Un excès de sucres simples favorise l'inflammation chronique comme les biscuits industriels, le sucre de table, les pâtisseries, les bonbons, les sodas…. Ils ont des index glycémiques élevés et peuvent provoquer des pics hyper glycémiques qui favorisent l'état inflammatoire.
Une CRP légèrement supérieure à la normale peut être le signe d'une infection virale bénigne ou de la variation d'un paramètre physiologique comme l'âge, le poids ou une grossesse. Si vous avez une CRP élevée, c'est dans la plupart des cas le signe d'une inflammation aiguë.
Alimentation saine
Ils sont riches en antioxydants et en fibres, ce qui peut aider à réduire l'inflammation. Privilégiez les aliments riches en acides gras oméga-3, comme les poissons gras (saumon, maquereau, sardine), les noix et les graines. Les oméga-3 peuvent avoir un effet anti-inflammatoire dans le corps.
Les fruits rouges (framboises, myrtilles, fraises, groseilles…) sont particulièrement intéressants pour combattre l'inflammation grâce à leur forte teneur en anthocyanes, des pigments à l'action anti-inflammatoire.
Une revue systématique de 2019 regroupant 16 études randomisées menées auprès de personnes en santé et de personnes en excès de poids ou obèses qui étaient atteintes de syndrome métabolique ou de diabète de type 2 a révélé que la consommation de lait ou de produits laitiers n'avait pas d'effet pro-inflammatoire.
Autres aliments favoris à intégrer à un petit-déjeuner anti-inflammatoire : le soja (sous forme de yaourt par exemple), les amandes, les noix de pécan, les graines de chia, le thé vert, le chocolat noir ou encore le miel.
Cet examen sanguin entrant dans le cadre d'un bilan infectieux permet d'identifier un taux de protéine C réactive trop élevé et donc un syndrome inflammatoire. La prise de sang ne nécessite pas d'être à jeun. Si le taux de crp dépasse les 10 mg / L de sang, le médecin va prescrire des examens complémentaires.
Le taux de CRP est considéré comme « normal » sous le seuil de 6mg/L. Entre 6 et 10 mg/L : de légères augmentations sont parfois visibles en cas de diabète, tabagisme, obésité, femme enceinte… Entre 50 et 200 mg/L : cela révèle le plus souvent une infection bactérienne ou une inflammation sévère .
Les feuilles d'ortie sont utiliser depuis longtemps pour leur effet anti-inflammatoire. Cette plante est présente dans de nombreuses régions d'Europe. Elle contient une substance anti-inflammatoire qui peut modérer l'action des cytokines dans la réaction inflammatoire.
Des changements modérés de la protéine C réactive apparaissent dans l'organisme après un excès, un accouchement et un coup de chaleur. Cependant, de petits changements se produisent après un stress psychologique et dans plusieurs maladies psychiatriques.
"On observe une élévation faible de la CRP dans les cas d'infections virales, comme un rhume.
Enfin, nous vous proposons un extrait d'une réponse faite à une question posée sur le forum de la Ligue contre le cancer : Bonjour, Il est vrai qu'un cancer, notamment colorectal, s'accompagne souvent d'une élévation de la CRP.
Les aliments végétaux et les produits laitiers sont associés à une réduction de l'inflammation alors que la viande rouge et les œufs sont plutôt à tendance pro-inflammatoire. La nature des nutriments contenus dans ces aliments, mais aussi l'effet matrice expliquent ces différences.
Les aliments transformés et riches en gras saturés peuvent contribuer à l'inflammation. Les aliments à éviter dans cette famille comprennent les aliments frits, les viandes transformées et les produits laitiers riches en matières grasses.
Conseil : Optez plutôt pour du fromage de chèvre ou de brebis.
Il n'existe donc aucun fruit à éviter. Le fruit fait partie de l'équilibre alimentaire. Certains sont plus sucrés que d'autres en termes de goût mais cela ne signifie pas que leur index glycémique est élevé.
En pratique, il semble que le stress aigu accélère la résolution des infections et la guérison des plaies (15). En situation de stress aigu, la réaction inflammatoire qui survient n'est pas exactement la même que la réaction inflammatoire qui se met en place lors d'une infection ou d'une blessure.
"Lorsqu'une infection bactérienne est suffisamment importante elle se signale toujours par de la fièvre plus ou moins élevée et entraîne des douleurs et autres symptômes qui dépendent de l'organe en cause : il peut s'agir de douleur pharyngée, de toux, de gêne respiratoire, de douleurs abdominales, diarrhée ou ...
Les cytokines pro-inflammatoires ainsi produites peuvent passer dans le sang et (4) atteindre le cerveau, où elles déclenchent neuro-inflammation et fatigue.