Quand ses sœurs et frères ont peur de lui. Quand les crises de colère sont trop fréquentes. Quand vous prenez votre enfant avec des pincettes pour éviter de le déranger ou par crainte des conséquences. Vous avez besoin d'aide si vos décisions familiales dépendent de «la façon dont votre enfant réagira».
Si votre enfant, habituellement gai et souriant, change d'attitude et présente régulièrement un ou plusieurs des signes suivants, il est possible qu'il souffre de troubles du comportement : Il a des troubles de conduite (attitude agressive, colérique, anxieuse, provocatrice) Il est hyperactif.
des crises de colère; la présence de cauchemars, des difficultés à s'endormir ou des réveils fréquents; une attitude plus renfermée qu'à l'habitude ou une tendance à l'isolement; un comportement plus agité qu'à l'habitude.
Définir clairement avec l'enfant les comportements souhaités et non souhaités. Établir des règles et limites constantes. Évaluer si les règles et limites sont suivies. Donner des récompenses appropriées en cas de réussite et des conséquences en cas de comportement inapproprié
Les troubles du comportement se divisent généralement en deux catégories : le trouble oppositionnel avec provocation et le trouble des conduites. Ils sont souvent associés à des antécédents familiaux de comportements difficiles, au stress familial et à une mauvaise gestion des émotions et des niveaux d'activité.
Il peut y avoir de multiples raisons à un comportement violent, toutefois on constate que les principales causes s'expliquent souvent pour 3 raisons : l'enfant a un besoin fondamental qui n'est pas satisfait. l'enfant manque d'information. l'enfant est troublé par une émotion forte.
Cette théorie catégorise les types de personnalité, répartis en 4 humeurs principales : le type de personnalité sanguin, le type de personnalité flegmatique, le type de personnalité colérique et le type de personnalité mélancolique.
Le psychiatre : Il est spécialisé dans les troubles psychiques et les maladies mentales. On peut le rencontrer en cas de difficultés psychiques ou psychologiques (mal être, troubles du comportement,…) mais aussi en cas de troubles de développement (troubles des apprentissages, autisme …).
Le « comportement anormal » peut-il se déduire d'une attitude corporelle (mouvement cyclique d'un individu, position statique prolongée d'un individu, vitesse de déplacement importante, éventuellement une orientation du regard non conforme au déplacement, etc.)
Sur le plan émotionnel, il exprime moins de joie au quotidien. Parfois, il peut être plus en recherche d'attention, de contact physique. Il peut aussi régresser dans ses acquis et demander de l'aide pour s'habiller, se laver ou encore faire de nouveau pipi au lit alors que ce n'était pas arrivé depuis longtemps.
Vous êtes considéré en danger notamment dans les cas suivants : Manque de nourriture, d'attention et/ou de soins médicaux. Violence physique (frapper, brûler,...) et/ou psychologique (isoler, intimider, terroriser,...)
Les traitements des troubles du comportement
Certains médicaments peuvent être utiles. Dans tous les cas, un suivi psychologique voire psychiatrique se révèle nécessaire. D'autres techniques comme l'hypnose, les thérapies cognitivo-comportementales (TCC), la naturopathie, la méditation peuvent apporter un soulagement.
Quels sont les trois types de TDAH ? Les trois types de TDAH sont les suivants : hyperactif-impulsif prédominant, inattentif prédominant et combiné.
Les troubles émotionnels [anxieux (anxiété de séparation, anxiété généralisée, phobies spécifiques) ou dépressifs] probables sont plus fréquents chez les filles et les troubles du comportement [trouble oppositionnel probable et TDAH probable] plus fréquents chez les garçons.
L'âge moyen du diagnostic par un spécialiste se situe à 9-10 ans.
Un jeune enfant qui fait preuve de retenue toute la journée, à l'école par exemple, sans ses figures d'attachement, accumule des tensions, du stress, des émotions. Il ose moins se confier, se « lâcher ». Ce comportement a tendance à provoquer une décharge émotionnelle en fin de journée, face aux parents.
Nous distinguons trois facteurs qui influencent le comportement des personnes : Les talents intrinsèques. Les compétences et capacités acquises avec le temps. L'environnement dans lequel se trouve la personne.
Les plus courants sont l'introversion, l'extraversion, l'autonomie, la soumission, la stabilité, l'instabilité, la logique et l'affectif. Ces traits désignent un aspect de la personnalité qui est durable, stable et long à changer.
l'individu colérique a beaucoup d'ambition et d'énergie. Il est souvent un leader et peut dominer d'autres personnes, en particulier celles au tempérament flegmatique. Il peut se mettre facilement en colère ; l'individu mélancolique est souvent perfectionniste et est rarement satisfait de ce qu'il a réalisé.
Les règles doivent être claires et connues. Employez des mots que votre enfant comprend, selon son âge. Formulez la règle de manière positive. Par exemple, dites : « Je veux que tu parles sur un ton calme », plutôt que « Si tu n'arrêtes pas de crier, tu te retires dans ta chambre sans télévision ».
Félicitez souvent votre enfant lorsqu'il le mérite. Montrez-lui votre affection et touchez-le souvent. Les enfants veulent l'attention de leurs parents et ils en ont besoin. Développez de petites routines et rituels, particulièrement à l'heure du coucher et des repas.
Le fait de le féliciter et le complimenter une fois la tâche terminée peut aussi aider votre enfant à changer un comportement : se débarrasser d'un comportement ou en adopter un nouveau. Dans ce cas là, la façon de féliciter l'enfant est importante pour que cela soit efficace : Etre enthousiaste.