La confiance en soi est l'un des meilleurs moyens de surmonter la peur de l'échec en affaires. Il faut aussi se dire que l'échec n'est qu'un état temporaire, quelque chose d'inévitable qui se (re) produira sûrement au fil du temps, après lequel il faut rebondir et repartir à la conquête du but ultime.
Un grave échec passé, une image de soi biaisée et dégradée ou encore un traumatisme, peuvent être à l'origine de la peur de l'échec. Cette dernière entraîne alors de nouveaux troubles. La plupart du temps, la crainte est l'expression de nombreuses névroses qui s'imbriquent de manière complexe.
On appelle cela l'atychiphobie, ou la « peur de l'échec ».
La peur de réussir s'explique par un sentiment d'imposture, la croyance de ne pas mériter le succès. La personne est intimement persuadée que les autres vont la juger négativement si elle réussit, l'accuser d'avoir eu de la chance, de ne pas être à la hauteur.
Ces causes peuvent être :
Des objectifs imposés par des tiers ; La peur de l'échec, du changement, de sortir de sa zone de confort ; Des conflits internes ; La peur de ne pas être à la hauteur des attentes des autres.
Expression émotionnelle et besoins
Une autre lecture est possible: derrière l'émotion se cache l'expression d'un besoin. La peur exprime par exemple un besoin de sécurité, la colère un besoin de respect et de considération, la tristesse un besoin de réconfort et la joie un besoin de partage.
se donner des objectifs limités et réalistes de manière à augmenter les chances de réussite. essayer pour voir si on fait des erreurs sans pour autant les considérer comme des échecs selon la maxime soit je réussis, soit j'apprends.
Rappelez-lui que nous connaissons tous des échecs.
Vous pourriez dire quelque chose comme « tout le monde a des mauvaises notes. Dans notre classe, cela est déjà arrivé à chacun d'entre nous. Nous nous retrouvons tous tôt ou tard dans cette situation et tu peux toi aussi la surmonter ! »
La peur de réussir se caractérise très souvent en réalité par la procrastination au moment du lancement d'un projet, de sa concrétisation ou lorsque vous êtes proche de vos objectifs. Bizarrement, vous vous apercevez qu'il y a toujours un frein à lancer votre projet ou encore à finaliser vos objectifs.
Échouer c'est prendre le temps de comprendre nos potentielles erreurs, de voir ce qui s'est mal passé pour faire mieux ensuite. C'est également se remettre en question et mieux comprendre les “échecs” et besoins des autres.
Dans un monde en perpétuel changement, où l'épanouissement personnel est devenu le nouveau graal, chacun aspire à se construire une vie heureuse, tant sur le plan personnel que professionnel. Or, ce chemin est souvent semé d'embûches. Tout le monde connaît des échecs dans sa vie.
Du point de vue neurologique, la peur correspond à une activation de l'amygdale (système régulant nos actions face à la peur, formé de noyaux au niveau des lobes temporaux) qui induit un sentiment de danger imminent. Elle peut entraîner une inhibition de la pensée, et prépare l'individu à fuir ou se défendre.
La meilleure façon de se déconnecter d'une peur est de se couper des pensées qui la ravive en permanence. Alors comment faire : Ressentir la peur au niveau physique, dans tout son corps, l'amplifier, la laisser se répandre sans penser à l'événement déclencheur.
Pour sortir d'une névrose d'échec, ce que l'on nomme le dialogue thérapeutique est d'une redoutable efficacité. Il s'agit d'abord d'un dialogue, bien sûr. Une conversation libre entre deux locuteurs, le patient et son analyste, lequel dialogue alterne des échanges, des monologues et d'indispensables silences.
Les conséquences d'une telle dévalorisation sont nettes au niveau affectif : cela provoque des sentiments de menace et d'insécurité. L'échec est également source de comportements significatifs. Il favorise les comportements de tricherie, ou antisocial.
Il ne faut pas avoir peur d'échouer, c'est là la clé de cette spirale. Pour éviter l'échec, il faut arrêter d'écouter cette petite voix intérieure qui vous répétera sans cesse : «je vais échouer, je vais échouer, je vais échouer, je vais échouer…», vous finirez par le croire et l'appliquer.
L'anxiété d'anticipation peut se développer à partir d'une imagination hyperactive ou de réponses conditionnées aux souvenirs. Elle peut être motivée par un trait appelé sensibilité à l'anxiété - la peur des manifestations de l'esprit et du corps de l'excitation anxieuse.
Une angoisse profonde peut aussi être consécutive à un problème de santé (hyperthyroïdie, troubles cardiaques, cancer) et peut déclencher un stress chronique. NOTRE LABORATOIRE LAVILAB A AIDE DES MILLIERS DE PERSONNES QUI STRESSAIENT EN PERMANENCE.