Au-delà de six mois, l'insomnie peut prendre des formes variées : difficultés à s'endormir, terreurs nocturnes ou réveils multiples pendant la nuit peuvent être de bonnes raisons de consulter ton pédiatre.
Il faut s'inquiéter devant un bébé qui dort beaucoup si : Malgré une nuit et des siestes de qualité, la durée totale de sommeil excède de 2 à 3 heures la norme pour l'âge. Il existe des accès de sommeil dans des conditions inhabituelles (repas, jeux...). C'est inhabituel pour lui.
Il est possible qu'il soit actuellement dans une période dite de “régression”. Derrière ce mot, se cache un comportement tout naturel dû à des périodes de changements ou de stress. Votre bébé grandit, il apprend à gérer son horloge biologique et découvre le stress et l'angoisse de s'endormir seul.
Instaurez un rituel d'endormissement, avec une comptine propre à ce moment, une peluche dédiée au sommeil, une position d'endormissement dans le lit… Laissez votre bébé s'endormir seul dans son lit et non pas dans celui de ses parents.
Difficulté du bébé à se séparer de ses parents. Conditions d'endormissement (lumière, température, musique, objet rassurant, présence du parent). Excès de liquide pouvant mener à des coliques juste avant l'heure du dodo. La réaction du parent quand bébé a de la difficulté à s'endormir.
Faites dormir votre enfant le plus possible en journée pour commencer. Sans vous soucier de l'endroit où il dort et de la manière dont il s'endort. S'il faut le mettre au sein, le bercer dans les bras, se coucher avec lui, le balader, donnez lui le moyen de s'endormir sans avoir peur des habitudes prises.
Lorsque bébé se réveille après 30 minutes de sieste, c'est qu'il est peut être soit trop fatigué lorsqu'il est couché, ou au contraire que la pression sommeil n'est pas tout à fait assez importante. Le noir complet va aider votre bébé à enchainer ses cycles, ses phases de sommeil lors de sa sieste.
Des problèmes de sommeil – par exemple un bébé qui se réveille dès qu'on le pose et en pleurant – peuvent cacher un problème de digestion : cela peut être le signe qu'il souffre de reflux. Aussi, pensez à bien lui faire faire le rot, surtout si vous lui donnez un biberon.
Non, un enfant ne risque pas de « s'habituer aux bras ». Contrairement aux idées reçues, un enfant ne risque pas de « s'habituer aux bras », c'est à dire de réclamer davantage les bras de l'adulte si celui-ci le prend plus souvent dans les bras.
On peut également mettre en place un rituel de sommeil efficace, toujours au même moment, pour faciliter l'endormissement. Cela peut passer par un bain apaisant avant de le coucher, lui faire des câlins, un massage, lui chanter une berceuse ou lire une histoire.
On recommande toutefois de ne pas laisser pleurer l'enfant plus de 15 à 30 minutes en continu. Dans cette étude, les bébés, âgés de 4 à 10 mois, devaient donc apprendre à s'endormir selon cette méthode.
Quand faut-il intervenir ? Dans les premiers mois de la vie, les pleurs d'un enfant doivent être soulagés le plus rapidement possible, car ils témoignent généralement d'un état d'insécurité émotionnelle. À cet âge-là, les enfants n'utilisent pas les pleurs comme un moyen de pression sur leurs parents.
Ces périodes correspondent à des périodes d'activité intense du bébé mais ne veulent pas dire mal-être ni douleur… il faut laisser l'enfant crier tout son soûl en lui proposant parfois de le bercer, de le mettre au sein mais s'il ne veut pas de votre aide… vous ne pouvez rien pour lui, il vous faut rester calme… et ...
Les bébés somnolents ou apathiques ont peu ou aucune énergie. Ils dorment plus longtemps qu'à l'habitude et pourraient être difficiles à réveiller pour les tétées. Quand ils sont réveillés, ils sont somnolents ou ont l'air épuisés, et ne portent pas attention aux stimuli visuels ou sonores.
Qu'appelle-t-on les régressions du sommeil ? Il existe plusieurs étapes qu'on appelle des régressions du sommeil. Ce sont des périodes de désorganisation et de dégradation assez importante du sommeil qui se manifestent par un changement de rythme pour l'enfant.
D'après une étude du département de psychologie de l'université de Notre-Dame aux États-Unis, laisser un bébé pleurer sans chercher à le consoler aurait des conséquences négatives pour sa santé et pourrait entraîner des problèmes d'anxiété à l'âge adulte.
Il reconnaît l'odeur, le lait, la voix, la langue de sa mère et développe des moyens d'action efficaces pour agir sur son monde afin de le transformer selon ses besoins.
L'enfant doit être le moins surpris possible. Évitez le plus possible les moments pendant lesquels vous avez bébé dans les bras et faites quelque chose d'autre en même temps. Il faut que vous lui fassiez perdre cette habitude et que vous diminuiez les minutes où vous le portez.
Si vous voulez que votre bébé fasse ses nuits sans pleurer, il doit apprendre à se rendormir seul. Pour y parvenir, mettez-le au lit avant qu'il ne soit complètement endormi. Ne le laissez pas devenir dépendant d'un rituel de bercement ou de lait pour s'endormir. S'il pleure, c'est à vous de décider.
À partir de 8 semaines (et pour une durée indéfinie), il sera recommandé de mettre en place la pénombre pour la sieste, particulièrement si bébé est curieux et commence à être stimulé par le moindre rayon de lumière. La nuit, on opte pour le noir total.
Oui, vous pourrez quand même tenter de le poser dans son lit après l'avoir endormi. Cependant, je vous conseille d'attendre un endormissement profond, c'est-à-dire au moins vingt minutes, avant de le faire.
L'enfant est souvent agité avant de dormir durant les trois premiers mois. Cette situation peut s'expliquer par le fait qu'il est encore en phase d'apprentissage du sommeil. En effet, durant cette période, les bébés s'adaptent progressivement au rythme de veille-sommeil. Ainsi, cette situation est normale.
Un bébé doit se sentir en sécurité. Il peut donc avoir besoin de la présence d'un de ses parents pour pouvoir s'endormir. Parfois, un bébé âgé de 1 mois ne veut pas dormir dans son lit. C'est ce qu'on appelle l'« association sommeil-dépendance » : votre enfant ne peut s'endormir que lorsqu'il se sent en sécurité.