Pour dire l'obligation impersonnelle, l'espagnol emploie : La tournure hay que + infinitif que l'on traduit par "il faut + infinitif". La tournure hace falta + infinitif que l'on traduit par "il faut + infinitif".
Hace falta que + verbe au subjonctif ex. : hace falta que comprendáis para memorizar bien = il faut que vous compreniez/vous devez comprendre/pour bien ... hace falta + que + subjonctif.
deber = il convient de faire quelque chose (devoir) sans que l'on soit obligé de le faire. tener que = on est obligé de faire quelque chose (devoir), il n'y a pas d'autre alternative.
Tener que + infinitif = traduit une obligation qui répond à une nécessité, un devoir impérieux. Deber + infinitif = se rapproche de « tener que » mais possède une valeur morale. Haber de + infinitif = traduit une obligation qui provient d'un engagement, un accord passé, une convention.
On exprime l'obligation avec : être obligé de, il faut, devoir, avoir l'obligation de, être dans l'obligation de, être tenu de, … Vous êtes obligé de passer par cette route. Vous ne pouvez pas faire autrement.
La classification des obligations selon leur objet. Obligations de faire, de ne pas faire et de donner. Le Code civil distingue les obligations de faire, les obligations de ne pas faire et les obligations de donner (art.
« Hay que » est la forme la plus répandue pour exprimer l'obligation personnelle. Elle exprime une nécessité ou une obligation de façon plus générale, sans se référer à un sujet en particulier. Il est suivi de l'infinitif. Hay que trabajar para ganar dinero = Il faut travailler pour gagner de l'argent.
L'obligation personnelle se traduit par tener que + infinitif, haber de + infinitif, ou deber Ø + infinitif.
Hay est la forme impersonnelle de haber et peut se conjuguer à tous les temps. Ex. : Hay demasiados coches. Il y a trop de voitures. Quand l'objet est déterminé, on peut alors remplacer hay par estar.
Le subjonctif s'emploie davantage en espagnol qu'en français. On emploie le subjonctif après les verbes exprimant la volonté, le souhait, la demande et le conseil : => Querer que / desear que + subjonctif: Quiero que vengas. ( Je veux que tu viennes).
sino que (mais) Pero exprime une restriction sans opposition entre la première et la deuxième partie de la phrase. Ex : Estoy cansado pero iré a la fiesta. No ... sino s'emploie uniquement lorsqu'une négation est exprimée dans la première partie de la phrase (introduite par no).
_ On écrit ou quand on peut le remplacer par ou bien. exemple : Posez-le sur la table ou la chaise = posez-le sur la table ou bien sur la chaise. _ On écrit où quand il indique le lieu ou le temps. exemple : Où allez-vous ?
L'adverbe et pronom relatif où s'écrit avec un u accent grave, ce qui le distingue de la conjonction ou. Où peut marquer le lieu aussi bien que le temps : c'est le café où nous avions rendez-vous ; par où êtes-vous entré ? ; le jour où nous l'avons rencontré ; c'est l'année où j'étais aux États-Unis.
1-(No)hay que+infinitivo=il(ne)faut(pas)+infinitif(en général) 2-Tener(conjugué à tous les temps et personnes,sauf l'impératif)+ que + ...
Volver a signifie "recommencer à", "faire à nouveau quelque chose". Vuelvo a hacer deporte. Je recommence à faire du sport. Vuelves a bailar.
Haber de + infinitif : mettons-nous d'accord…
Lorsque vous entendez haber de, vous pouvez le traduire par « devoir » également. Par contre, il ne s'agit ni d'une obligation nécessaire (tener que), ni d'une obligation morale (deber), mais plutôt d'une obligation par accord ou convention.
1) On peut employer l'impératif et ajouter por favor (s'il vous plait): Tráigame un vaso de agua, por favor. 2) Pour plus de politesse, on peut employer le verbe querer (vouloir). ¿Quiere traerme un vaso de agua?
Comme notre « merci », « gracias » s'utilise partout, tout le temps, dans tous les pays hispanophones, pour exprimer sa reconnaissance à quelqu'un pour un geste accompli ou un service rendu. Si le cadre est informel, un « gracias » simplement suivi d'un prénom fera très bien l'affaire.
En espagnol, tout comme en français, il existe différentes façons de se saluer. La plus connue est certainement la formule “hola”, qui pourrait se traduire par “salut” dans notre langue, mais il en existe d'autres !
L'indicatif, le conditionnel, l'impératif et le subjonctif sont des modes personnels, c'est-à-dire qu'ils admettent la distinction des personnes grammaticales (je, tu, les hommes...). L'infinitif, le participe et le gérondif sont des modes impersonnels qui n'admettent pas la distinction des personnes grammaticales.
En français sept modes verbaux sont employés : - quatre modes personnels, qui se conjuguent : indicatif, conditionnel, subjonctif et impératif. - trois modes impersonnels, qui ne se conjuguent pas : infinitif, participe et gérondif.