Augmenter les apports en fibres (légumes, fruits, céréales complètes, légumineuses) a un effet bénéfique sur le contrôle de l'asthme et permet également de réduire l'inflammation des voies respiratoires. Cela permettrait également de freiner le développement de la BPCO et une amélioration des débits bronchiques.
Buvez une infusion de gingembre
Il suffit de laisser infuser 1 g de gingembre en poudre dans 250 ml d'eau bouillante pendant une dizaine de minutes. Filtrez et sucrez avec du miel si le goût du gingembre est un peu trop « piquant ». Vous pouvez boire cette infusion deux fois par jour sauf contre-indication médicale.
Les papayes, oranges, mandarines et mangues sont riches en bêta-cryptoxanthine qui «neutralise les radicaux libres destructeurs de cellules, et peut-être aussi les radicaux libres destructeurs générés par la fumée de cigarette».
Le gingembre
Comme l'oignon, le gingembre est multitâches : il ouvre les bronches ce qui favorise l'expulsion des glaires, c'est un antibactérien, un antiseptique et un anti-inflammatoire qui est efficace contre la toux pour les poumons endommagés.
En cas d'insuffisance respiratoire, il est nécessaire de passer à un traitement par oxygène, autrement dénommé oxygénothérapie. Un appareil « comble » l'insuffisance respiratoire en distribuant de l'oxygène à vos poumons, à votre sang ainsi qu'à vos tissus musculaires.
Le pamplemousse ou encore le pomélo sont connus pour être des sources importantes de flavonoïdes. 4 verres de jus de pamplemousse par semaine suffiraient ainsi à nettoyer efficacement vos poumons.
2. Pour leurs antioxydants. Le citron et la lime contiennent beaucoup d'antioxydants, entre autres des flavonoïdes, qui sont des agents anti-cancer bien connus. Des études cliniques ont démontré l'effet positif de la limonène sur les cancers de la bouche, du sein, des poumons, de l'estomac et du côlon.
Buvez beaucoup d'eau : L'eau peut aider à fluidifier les mucosités. Utilisez un humidificateur ou prenez une douche chaude. Reposez-vous en gardant la tête surélevée. Buvez du thé chaud avec du citron et du miel.
Des exercices de respiration peuvent vous aider à « désencrasser » vos voies respiratoires, et ces exercices sont notamment hérités du yoga. Asseyez-vous en tailleur, le dos bien droit, inspirez et expirez par le nez, en laissant votre ventre se gonfler à chaque inspiration et retomber à chaque expiration.
Faites descendre l'air dans votre abdomen. Pincez les lèvres et expirez lentement, pendant 4 secondes. Vous devez prendre deux fois plus de temps pour expirer que pour inspirer. Avec le temps, vous pouvez augmenter le nombre d'inspirations et d'expirations (par exemple, à 4 et 8 secondes).
Légèrement surélevée : la meilleure position en cas de rhume
L'idée est de dormir en position inclinée plutôt qu'allongée : cela permet d'atténuer la pression sur les sinus et de dégager les voies respiratoires. Résultat : on respire mieux et l'endormissement est facilité.
Hydratez vous le plus possible : buvez beaucoup d'eau et n'hésitez pas à abuser des soupes et tisanes.
La détresse respiratoire provoque l'impression de manquer d'air. Il s'agit d'une sensation très angoissante qui s'accompagne souvent de panique. Cette affection est généralement liée à une affection pulmonaire ou cardiaque.
Le thé à la sauge est utilisé pour soigner les problèmes pulmonaires et les affections respiratoires.
La consommation de lait à pleine teneur en gras, mais pas de lait à faible teneur en gras, était liée à une réduction du risque de respiration sifflante; Un apport plus élevé en vitamine D pendant la grossesse était aussi associé à un risque réduit de respiration sifflante pendant l'enfance.
Placez les extrémités de vos doigts de l'autre main sous la pointe du menton du patient. Levez le menton pour libérer les voies respiratoires. N'appuyez pas sous le menton dans la partie molle, cela peut rendre la respiration plus difficile. Gants de protection.
Chez les participants dont les taux de vitamine B6 (pyridoxine) étaient les plus élevés, le risque de souffrir d'un cancer du poumon chutait de 44 % par rapport à ceux dont les taux de vitamine B6 étaient les plus bas. La réduction du risque était de cette ampleur tant chez les fumeurs que chez les non-fumeurs.
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
La consommation d'ail pourrait diminuer les risques de cancer du poumon de moitié. Une étude conduite par des chercheurs chinois, dont on parle sur Daily Mail (UK), révèle qu'en consommant de l'ail cru, ne serait-ce que 2 fois par semaine, on réduirait de plus de 44 % les risques de développer un cancer pulmonaire.
Marche, vélo, jardinage… l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
Elle consiste à injecter par le fibroscope un liquide physiologique porté à 37 °C dans les bronches et les alvéoles pulmonaires. Cette solution est ensuite aspirée par le fibroscope et analysée.