Fréquents aussi bien chez l'homme que chez la femme, les cancers colorectaux sont en partie évitables car des facteurs de risque modifiables ont été identifiés : l'alcool, le surpoids, l'obésité, le tabac, l'alimentation, la sédentarité.
Pour la plupart des gens, le dépistage du cancer du côlon devrait commencer à 50 ans. Si une coloscopie ne montre pas la présence d'adénomes ou de cancer et que vous ne présentez pas de facteurs de risque, le prochain test ne devrait pas avoir lieu avant dix ans.
Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles. Les douleurs abdominales peuvent être plus ou moins intenses, et très localisées ou, à l'inverse, diffuses.
Les cancers colorectaux restent longtemps discrets, mais ils entraînent l'apparition progressive de symptômes digestifs et abdominaux s'ils ne sont pas détectés. Comme pour tous les cancers, un diagnostic précoce est gage d'un meilleur pronostic.
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Certains types de cancer peuvent entraîner un gain de poids. Le cancer de l'ovaire et le cancer colorectal, par exemple, peuvent causer l'accumulation de liquide dans les jambes ou l'abdomen. Ce type d'œdème porte le nom d'ascite.
Une diarrhée
Même s'il ne s'agit pas d'un cancer du pancréas, ce symptôme peut être lié à une pathologie grave. Une diarrhée est "persistante" à partir de six selles molles par jour pendant plus de deux jours. Si une diarrhée commence à perturber vos activités quotidiennes, consultez votre médecin traitant.
La survie nette après 5 ans pour le cancer de l'intestin grêle est de 54 %, ce qui signifie qu'environ 54 % des personnes ayant reçu un diagnostic de cancer de l'intestin grêle survivront au moins 5 ans.
L'appétit est très fréquemment affecté suite au diagnostic du cancer et à ses traitements. Identifier les raisons permet de trouver des solutions pour conserver une alimentation équilibrée. La maladie et ses traitements peuvent provoquer une diminution voire une perte de l'appétit.
En cas de cancer, il peut y avoir une augmentation des dépenses, et une diminution des apports énergétiques, pouvant entraîner une perte de poids.
Des douleurs épigastriques (dans la région de l'estomac) et un amaigrissement progressif sont les signes les plus fréquents. Toutefois, ces symptômes ne sont pas spécifiques à cette maladie. Lorsqu'elle est plus évoluée, la tumeur peut engendrer d'autres signes : des vomissements, une hémorragie et donc une anémie …
Les symptômes pouvant révéler un cancer de l'estomac sont généralement tardifs et non spécifiques : douleurs à l'estomac, perte d'appétit, nausées, vomissements, fatigue, perte de poids, anémie. Les hémorragies digestives ne sont pas rares par saignement de la tumeur.
Les patients ayant un taux initial de CRP inférieur à 10 mg/l avaient une survie significativement meilleure que les patients ayant un taux initial de CRP supérieur à 10mg/l (p = 0,04) (Figure5).
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Des selles étroites ce qui pourrait signaler la présence d'un obstacle qui coince les excréments. Gaz et ballonnements : il se peut qu'une tumeur obstrue le passage des selles qui retiennent de l'air et engendrent des gaz et une sensation de ballonnement.
La constipation se caractérise par une augmentation du temps du transit intestinal. Les selles sont dures et difficiles à évacuer. À l'inverse la diarrhée se distingue par des selles fines, molles et une diminution du temps du transit et d'un besoin fréquent et immédiat de se rendre aux toilettes.
Globalement pour tous les cas ce cancer du côlon-rectum, la survie relative à 5 ans est de 57 %. Le pronostic est étroitement lié au stade auquel le cancer est diagnostiqué. Lorsque la tumeur est superficielle (stade 1), la survie à cinq ans est de l'ordre de 90 %, tandis qu'elle est de 5 % en cas de métastase.
Le cancer colorectal (ou cancers du côlon et du rectum) est un cancer du gros intestin qui peut être guéri s'il est détecté précocement.
Un seul carré de chocolat noir contient deux fois plus de polyphénols qu'un verre de vin rouge et autant qu'une tasse de thé vert. En cela, il contribue à freiner le développement des cellules cancéreuses et à lutter contre le stress oxydatif.