Le mot juste : volubile, bavard, prolixe…
Une logorrhée verbale est un terme de psychologie qui désigne un flot de parole incessant. C'est un symptôme fréquemment rencontré en psychiatrie et en neurologie car il est présent dans différentes maladies comme le trouble bipolaire ou l'aphasie de Wernicke.
La logorrhée correspond à une surproduction verbale caractérisée par un flux de paroles rapide, long et diffus. Ce terme médical est souvent utilisé en psychiatrie. La logorrhée est souvent le signe d'un trouble psychiatrique et survient généralement lors d'accès maniaques.
Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Le professeur de sociologie américain Charles Derber a donné un nom à cette légère tendance égocentrique à attirer les conversations à soi : le narcissisme conversationnel. Dans ses travaux, il décortique sans ménagement notre société de plus en plus individualiste.
Levez la main légèrement pour signaler « stop ». Faites-le avec respect. Si la personne ne vous remarque pas, levez la main un peu plus haut. Et enchaînez tout de suite en lui disant : « Écoute, Paul, tu me parles de…, mais moi, ce dont je veux te parler, c'est… »
Souvent, les personnes qui ont une faible estime de soi se replient sur elles-mêmes et repoussent les autres, car elles croient qu'elles ne méritent pas d'avoir des relations constructives.
volubile adj. Qui parle beaucoup, très vite et avec aisance.
[En parlant d'une pers.] Qui est doué d'une intelligence pénétrante et subtile, qui saisit ce qui échappe à la plupart et peut établir des prévisions. Synon. clairvoyant, lucide, pénétrant, sagace; anton.
Une logorrhée verbale est un terme de psychologie qui désigne un flot de parole incessant. C'est un symptôme fréquemment rencontré en psychiatrie et en neurologie car il est présent dans différentes maladies comme le trouble bipolaire ou l'aphasie de Wernicke.
Contrairement aux idées reçues largement répandues, parler tout seul n'a rien d'anormal. Cette habitude peut certes paraître étrange vue de l'extérieur, mais elle est bien loin de cacher un quelconque trouble psychologique.
Garder le silence en revient à s'isoler intérieurement, prendre le temps de la réflexion, et permettre à l'autre soit d'en faire de même soit de s'inquiéter de ce sur quoi vous êtes en train de réfléchir. Il ne doit donc pas accéder à votre ressenti. Ni dans vos expressions, ni dans vos réactions.
1. Trouble du langage caractérisé par un flot de paroles, incoercible et rapide, en particulier au cours de la manie. 2. Verbosité intarissable.
Des recherches récentes montrent que la perception de mauvaises alternatives à la relation augmente la probabilité de rester avec un partenaire indésirable, et que les femmes ayant une faible estime de soi perçoivent moins d'alternatives souhaitables à leurs relations actuelles.
Parce que les personnes investissent beaucoup d'énergie émotionnelle dans ces liens. Nous avons besoin de ce soutien quotidien, car l'affection prend racine, l'amour crée des liens et construit le tissu de la confiance. Cela nous permet de nous sentir en sécurité et validés dans nos relations.
La cause de son comportement se cache peut-être dans une difficulté à assumer ses sentiments amoureux. Vous lui plaisez mais, pour une raison ou pour une autre, il sait que vous ne pourrez jamais être ensemble. Et vouloir quelque chose qu'on ne peut pas avoir est très frustrant.
5- Demander l'opinion à la personne à gauche de celle trop volubile et faire un tour de table dans la même direction de sorte qu'elle parle la dernière. 6- Prétexter un trop grand nombre de réponses des participants et demander aux gens de lever la main avant de parler. Ne pas sélectionner la personne trop causante.
"Tous ceux qui coupent la parole aux autres de façon systématique, agissant tels des envahisseurs, ont un déficit dans la capacité à s'intéresser à autrui, à penser qu'ils peuvent apprendre quelque chose de l'autre ou à être curieux de ce qui se passe dans la tête de l'autre.
La meilleure façon de se calmer est parfois d'aller faire un tour. Si quelqu'un vous agace en particulier et que vous êtes sur le point de vous effondrer, écartez-vous, allez faire un tour, prenez une pause ou bien allez aux toilettes.
Les émotions négatives poussent ainsi à tourner son attention vers soi, ce qui ressort à travers le discours. Une tendance à parler de soi ne suffit bien sûr pas à diagnostiquer une dépression, ni ne marque à coup sûr une vulnérabilité émotionnelle, mais c'est un indice, à recouper avec d'autres.
Si certaines personnes ne parlent que d'elles c'est forcément parce qu'elles sont profondément égocentriques. Impossible d'en placer une. Notre interlocuteur trouve toujours le moyen de reprendre la parole voire de rediriger le sujet de conversation sur lui.
N'entamez pas la conversation comme si vous tentez de convaincre la personne que votre opinion, votre point de vue ou votre façon de faire est la bonne. Essayez plutôt d'apprendre et de tirer des leçons de ce qu'il dit. Ne manipulez pas la conversation afin de parvenir à vos fins et d'écraser l'autre personne.