Si vous êtes le premier arrivé, la première chose à faire en cas d'accident de la route : vous arrêter. Ne pilez pas. Cela risquerait de créer un suraccident, si vous êtes suivi. Arrêtez-vous sur le bas-côté de la route à 150 mètres de l'accident pour faciliter l'accès aux secours et allumez les feux de détresse.
Dans un premier temps, il faut donc éloigner la cause du danger (objets tranchants ou chauds, couper le courant, …). Si la personne peut parler, demande-lui comment elle se sent, où elle a mal, cela t'aidera à donner les bonnes indications aux secours.
Si vous êtes témoin d'un accident impliquant des personnes en péril, vous êtes dans l'obligation légale d'intervenir (sauf si l'alerte a déjà été donnée). En effet, la non-assistance à personne en danger est un délit.
Poser des questions et donner des ordres simples (ouvrir les yeux, lui demander de serrer votre main, …) est le premier geste de premiers secours permettant d'évaluer la conscience de la victime. Si la victime ne répond pas à vos demandes, elle a très certainement perdu connaissance et se trouve en état d'inconscience.
Lorsqu'il faut agir en situation d'urgence, contacter directement le bon numéro vous fera gagner du temps : Numéro d'appel d'urgence européen : 112. Contactez ce numéro si vous êtes victime ou témoin d'un accident dans l'un des pays de l'Union Européenne. SAMU : 15.
Annoncer l'état d'urgence. Donner l'alerte. Évacuer la zone de danger.
En cas d'accident corporel de la circulation, la police se déplace obligatoirement et la victime ou les témoins devront la contacter rapidement. Les services de police ou de gendarmerie réaliseront alors des contrôles d'alcoolémie et des dépistages de stupéfiants sur les personnes impliquées dans l'accident.
Examine la victime. Alerte les secours. Assure la sécurité individuelle et collective.
Questions pour vos témoins
Faites en sorte qu'ils puissent facilement dire ce qu'ils savent. Pensez à rédiger vos questions en ordre chronologique, ou dans l'ordre où les choses se sont produites. Ainsi, vos témoins pourront dire les faits comme s'ils racontaient une histoire.
Les magistrats, les jurés ou la partie civile ne peuvent être considérés comme témoins.
La convocation est adressée par lettre recommandée. La convocation indique au témoin assisté qu'il a le droit de garder le silence et de se faire assister un avocat. Le nom de l'avocat choisi ou la demande de désignation d'un avocat d'office doit être communiqué au greffier du juge d'instruction.
Il faut pour cela examiner la motricité musculaire (en demandant à la victime de bouger les doigts, les orteils) et la sensibilité cutanée ( en pinçant légèrement la face dorsale de la main ou du pied de la victime qui doit signaler si elle perçoit ce toucher).
- Couvrir la victime, lui parler, la réconforter. - Demander aux autres passants d'aider. - Ne donner ni à manger ni à boire à un blessé. - Si la victime porte un casque, le lui laisser.
Quelles sont les trois informations à transmettre aux services de secours ? Réponse : Le numéro de téléphone à partir duquel l'appel est émis, la nature et la localisation la plus précise du problème.
Réponse : Pour évaluer l'état de conscience d'une victime, il faut : - Lui poser des questions simples ("comment ça va ?", "vous m'entendez ?") ; - Lui secouer doucement les épaules ; - Lui prendre la main en lui demandant d'exécuter un geste simple ("serrez-moi la main").
Il s'attache à prévenir l'urgence, par des activités de sensibilisation et de formation de la population ou par des campagnes de vaccination. Il se prépare à faire face à l'urgence ou à mobiliser autrui pour accomplir avec lui le geste humanitaire.
Le SST doit être en capacité de : Analyser la situation et repérer, sans s'exposer lui-même, les dangers persistants qui menacent la victime et/ou son environnement. Prendre la bonne décision, à savoir supprimer le danger, l'isoler ou, en dernier recours, déplacer la victime, toujours sans s'exposer lui-même.
Les secouristes, volontaires ou désignés par l'employeur, appartiennent au personnel. Ils sont formés pour porter secours à tout moment, sur le lieu de travail, à toute victime d'un accident du travail ou d'un malaise, dans l'attente de l'arrivée des secours spécialisés (D.
Familiarisez-vous avec le montage du triangle chez vous afin de ne pas perdre de temps en situation d'urgence. Le conducteur devra le placer sur la chaussée, dès sa sortie véhicule, à une distance de 30 mètres au moins en amont de celui-ci ou de l'obstacle à signaler.
3) La victime d'un accident de la route doit se rendre à l'expertise médicale avec son avocat et son médecin-conseil. En pratique donc, dès réception de la convocation à l'expertise médicale, il est impératif de contacter un avocat de victimes pour ne pas être seul lors de cette étape fondamentale.
Les pompiers interviennent généralement avec une ambulance lors des accidents de la route pour administrer les premiers soins et assurer le transfert des victimes vers l'établissement de santé le plus proche.