Si votre patron vous parle mal, il est possible que vous ayez envie de lui répondre, mais attention à ne pas en faire trop. Si vous l'insultez ou le dénigrez publiquement, cela pourrait avoir des conséquences néfastes sur votre carrière.
Par principe, même au travail, les salariés bénéficient de la liberté d'expression. En effet, la liberté d'expression est une liberté qualifiée de fondamentale, c'est-à-dire qu'elle est l'un des piliers de notre démocratie. À ce titre, elle est garantie à tous les citoyens et est protégée (1).
Envisagez de parler directement à la personne concernée, en privé de préférence, pour exprimer vos ressentis de manière respectueuse. Aussi, la capacité d'écoute active est importante car elle peut aider à résoudre les malentendus. Si le problème persiste, n'hésitez pas à le faire remonter à la DRH.
En entreprise, l'insubordination est définie comme le non-respect ou le refus d'un salarié de se soumettre à l'autorité de son supérieur hiérarchique. Ainsi, lorsque le salarié refuse d'exécuter des décisions qui sont légitimement liées au pouvoir de l'employeur, ceci constitue un acte d'insubordination.
Utilisez un ton de voix calme et confiant. Ne soyez pas condescendant ou arrogant, même si l'autre personne a un mauvais comportement. Ayez une présence physique confiante : n'intimidez pas, n'abandonnez pas et ne vous arc-boutez pas.
Si vous devez exprimer un grief à un supérieur, réfléchissez bien à la meilleure façon d'aborder la situation. Avant de partager votre déception à votre patron, évaluez la situation et identifiez la cause de vos frustrations. Identifiez si le problème est un facteur qu'il est capable ou susceptible de changer.
Arriver en retard, s'absenter régulièrement, prendre trop de pauses… voilà des comportements à bannir en milieu de travail.Et ce n'est pas simplement parce qu'ils ont pour conséquence de donner une image de soi négative.
La politesse est inconditionnelle. Ainsi, dans un contexte professionnel où l'image est importante, il n'est évidemment pas possible de refuser de saluer. Sauf dans quelques situations très exceptionnelles, refuser de saluer peut vous valoir une sanction disciplinaire.
Une mise à l'écart et un isolement injustifié d'un collaborateur ; La demande de tâches irréalisables vouées à l'échec, tant dans les délais que sur les objectifs à atteindre ; Les rumeurs émises ici et là ; Des punitions plutôt infantilisantes, récurrentes, injustifiées, humiliantes.
Le conseil de prud'hommes (CPH) règle les litiges individuels entre employeur et salarié survenus à l'occasion de tout contrat de travail.
Parmi les droits des salariés au travail, on peut citer le droit de travailler dans de bonnes conditions de travail, de ne subir aucune discrimination, ou encore le droit au respect de la vie privée.
Le salarié doit prendre soin de sa santé, veiller à sa sécurité et celles des autres personnes présentes sur le lieu de travail. Il doit respecter les instructions et consignes fixées par son employeur.
Pour imposer le respect, il faut également oser dire oui et non, exprimer posément notre pensée, notre désaccord, partir quand une situation cesse de nous convenir, ne pas laisser autrui envahir notre bulle, notre espace vital. En fait, pour se faire respecter, il suffit en fait d'être ce que l'on est.
[En parlant d'une pers.; p. méton. de ses attitudes, de ses affects] Qui n'est pas respectueux, qui manque de respect. Synon. impertinent, impoli, irrévérencieux.
Les incivilités sont un manque de savoir-vivre qui reflètent un manquement à ses propres valeurs humaines (désir de respect, considération, appréciation, empathie ...) et à ses propres valeurs morales (ne pas faire à l'autre ce qu'on ne veut pas pour soi-même). Autres définitions: Manque de courtoisie, de politesse.
Le sentiment de manquer d'énergie, d'être tout le temps épuisé ; Des troubles du sommeil ; Un manque d'appétit et des variations de poids anormales ; Des manifestations physiques comme des maux de tête ou de dos.
"Il faut évoquer les choses objectivement, en utilisant d'abord des formules impersonnelles, puis en parlant de ses propres émotions", conseille le spécialiste. Par exemple : "Je me sens stressé·e ces derniers temps", au lieu d'incriminer directement son interlocuteur : "Votre façon de fonctionner me stress".