Quand donner du Candi aux abeilles ? Le candi pour abeilles s'utilise essentiellement en sortie d'hiver alors que le sirop de nourrissement s'utilise en fin de saison vers la fin Août ou début septembre, en règle générale une huitaine à une dizaine de jours après la levée du miel.
Le candi est retiré à la floraison des cerisiers. Entre les deux vérifier que les abeilles n'ont pas tout mangé, si c'est le cas, leur en remettre. La remarque sur l'essaimage. Je n'ai pas de certitude, mais je ne pense pas que le candi stimule vraiment la ponte de la reine et favorise l'essaimage.
Il faut savoir qu'en dessous de 12-13°C, les abeilles ne prennent pas le sirop. Le candi se donnera donc à des températures inférieures à ces dernières. Soit entre Novembre et Mars en Ile-de-France. Si toutefois, vous avez une pause hivernale durant la mauvaise saison (un été indien), il ne faudra pas nourrir au sirop.
Du 15 juillet au 30 août, c'est le moment le plus difficile à traverser pour les abeilles des apiculteurs de loisir car c'est là qu'hélas se prépare leur mortalité hivernale. En effet, le fléchissement des rentrées alimentaires va provoquer une baisse tout comme à l'opposé, un surcroît des réserves.
En mars, pour soutenir et accroître le volume de la colonie, vous pouvez lui apporter jusqu'à un demi-litre de sirop chaud à 40 °C, que vous verserez sur le couvre-cadre nourrisseur. Cela accélère la ponte de la reine.
Absence de nectar et de pollen dans les cadres. Le couvain n'est plus entouré par la couronne pollen-miel. Ils sont « secs » et légers. Les cadres de rive sont vides.
La première visite de l'apiculteur appelée “la visite du printemps”, doit se passer au moment propice : par temps calme et au moins 15°C. A la fin du mois de mars si la température est assez réchauffée, l'apiculteur pourra procéder à la visite générale des ruches.
distribuez un nourrissement solide type candi. Par contre, dans le but de stimuler la ponte de la reine, une petite dose d'un sirop peu concentré simule une miellée. De plus, hors période de rentrée de nectar, les butineuses quit- teront la ruche le jabot chargé de ce sirop en vue d'agglomérer les pelotes de pollen.
Enfin, ne pas oublier que tout ce qui est ajouté aux sucres (comme dans la confiture) se retrouvera en majorité dans l'ampoule rectale de l'abeille. S'il y en a trop, ou trop vite, cela forcera l'abeille à sortir et, par grand froid, à ne pas pouvoir revenir à la ruche.
L'allié idéal : le noisetier. « Ça pousse partout, ça demande peu d'entretien et ça fait des noisettes à la fin de l'été », sourit l'apiculteur. Alternative : un saule, « pour mixer les pollens et offrir un équilibre et une meilleure santé aux abeilles. »
En fin de printemps, lorsque le gel est moins fréquent, il est suggéré de donner aux abeilles à partir de l'entrée de la ruche (nourrisseur Boardman) un sirop de sucre (sucre et eau en parts égales) afin de soutenir la reine dans sa ponte.
Pour la colonie d'abeilles, les activités automnales peuvent commencer bien plus tôt. Le nourrissement automnal de mes ruches commence en août.
Dosez à 60-40, soit 60% de sucre et 40% d'eau. Ajoutez un peu de miel pour donner au mélange une odeur agréable et inciter les abeilles à emmagasiner cette nourriture d'appoint. Il est bon aussi de donner à toutes les colonies un sirop stimulant, dosé à 40 % de sucre et 60% d'eau.
En fonction de ces observations, donnez aux abeilles un complément de provisions sous forme liquide (sirop dosé à 40 % d'eau et 60 % de sucre). Ce sirop est à donner de préférence le soir, vous réduirez ainsi les risques de pillage.
Quand hiverner une ruche ? L'hivernage est une étape clef en apiculture, il sera déterminant pour le développement des colonies au printemps. La mise en hivernage s'effectue en règle générale à la fin du mois de septembre et début du mois d'octobre alors que les températures se rafraichissent.
Lorsqu'on débute, nous conseillons d'inspecter les ruches tous les dix à quinze jours au printemps et en été. En effet, ouvrir la ruche plus d'une fois par semaine est trop intrusif car chaque inspection perturbe l'organisation et l'activité des abeilles.
Nourrissement en début de saison
Dès le 10 mars, si les températures sont positives (5° ou plus), on peut commencer à donner du sirop lourd. Additionner ce sirop avec du vinaigre de cidre. C'est imparable et irrésistible pour les abeilles.
Le sucre : Seul le glucose ou le fructose seraient les mieux adaptés pour les abeilles car ce sont des sucres simples (glucides monosaccharides)d'assimilation directe,mais dans le commerce ont trouve aisément du saccharose pur, issu du sucre de betterave ou de canne.
Prévoyez une cire vierge pour éventuellement agrandir le nid à couvain en intercalant la cire vierge entre le dernier cadre de couvain et un cadre contenant du pollen. Ajoutez aussi une partition pour bien resserrer la colonie. Le maintien de la température est important pour le développement du couvain.
Dix fois plus isolant que le bois, le polyuréthane permet de maintenir les ruches à une température constante. Il améliore ainsi la rentabilité de ces dernières.
Nourrir les abeilles
À l'approche de l'hiver, si la ruche semble mal approvisionnée, compléter le garde-manger avec du miel, un sirop de nourrissement lourd ou du candi. Agir de même au sortir de l'hiver car, à cette période, la colonie a besoin d'environ 10 kg de miel pour se remettre au travail.
Pour cela, les apiculteurs utilisent de préférence un enfumoir, une pipe d'apiculteur ou des bâtonnets fumigènes. Les abeilles réagissent à la fumée en se retranchant dans la ruche où elles ingurgitent du miel ou du nectar. En conséquence, elles se calment et libèrent moins de phéromones d'alerte.
Il est possible d'ouvrir les ruches rapidement seulement à partir de 12°C. Les cadres ne devraient pas être retirés des ruches sous les 16°C. Les substituts de pollen sont habituellement peu utiles au début du printemps.