1. Le plus-que-parfait sert à décrire une action passée qui est arrivée avant une autre action passée. Mon copain a adoré les poèmes que j'avais écrits pendant ma jeunesse. Elle me demandait constamment de lui prêter les bijoux que ma mère m'avait donnés.
En résumé, l'imparfait est utilisé pour décrire comment les choses étaient dans le passé, tandis que le plus-que-parfait est utilisé pour parler d'une action qui s'est produite avant une autre action passée.
Il sert à indiquer une action ayant eu lieu avant une autre déjà située dans le passé. Comment se forme le plus-que-parfait ? Le plus-que-parfait se forme avec l'auxiliaire être ou avoir conjugué à l'imparfait suivi du participe passé du verbe conjugué : j'étais parti, j'avais gagné, etc.
Si l'on raconte des événements dans un ordre chronologique, on utilise le passé composé et l'imparfait. Si l'on raconte les événements dans un ordre différent, on utilise le passé composé, l'imparfait, et occasionnellement le plus-que-parfait.
Le plus-que-parfait se forme avec l'auxiliaire « être » ou « avoir » conjugué à l'imparfait, suivi du participe passé du verbe à conjuguer. Exemples : J'avais chanté. Tu étais allé(e).
Pour une action antérieure à l'action principale, on utilise le plus-que-parfait. Pour une action postérieure à l'action principale, on utilise le conditionnel présent.
Les règles de conjugaison du Plus-que-parfait de l'indicatif
Le participe passé d'un verbe au plus-que-parfait, employé avec l'auxiliaire être s'accorde toujours avec le sujet, sauf pour certains verbes pronominaux (traités dans un article dédié).
Le passé simple fait référence à une action ou un événement terminé qui s'est produit à un moment précis dans le passé, tandis que le passé composé fait référence à une action ou un événement terminé qui s'est produit avant une autre action ou un autre événement dans le passé.
L'imparfait est utilisé pour décrire des actions habituelles, des états durables ou des descriptions dans le passé, tandis que le plus-que-parfait indique une action antérieure à une autre action déjà passée.
- le passé antérieur exprime l'antériorité par rapport à une action au passé simple ; Ex. : Quand sa mère eut fini de préparer le repas, il lui montra ses devoirs et lui récita ses leçons. - le plus-que-parfait exprime l'antériorité par rapport à une action à l'imparfait.
Composé de plus, de la conjonction que, et de parfait, sur le modèle du latin plus quam perfectum, de même sens. Marque de domaine : grammaire. Temps composé, qui présente une action achevée au moment de l'énonciation et antérieure à une autre action, elle-même située dans le passé et prise comme point de référence.
On l'utilise pour raconter un événement passé, terminé et limité dans le temps. Avec les verbes entrer, sortir, aller, venir, arriver, partir, retourner, tomber, passer, rester, monter, descendre, mourir, naître, devenir et tous les verbes pronominaux, on utilise l'auxiliaire être : - Il est allé à l'université.
Quelles sont les terminaisons de l'imparfait ? Les terminaisons de l'imparfait sont : ais, ais, ait, ions, iez, aient. Elles s'ajoutent au radical du verbe formé à la première personne du pluriel au présent de l'indicatif (nous aimons : j'aimais, tu aimais, etc.).
Nous utilisons le plus-que-parfait simple pour désigner l'achèvement d'une activité et le plus-que-parfait continu pour nous concentrer sur l'activité et la durée de l'activité . J'avais attendu le bus une heure. Le passé parfait simple met l’accent sur l’achèvement de l’activité (l’attente est terminée). J'attendais le bus depuis une heure.
Nous utilisons le passé simple pour parler d'événements, d'états ou d'habitudes à des moments précis du passé. À 16 heures mardi dernier, je travaillais au bureau. Le passé continu met l'accent sur l'action ou l'événement en cours à une époque passée . L'événement (travail) était en cours à 16 heures.
Le plus-que-parfait de l'indicatif. Quel que soit le groupe du verbe conjugué, il se forme de deux éléments : un auxiliaire (être ou avoir) conjugué à l'imparfait + le participe passé.
L'auxiliaire avoir est employé lorsqu'on veut insister sur l'action évoquée, alors que l'auxiliaire être sert plutôt à exprimer le résultat ou l'état qui résulte de cette action. J'ai déménagé en juillet. (ou : Je suis déménagée en juillet.) Il a stationné en double file.
Il se forme à partir du verbe à l'infinitif + les terminaisons -ai, -as, -a, -ons, -ez, -ont. Pour les verbes dont l'infinitif est en -re, il faut supprimer le "e".
Dans la langue soutenue, la règle de concordance des temps veut que le verbe de la subordonnée soit à l'imparfait ou au plus-que-parfait du subjonctif. Exemples : Je voulais qu'elle fût heureuse (imparfait du subjonctif) — Je souhaitais qu'il fût arrivé (plus-que-parfait du subjonctif).
La concordance des temps doit respecter certaines règles grammaticales selon la relation de temps entre la phrase de base, aussi appelée principale, et la subordonnée : Le verbe de la phrase de base peut être au présent, au passé, au futur ou au conditionnel.
Pour reconnaitre le temps d'une phrase, il est possible d'ajouter un connecteur de temps afin de vérifier s'il correspond au sens de la phrase. Exemple : Dans la phrase : « Tu ne gagneras pas. », il n'y a pas d'indicateur de temps. L'indicateur « hier » situant l'action dans le passé ne convient pas.
L'imparfait peut être employé pour différentes raisons. L'imparfait peut exprimer : Une action répétée : Avant, je prenais le bus à 8 heures, tous les matins. Une succession d'actions : Quand je n'étais pas encore en pension, il y a un an, je me levais, je m'habillais, je déjeunais et je prenais le car tous les matins.
Dimitri est pris à la piscine. → C'est la forme au participe passé qui fonctionne, donc on écrit –é : Dimitri est allé à la piscine. ► La forme « prenait » est à l'imparfait : si « prenait » peut remplacer le verbe en [é] à écrire, alors ce verbe est également un imparfait et il s'écrit avec –ai–.