Attention, il existe des exceptions : une dictée, une jetée, une portée, une montée, une pâtée, une assiettée et d'autres noms exprimant un contenu (une brouettée, une pelletée…). En règle générale, les noms masculins terminés par [e] s'écrivent « –er » ou « –é ». Les noms masculins en [je] s'écrivent « –ier ».
Lorsque le verbe se termine par « é », « és », « ée », « ées », il s'agit de la terminaison du participe passé d'un verbe du premier groupe.
L'outil est simple : Les mots féminins en –é désignant une chose qui ne peut pas être touchée, hors notions de temps et de périodes cycliques, ne prennent pas de « e ». On met un « e » lorsque l'objet désigné pourrait être touché (dont les contenus) ainsi que pour des notions de temps ou de périodes cycliques.
En poésie, pour compter les syllabes d'un vers, il faut prendre en compte la règle dite des e muets. On compte le e lorsqu'il est placé devant une consonne et on ne le compte pas lorsqu'il est placé devant une voyelle, ou bien lorsqu'il est en fin de vers.
Selon la règle grammaticale, tous les noms féminins avec les terminaisons « -té » et « -ité » ne prennent jamais de « e » final, sauf pour les exceptions que vous trouverez ci-dessous. On écrit donc « cette femme a une belle qualité que les autres ne voient pas » et « c'est l'amitié qui nous a toujours unis ».
Femme vient du latin femina, qui progressivement s'est prononcé "fème", puis "fame", mais là encore les lexicographes ont tenu à maintenir le lien avec l'origine latine, donc le premier "e"… même s'il se prononce A. C'est toute la différence entre la graphie du français et celle de l'espagnol, par exemple.
Lorsque la dernière syllabe d'un mot au pluriel contient un « e » et que ce mot précède un mot commençant par une voyelle, on comptabilise la syllabe parce qu'à l'oral elle introduit une consonne supplémentaire du fait de la liaison.
1. Prononciation en deux syllabes d'une séquence qui comporte deux sons formant habituellement une seule syllabe (par exemple « nuage » [nɥaʒ] prononcé [nyaʒ]). [En versification française, la diérèse est de règle lorsque le i est précédé de deux consonnes, dont la seconde est r ou l.
Une règle simple pour savoir si on doit mettre é ou er à la fin d'un verbe est de le remplacer par le verbe "vendre" dans la phrase. Si l'on dit "vendu", il faut mettre é, sinon il faut mettre "er". On peut aussi utiliser le verbe "prendre" pour les terminaisons au féminin mais ça marche moins bien au niveau du sens.
Les adjectifs qui se terminent par -er au masculin, se terminent en -ère au féminin. Les adjectifs qui se terminent par -et au masculin, se terminent en -tte au féminin. Les adjectifs qui se terminent par -eur au masculin, se terminent en -eure, -euse, -ice, -esse au féminin.
Pour savoir quand mettre le verbe à l'infinitif dans une phrase, il faut retenir ces deux petites règles : Quand deux verbes se suivent, le second se met à l'infinitif. Exemple : je vais partir. Le verbe se met à l'infinitif après les prépositions « de », « à », « pour » et « sans ».
On appelle rime féminine toute rime terminée par un e muet. On appelle rime masculine toute forme de rime qui n'est pas terminée par un e muet ou qui est terminée par une consonne. Dans la poésie classique, la règle est de faire alterner rimes féminines et rimes masculines.
Si graphiquement le vers correspond à une ligne, la strophe correspond à un paragraphe. Elle est donc constituée d'un regroupement de vers qui forment une unité de sens. Comme pour les vers, il existe un vocabulaire précis pour nommer les strophes en fonction du nombre de vers qu'elles contiennent.
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
En effet, leurs étymologies sont différentes. Ainsi, l'origine latine de fille est figlia. Alors que celle de ville est villa. Si les deux ont perdu leur consonance latine (le "a" final), le premier a naturellement évolué vers le "ille".
Voici quelques exemples de phrases pour faire réagir son ex copine ou copain sans le/la blesser : « Je viens de comprendre pourquoi tu as réagi ainsi et je te pardonne. Je te remercie aussi, je pense en effet que tu ne me correspondais pas » ; « Je te remercie pour ta franchise et pour ta décision.
Un ami toxique est quelqu'un qui ne demandera jamais pardon après une dispute, qui s'arrangera toujours pour passer pour la victime et à justifier ses comportements excessifs ou ses paroles méchantes. Un ami toxique tournera toujours tout à son avantage.
Un corps attiré cherche à créer un contact, une proximité, l'envie de se rapprocher et de se toucher deivent palpable : une main posée sur l'épaule, un frôlement, une manière de tourner les épaules vers l'autre ou de présenter son cou et sa gorge, signes d'une vulnérabilité offerte, autant de signaux du corps qui sont ...
Par définition, l'amitié est une affection réciproque, un attachement mutuel entre deux personnes n'appartenant pas à la même famille. La relation amicale est proche de la relation amoureuse, sauf qu'il n'y a pas d'exclusivité ni d'attirance sexuelle.