Pylori. Une alimentation riche en aliments de source végétale non transformés (fruits, légumes, grains entiers, noix, graines et légumineuses) est associée à une diminution du risque de H.
Chez l'homme, une étude a montré que les personnes présentant un taux élevé de vitamine C dans leur organisme étaient moins sujettes à la contamination par la bactérie. La consommation d'aliments riches en vitamine C (poivrons, kiwi, fruits rouges, etc.) pourrait ainsi assurer une protection contre cette bactérie.
Le traitement repose sur la prise de plusieurs antibiotiques et d'un médicament qui réduit l'acidité de l'estomac (appelé inhibiteur de la pompe à protons ou IPP) et dure 10 jours ou 14 jours selon les protocoles. Il permet d'éliminer l'infection dans 80 à 90 % des cas.
Une alimentation riche en sodium, grains raffinés, viandes rouges, viandes transformées, sucres ajoutés et aliments séchés, marinés ou fumés est associée à une augmentation du risque de H. pylori. Une consommation excessive d'alcool peut aussi augmenter le risque de cette infection.
Certaines souches utilisées dans le cadre d'études cliniques ont montré une efficacité contre Helicobacter pylori, notamment Lactobacillus Reuteri. Cette souche probiotique contribue à réduire la charge bactérienne dans l'estomac en favorisant l'élimination d'H. pylori au cours de la digestion.
Celui-ci puise alors dans les ressources de l'organisme pour lutter contre l'infection et tenter de maintenir la population de Helicobacter pylori au seuil le plus bas. Il est donc possible de ressentir une fatigue inhabituelle, pouvant devenir fatigue chronique, accompagnée d'éventuels épisodes de somnolence.
La majorité des personnes atteintes d'une infection à H. pylori ne présentent pas de symptômes ou de problèmes de santé liés à la bactérie. Certaines personnes dont l'infection est chronique éprouvent des symptômes, comme une douleur à l'estomac, des nausées ou des vomissements.
Les produits laitiers
Contrairement aux idées reçues, certains produits laitiers n'empêchent pas une bonne digestion et permettent alors d'éviter les brûlures d'estomac. Les yaourts et les fromages à pâte cuite (gruyère, emmental, cantal, …) sont généralement bien tolérés.
- Le riz nature est une bonne solution pour plâtrer l'estomac quand on a trop abusé. Les diététiciens sont unanimes, manger du riz reviendrait à manger moins de graisses saturées et moins de sucre. - De la menthe poivrée à boire en infusion est aussi recommandée pour contrer les maux d'estomac.
Le miel de Manuka, un puissant cicatrisant
Et d'ajouter : "Il permet également d'agir contre la bactérie Helicobacter pylori à l'origine des ulcères de l'estomac et d'empêcher le développement de staphylocoques dorés".
Helicobacter pylori est une bactérie, il faut donc la traiter avec une association d'antibiotiques,accompagnée d'un médicament pour lutter contre l'acidité gastrique pendant toute la durée du traitement (4). On effectue par la suite un test de contrôle pour vérifier que la bactérie a bien disparu de l'estomac.
H. pylori se propage par de la nourriture qui n'a pas été lavée ou cuite correctement. Il est également possible d'être contaminé en buvant de l'eau provenant d'une source souillée. La bactérie peut se transmettre par contact direct avec la salive ou les selles d'une personne contaminée.
Helicobacter pylori est-il dangereux pour la santé ? Oui, même si dans une grande majorité de cas, l'infection est silencieuse et n'entraîne pas de complication. En effet, Helicobacter pylori peut être la cause de maladies de l'estomac qui peuvent se révéler plusieurs année après l'infestation.
14 gouttes de tea tree (Melaleuca alternifolia), 10 gouttes de thym à feuilles de sarriette (Thymus satureioides), 4 gouttes de laurier vrai (Laurus nobilis), 12 gouttes de romarin officinal à 1,8 cinéole (Rosmarinus officinalis).
Les aliments riches en oméga-3 (thon, hareng, saumon, sardines, maquereaux, graines et/ou huiles de lin, de chanvre, graines de chia, noix, etc.), et en vitamine A (abats, melon, carotte, poivron, citrouille, betterave, etc.) favorisent également la guérison d'une gastrite.
La consommation de pâtes, de pain, de pizza provoque chez elles des douleurs abdominales et des ballonnements qui incitent à chercher un coupable : le gluten.
Si vous êtes sujets aux brûlures d'estomac ou aux reflux acides misez sur : Des légumes, comme le brocoli, le céleri et les champignons. Des fruits, comme la banane. Évitez en revanche les aliments acides tels que les oranges et les citrons.
On y apprend que le miel peut avoir un effet « barrière » et aiderait à limiter les reflux gastriques. Le miel aurait des propriétés digestives. C'est un remède naturel qui aiderait à la digestion et à la stimulation de l'estomac.
Bicarbonate de sodium (bicarbonate de soude) : Puisque le bicarbonate de soude est alcalin et peut généralement être consommé sans danger, il est un bon candidat pour neutraliser l'acide.
L'argile verte tapisse l'estomac et agit comme un pansement gastrique naturel tout en possédant des vertus anti-inflammatoires. Elle se consomme en étant mélangée à de l'eau 30 minutes avant les repas et à distance des prises de médicaments. Son usage ne doit pas être prolongé au risque de provoquer de la constipation.
1. Des fibres pour la digestion. Si votre digestion est parfois un peu compliquée, mangez de l'avocat. Un avocat contient en effet en moyenne 7% de fibres, ce qui facilite le transit intestinal !
Pouvoir pathogène d'Hélicobacter Pylori
Hélicobacter pylori, la bactérie responsable de gastrites (une inflammation de la paroi de l'estomac) et d'ulcères digestifs, est le premier facteur environnemental susceptible de favoriser des cancers gastriques.
Est-ce que l'Helicobacter pylori est contagieux ? Oui, Helicobacter pylori est une bactérie contagieuse. Sa transmission se fait essentiellement par une transmission directe de personne à personne, par voie oro-orale, gastro-orale ou oro-fécale (contamination par la salive, les vomissements ou les selles).
Ces méthodes sont : le test respiratoire à l'urée marquée au 13C ou HELIKIT ; la recherche d'antigènes bactériens dans les selles à l'aide de tests immunoenzymatiques ; et la sérologie d'Helicobacter pylori (recherche d'anticorps) au cours d'une prise de sang.