braire. (latin populaire bragere, du gaél.) 1. Crier, en parlant de l'âne.
cri de l'âne[ClasseHyper.]
Si l'âne s'exprime régulièrement au moyen de gémissements, de grognements, de soupirs ou de soufflements, sa vocalise la plus populaire est son braiement et son « hi-han » caractéristique. L'âne brait rarement si ce n'est en période de reproduction, pour saluer, par faim ou en signe de protestation.
Les crapauds et les grenouilles coassent.
Leurs noms est un terme vernaculaire car il n'est pas sensé représenter une espèce, mais un ensemble d'espèce. On dénombre ainsi 4000 espèces d'Anoures sur la planète, crapaud et grenouilles compris. Ils appartiennent également à la famille des vertébrés.
1) soi-même : il faut d'abord se convaincre que l'âne ne braie pas, il chante, il parle, il communique. Et tout "braiement" à une tonalité propre (celui de l'âne) et un contenu différent (ce qu'il veut dire, et chaque fois il le dira différemment) qui est communication à votre égard.
Tous ces cas cliniques montrent que les morsures d'âne sont graves. Cet ongulé a la réputation d'être travailleur et docile. Il peut cependant devenir agressif lors de la période de reproduction. Aux conséquences fonctionnelles et esthétiques s'ajoute le risque de contracter la rage.
Le braiment ou braiement est une vocalisation caractéristique de l'âne (Equus africanus asinus), bien connue à travers sa célèbre onomatopée « iii ahn ». Ce cri puissant est généralement émis au printemps, pendant les amours. Dans la culture humaine, le braiment est perçu comme un son désagréable.
Le brame est le cri que poussent les cerfs pour attirer l'attention des femelles pendant la saison des amours. Mais cela peut être aussi un cri d'intimidation destiné aux autres mâles qui sont dans les parages.
Je te laisse donc répondre aux questions. Parce que le bonnet d'âne a été interdit après la Seconde Guerre Mondiale. Les élèves pouvaient se retrouver à genoux sur une règle et les mains sur la tête . Elle est devenue obligatoire jusqu'à 16 ans le 6 janvier 1959.
ânesse n.f. Femelle de l'âne.
Ils en font un animal têtu (« têtu comme une mule »), borné (« on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif »), stupide (« bête comme un âne bâté »), voire même lubrique du fait des érections spectaculaires du mâle.
[Le suj. désigne le lièvre, le crocodile] Émettre le cri propre à son espèce.
Un bêlement, cri de la chèvre ou du mouton.
Quand le sanglier «grommelle», l'oie «criaille»...
Le mâle de la grenouille s'appelle tout simplement la grenouille mâle . D'ailleurs, le site ameliorersonfrançais.com précise que quand le même mot est employé pour désigner les deux genres et qu'il semble important de préciser cette information, vous n'avez qu'à ajouter mâle ou femelle après le nom de l'animal.
Bœuf, vache, taureau, génisse et veau poussent des beuglements, appelés aussi meuglements2. Le premier terme est formé sur le verbe apparu le plus anciennement, bugler (XIIe s.), devenu au XVIIe s.
- Le cerf brame pour appeler les biches : pas sûr du tout, même si on ne peut l'exclure ! Ce qui paraît évi- dent, c'est qu'il brame pour indiquer sa présence, manifester sa force et intimider à distance ses adversaires.
Le hérisson est légèrement bruyant : il grogne, il souffle.
Le morse est le plus bavard des pinnipèdes.
Le morse feule, rugit, mugit, grogne, grommelle, éructe, blablate, siffle, roucoule, aboie et beugle, tant sous l'eau que dans l'air. Il produit également d'étranges bruits de gongs.
Au contraire de ce qu'écrivait Rabelais au XVI°siècle " Le rire est le propre de l'homme", on sait, maintenant, qu'il n'en est rien, pas plus, que l'humour. Le rire, c'est prouvé, est présent, dans le règne animal : singes, gorilles, chiens, rats, dauphins… rient aussi.
L'équidé qui a perçu une odeur inhabituelle ou très chargée de sens retrousse la lèvre supérieure, lui donnant l'air de sourire, en tendant son encolure et sa tête vers le haut. Il inspire alors bruyamment.
En réalité, au cours de la digestion l'amidon contenu dans le pain (même lorsque celui-ci est bien sec) se transforme en sucre simple (glucose), ce sucre dès lors en trop grande quantité dans le sang est extrêmement nuisible pour la santé des ânes et des équidés en général.