En préventif sur les arbres et arbustes fruitiers, la pulvérisation de la bouillie bordelaise se fait à l'automne, à la chute des feuilles et au printemps, lors de l'apparition des bourgeons.
Les arbres fruitiers peuvent être traités à la bouillie bordelaise principalement entre l'automne et le tout début du printemps, avant que les bourgeons n'apparaissent et après la taille.
La bouillie bordelaise doit être appliquée sur la vigne, les fraisiers, les pommes de terre et les plants de tomates au printemps, entre avril et mai. Réitérez l'opération toutes les deux semaines et cessez le traitement un peu avant la période des récoltes.
Les traitements des fruitiers se font en hiver, car les parasites hivernent sur les ramures des arbres ou dans le sol. Le but principal sera de les éliminer de l'écorce de l'arbre, c'est-à-dire : les parasites, mais aussi les œufs ou les larves.
Agir lors d'une journée sans pluie et hors période de gel, au moment où les bourgeons commencent à gonfler, en répartissant convenablement la vaporisation sur le tronc, les charpentes, les jeunes branches ainsi que les pousses. Pulvériser le produit au printemps et à l'automne, juste après la chute des feuilles.
Moniliose, oïdium, carpocapses et pucerons : pulvérisez le traitement à base d'huiles minérales ou de colza en hiver, hors période de froid, avant l'éclatement des bourgeons. Badigeonnez les troncs de chaux ou d'argile. Tavelure : de la bouillie bordelaise lors du débourrement, puis peu avant la floraison.
Pour éviter cette situation, pensez à disposer à partir du mois de mai un piège à phéromones pour pommiers. Cet outil est très facile à installer et reste esthétique. Puis en juin, détruisez les abris à l'aide de bandes de carton au pied de l'arbre.
L'apport du printemps, à la nouaison (l'apparition des fruits), est composé de compost bien mûr, sur une couche de 2 à 5 cm. En automne, l'arbre fruitier doit refaire ses réserves. Il a besoin à ce moment là d'un engrais riche en carbone, du BRF par exemple, ou des feuilles mortes.
Altération des poumons et du foie. Le sulfate de cuivre, utilisé dans la bouillie bordelaise, est la forme de cuivre la plus toxique pour l'homme. Il provoque de sévères irritations cutanées et oculaires, tout en étant toxique en cas d'ingestion.
Pulvérisez de l'huile de colza insecticide ou de l'huile de paraffine une première fois en décembre et une deuxième fois en février. Ces huiles blanches permettent d'éliminer tous les parasites installés dans le creux de l'écorce des arbres non badigeonnée et prévient l'apparition de parasites.
Le bicarbonate de soude comme fongicide naturel
Ce pourrait bien être la “solution idéale” pour remplacer la bouillie bordelaise (Un produit certes autorisé en bio, mais dont l'utilisation s'avère à terme désastreuse pour la vie du sol, en particulier en raison du cuivre qui s'y accumule…
En préventif sur les arbres et arbustes fruitiers, la pulvérisation de la bouillie bordelaise se fait à l'automne, à la chute des feuilles et au printemps, lors de l'apparition des bourgeons. Sur les tomates, dès leur installation.
Au printemps : appliquez une huile horticole sur les arbres fruitiers avant l'apparition des feuilles. De mai à novembre : posez des pièges collants pour capturer les insectes ravageurs et tondez souvent l'herbe sous les arbres et alentour.
Prévenir le ver des fruits
La plupart des moyens de prévention sont compatibles avec une culture bio. Installez des bandes de glu dès le début du printemps et ce, jusqu'à la période de récoltes des fruits. Les bandes de glu s'installent sur le tronc d'arbre, afin d'éviter aux vers de s'installer sur celui-ci.
La bouillie bordelaise est composée de sulfate de cuivre et de chaux. C'est un fongicide. Autrement dit, elle traite toutes les maladies issues de champignons (maladies cryptogamiques). Parmi les champignons, la fumagine provoquée par le miellat du puceron.
Par quoi peut-on remplacer la bouillie bordelaise dans votre jardin ? On peut la remplacer totalement ou partiellement, sans jamais dépasser 10 grammes par litre d'eau, par du purin d'ortie ou surtout par un purin de prêle, en préventif ou en curatif.
Pour combattre cette maladie, il est important de connaître son mode d'action: Elle ne se déclare qu'à des températures comprises entre 10° et 25° et a besoin d'un feuillage restant humide de 2 à 7 h pour se développer.
Quand traiter les pommiers, les poiriers, les pruniers contre les vers ? Le moment idéal pour utiliser les nématodes est l'automne, sur un sol ni trop chaud ni trop froid (18-20°C) et surtout humide.
Les principaux groupes de fongicides disponibles pour lutter contre l'oïdium du pommier sont les stro- bilurines, les inhibiteurs de la synthèse des stérols (ISS ou triazoles), les inhibiteurs de la succinate déshy- drogénase et le soufre mouillable.
Maladie fréquente du pommier, la tavelure est d'origine cryptogamique, causée par le champignon Venturia inaequalis. Les symptômes sont : taches brunes sur le feuillage qui se déforme et tombe, fruits déformés, crevassés, qui finissent par pourrir, dessèchement des rameaux.
Afin de stimuler l'apparition de belles et nombreuses pommes, il est important de faire une taille de fructification avant la reprise de la végétation. La taille de votre pommier aura donc lieu à la fin de l'hiver, mais hors période de gel. L'apport d'engrais pour fruitier au printemps améliore la productivité.
Votre urine humaine est tout aussi bonne pour les plantes avec de l'azote, du phosphore, du potassium et les minéraux utiles. Avec quelques notions agronomiques vous pouvez répartir votre urine fertilisante mieux que les animaux ( enfin, l'humanité dans le bon sens pour la biodiversité :-) .
Quand tailler les pommiers ? La taille du pommier se fait en général en début d'hiver mais courre jusqu'en février (hors période de gel), dans le but de favoriser la fructification. Plus vous taillerez tard, mieux vous reconnaitrez les bourgeons qui donneront des fleurs car ils gonflent déjà.
Les premiers signes d'une attaque de carpocapses sont les trous dans les pommes et la chute des fruits au sol. Lorsque le ver sort de la pomme, il entre alors dans la terre et remonte dans le pommier l'année suivante pour une nouvelle contamination.