Subjonctif. Normalement, quand le sujet de l'infinitif est différent de celui du verbe principal, on emploie afin que ou pour que et l'on fait suivre cette locution conjonctive du subjonctif : Soyez à l'heure afin que/pour que nous puissions étudier le dossier.
Après « afin que », « pour que », « jusqu'à ce que », « bien que », « quoique », le verbe est toujours au subjonctif.
La seule différence entre AFIN QUE et POUR QUE est là encore une question de niveau de langue: AFIN QUE est plus formel, plus soutenu que POUR QUE. On l'utilise surtout à l'écrit, notamment dans un langage administratif.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute (est incertaine) ou rejetée. J'espère que tu comprends. Je voudrais que tu comprennes. - subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Le subjonctif se conjugue à quatre temps, deux temps simples (présent et imparfait) et deux temps composés (passé et plus-que-parfait).
APRÈS QUE + indicatif
Normalement, cette locution conjonctive est suivie de l'indicatif. Dans les manuels de grammaire, il est précisé que le verbe d'une proposition introduite par APRÈS QUE doit être à l'indicatif.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
Plutôt (que), en un seul mot = de préférence (à) ; au lieu de. J'irai plutôt à la montagne. Il ferait mieux de profiter de la vie plutôt que de travailler sans arrêt. Plus tôt (que), en deux mots = avant ; plus vite.
L'impératif puise ses formes presque exclusivement dans celles du présent de l'indicatif, et exceptionnellement dans celles du présent du subjonctif.
Le subjonctif présent est un temps qui permet de décrire une action comme incertaine pouvant ou non se réaliser alors que le présent de l'indicatif relate des faits réels. : Il a du retard : c'est une certitude. l'ordre : qu'il parte ! l'indignation : hors de question que je fasse des excuses !
Pour reconnaître un verbe conjugué au conditionnel présent, tu dois mettre le verbe dans une phrase où il y a "si". Ex: Si tu veux venir, il faudrait que tu aies une invitation. Comme tu vois, le verbe conjugué au conditionnel présent est "falloir''. J'espère que ça t'aidera!
Le conditionnel est principalement utilisé pour exprimer une condition, une hypothèse, une formule de politesse ou un souhait. Condition : Si j'avais le temps, je lirais une bibliothèque entière ! Hypothèse : Les pertes s'élèveraient à des milliards d'euros.
Formuler une hypothèse.
Dans une hypothèse, le conditionnel présent peut être employé avec l'imparfait ou avec le plus-que-parfait. 1. Pour formuler une hypothèse dans le présent, on utilise : si + imparfait + conditionnel présent.
Lorsque le participe passé est encadré par deux "que", il est invariable si le premier "que", le pronom relatif (le second est une conjonction), est objet direct du verbe qui vient après le participe. L'air que j'ai entendu que vous chantiez. J'ai entendu quoi? que vous chantiez "que" = l'air.
On dit : Il est vrai qu'il a beaucoup d'argent. Il est vrai qu'il a une grande maison. Pour les explications il faudra que tu attendes la prochaine réponse. Mais il n'est pas vrai que et est-il vrai que est généralemnt suivi du subjonctif.
Je sais que où que est toujours suivi du subjonctif. Où que je sois allée, il n'y avait pas un chat.
Le pléonasme est une figure de style qui consiste à répéter des mots, idées ou expressions de sens identique dans une même phrase ou un énoncé, comme expliqué en détail dans notre article à ce sujet. Le contraire du pléonasme est l'oxymore.
À la différence de avant que, qui implique une notion d'éventualité, après que, marquant que l'on considère le fait comme accompli, introduit une subordonnée dont le verbe doit être mis à l'indicatif. Je rentrerai après que la nuit sera tombée. Il est parti après que nous l'avons tous salué.
10 exceptions : aller, avoir, être, faire, falloir, pleuvoir, pouvoir, savoir, valoir et vouloir.
Les temps verbaux de l'indicatif sont : le présent, le passé composé, l'imparfait, le passé récent, le passé simple, le plus-que-parfait, le passé antérieur, le futur proche, le futur simple et le futur antérieur.