Le scanner abdominal est indiqué en cas de pathologie abdominale infectieuse ou inflammatoire (appendicite, péritonite, maladie de Crohn, rectocolite ulcéro-hémorragique, cirrhose, ascite, cholécystite aiguë).
Le scanner thoraco-abdomino-pelvien (TAP) est recommandé dans de nombreux cas et permet de détecter, entre autres, les anomalies telles que : La lésion traumatique du foie, de la rate, des reins. La lésion traumatique du pancréas (par exemple, abcès, tumeur primaire ou secondaire)
Le scanner abdomino-pelvien est un examen d'imagerie qui consiste à visualiser avec la plus grande précision les structures suivantes : le tube digestif, le foie, la rate, les reins, le pancréas, les vaisseaux, les ganglions…
À quoi sert un scanner? Les tumeurs ayant une densité particulière par rapport aux tissus voisins normaux, le scanner sert à les détecter et à les localiser avec une grande précision.
Que ne peut-on pas voir au scanner ? Le scanner est un outil formidable qui permet d'obtenir des images très fines de l'ensemble de l'organisme. Toutefois, certaines zones, en particulier au niveau cérébral, ne sont pas accessibles au scanner.
Comme son nom l'indique, le scanner abdominal "balaie" la région abdominale de manière à pouvoir visualiser les organes de cette zone : le foie, l'intestin grêle, l'estomac, le pancréas, le côlon, la rate, les reins, etc.
Son principe associe l'injection d'une molécule radioactive qui va « marquer » les cellules actives de l'organisme, notamment les cellules cancéreuses, et l'utilisation d'un scanner.
Des douleurs épigastriques (dans la région de l'estomac) et un amaigrissement progressif sont les signes les plus fréquents. Toutefois, ces symptômes ne sont pas spécifiques à cette maladie. Lorsqu'elle est plus évoluée, la tumeur peut engendrer d'autres signes : des vomissements, une hémorragie et donc une anémie …
Le scanner cérébral, à base de rayons X, est un examen d'imagerie prescrit en cas de maux de têtes, de troubles neurologiques ou en cas d'accident vasculaire cérébral (AVC) par exemple.
L'entéroscanner est l'un des examens les plus performants pour l'étude de la paroi de l'intestin. C'est un scanner avec produit de contraste de l'intestin grêle.
Les principaux examens, en dehors d'une prise de sang qui évaluera le retentissement de la douleur, sont la radiographie, l'échographie et le scanner abdominaux. S'il n'y a pas les signes d'alerte et que la douleur abdominale régresse rapidement, il est possible de sursoir à une visite en urgence.
En conclusion, le scanner n'est pas un examen de dépistage global des polypes, il doit être adapté aux lésions recherchées et certains polypes devront justifier d'autres types d'examen, de type visuel direct (fibroscopie).
Le scanner abdominal nécessite une préparation particulière : le patient ingère un produit radio-opaque la veille et le jour de l'examen (en plus de l'injection du produit iodé qui est souvent nécessaire). Si l'examen est réalisé en urgence, il n'y aura pas de préparation et parfois même pas d'injection.
Le scanner utilise les rayons X. C'est donc un examen irradiant qui ne peut être pratiqué chez une femme enceinte pendant les 6 premiers mois de la grossesse. L'IRM a l'avantage de donner des images dans les trois plans de l'espace et d'étudier la colonne vertébrale lombaire dans son ensemble.
La base de remboursement sécurité sociale (BRSS) de l'acte médical d'une scanographie de l'abdomen et du petit bassin (pelvis) avec injection intraveineuse de produit de contraste (codifiée ZCQH001) est de 50,54 € avec un remboursement sécurité sociale de 35,38 € et un reste à charge de 15,16 €.
En cas de petite urgence traumatique (chute, coup reçu) et uniquement en l'impossibilité de contacter votre médecin, vous pouvez vous adresser au cabinet pour avoir l'avis d'un médecin radiologue et si nécessaire faire les clichés sans ordonnance.
Vous mettrez alors une blouse d'examen et, si une injection de produit de contraste est prévue, le praticien vous posera un cathéter dans une veine du bras pour injecter le produit iodé. Un scanner abdominal dure une quinzaine de minutes durant lesquelles vous serez allongé sur le dos.
La radiologie est une spécialité médicale qui utilise des rayons X ou des ultrasons pour obtenir des images d'une partie du corps ou des organes (radiographie, échographie, scanner, IRM).
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Une alternance entre diarrhée et constipation peut également être observée. La présence de sang dans les selles, quant à elle, est parfois imperceptible. En effet, le sang n'est pas toujours rouge vif, mais peut-être noir ou brun, se confondant avec la couleur des excréments.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Les patients ayant un taux initial de CRP inférieur à 10 mg/l avaient une survie significativement meilleure que les patients ayant un taux initial de CRP supérieur à 10mg/l (p = 0,04) (Figure5).
Plusieurs examens sont nécessaires pour confirmer le diagnostic de cancer du foie et pour évaluer l'extension de la maladie. En présence de symptômes pouvant faire suspecter une atteinte du foie, le médecin va prescrire une échographie, afin de repérer un éventuel nodule, et une analyse de sang.
Le dosage sanguin des marqueurs tumoraux est une technique très sensible pour détecter la présence de tumeurs, même petite. Cet examen permet également de suivre l'évolution de la tumeur au cours du traitement.