasme a pu dire : « on ne naît pas homme le devient » pour affirmer que l'humanité se conquiert et s'acquiert car elle n'est pas reçue ou donnée au point de départ de la vie, elle n'est pas innée.
0, qui correspond à des émissions modérées à élevées, le réchauffement global moyen est de 2,2°C au-dessus des niveaux actuels d'ici 2100, mais continue d'augmenter jusqu'à 3,6°C en 2200 et 4,6°C en 2500.
Les plus vieux fossiles du genre Homo remontent à 2,8 millions d'années, avec Homo habilis. De nouvelles datations situent les plus anciens Homo sapiens il y a environ 300 000 ans.
L'homme apparait en Afrique[modifier | modifier le wikicode]
Les premiers hominidés (famille de grands singes dont font partie l'homme , le chimpanzé , le gorille...) sont apparus en Afrique, le berceau de l'humanité . L'australopithèque Lucy aurait environ 3,2 millions d'années et Toumaï 7 millions d'années.
George, la dernière tortue géante des Galápagaos, est décédé en 2012. George n'est malheureusement qu'un exemple parmi les 160 autres espèces déclarées éteintes par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) entre 2010 et 2019.
Une nouvelle espèce d'hominine a été identifiée : Homo Aprilis Fatuus. Paléoanthropologue, Chercheur au CNRS et au Muséum National d'Histoire naturelle, Antoine Balzeau étudie l'évolution des Humains préhistoriques.
De nombreux animaux et plantes disparaissent, à un rythme encore jamais égalé. La disparition de la biodiversité est en train de provoquer des effets graves sur les moyens de subsistance, l'économie et la qualité de vie des populations humaines. On parle même d'extinction de masse.
Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
La pollution de l'air :
La pollution de l'air participe grandement à la pollution de la planète. Elle est principalement due à la calcination de combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole et gaz.
Selon les chercheurs, il faut réduire notre consommation, empêcher le commerce des espèces en voie de disparition ou encore aider les pays en développement à protéger leur biodiversité.
On pourrait devenir de super nageurs
Certes d'un côté, la terre s'assèche mais les glaciers fondent et augmenteront considérablement le niveau de l'eau (pas besoin d'attendre 3000 ans pour que ça se produise, donc commencez à vous familiariser avec des palmes).
La France moderne naît véritablement au traité de Verdun, en 843. Avec ce traité, Charlemagne partage l'empire en trois parts égales destinées à ses trois petit-fils. L'un d'eux, Charles II le Chauve hérite de la Francie occidentale qui donnera plus tard le mot “France”.
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.